Abdou

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Babes

AbdouElle rêve d’amour, de romantisme, et pourtant 19 ans, qu’elle est mariée au même homme.Le bonheur a duré quelques années.Il lui a fait 4 enfants. Le dernier a 10 ans, l’aîné en a 18.Elle aime ses enfants plus que tout, pourtant quelque chose lui manque…..Son mari est devenu indifférent, il ne l’approche que le samedi soir, et tout est réglé comme une horloge.Un rituel immuable, qui la rend presque folle, il monte alors se coucher, il se déshabille totalement, lui qui dort les autres jours de la semaine en pyjama. Il se serre contre elle, lui prend la main, la pose sur son sexe pour qu’elle le caresse. Il se fiche bien qu’elle soit disposée ou non à faire l’amour avec lui, elle est sa femme, et se doit de faire son devoir conjugal.Puis son autre main passe derrière la tête de son épouse, il lui fait comprendre sans dire le moindre mot qu’il veux se faire sucer.Résignée, elle obtempère, lasse, d’avoir tant de fois, tenter de lui faire comprendre qu’elle aimerait beaucoup plus, des paroles, des gestes tendres, du plaisir….Lui ne souhaite pas parler de ces choses là, de toute façon, il estime qu’à cinquante ans, le sexe ne se résume plus qu’à l’essentiel, et un rapport hebdomadaire lui suffit.Elle suce la verge de son époux, pas le moindre bruit, il lui fera savoir sans parler, s’il désire éjaculer dans sa bouche ou la prendre en missionnaire, pour se vider en elle.Elle comprend quand elle sent la main qui force sa tête, ce soir, elle devra avaler son sperme, le liquide séminal de toute une semaine. De ses mains puissantes, il tient fermement les cheveux bruns de sa femme, il accélère le va et vient dans sa bouche et finit par éjaculer longuement son foutre chaud et épais. Juste un léger râle s’échappe de ses lèvres.Puis satisfait, il se retire.Le sperme s’écoule encore sur le menton de son épouse, une grimace de dégoût se lit sur le visage de son époux, il lui dit- Essuie toi, voyons, tu vas tâcher les draps…… Bonne nuit !Elle s’essuie sommairement avant de se lever, elle passe dans la salle de bain et se rince la bouche.Comment les années ont-elles pu transformer leur couple, de manière aussi pathétique….Ils s’étaient aimés, la routine de la vie, les soucis, les enfants, le travail… Est ce qu il en était pareil pour tous les couples mariés, depuis 20 ans ?Elle se pose de plus en plus la question, elle a même pensé au divorce, mais par faiblesse, elle y a renoncé.Le lundi qui suit, un homme doit venir installer une douche chez eux, elle ne veut plus d’une baignoire.Toute l’installation doit être refaite, une semaine de travaux.Comme, elle est en congés, elle pourra en surveiller l’avancement.Patrick a quitté la maison de très bonne heure et les enfants sont passés les uns après les autres, dans la salle de bains, puis ils ont tous quitté la maison, pour se rendre à l’école.Elle est seule, enfin.Véronique décide de faire une toilette rapide à son tour. Elle ôte sa chemise de nuit, elle est nue devant le miroir, elle examine attentivement son corps, elle a eu 4 enfants mais elle est toujours désirable, juste quelques kilos en trop sur les hanches.Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passent dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement.Il y a si longtemps qu elle n’a pas eu de plaisir avec son mari, elle a bien tenté de se caresser seule, mais elle n’a pas apprécié ce moment de solitude ou son corps ne réclame que caresses.La sonnerie retentit, Véronique sursaute, elle enfile en vitesse, le peignoir de bain accroché au porte manteau et descend quatre à quatre l’escalier, pour accueillir l’ouvrier.L’homme qui se tient devant elle, est très grand au moins 1m90, un sourire éclatant illumine son visage, c’est un homme de couleur.Elle salue et le prie d’entrer.L’homme à la peau noire est d’emblée très sympathique, jovial, bavard et souriant.De son coté, Abdou ne peux s empêcher de trouver la femme à son goût, elle a l’air triste mais très gentille. Il se dit que la pauvre ne doit pas « rigoler » tous les jours.Presque immédiatement, il lui propose si elle le désire de l’appeler par son prénom, ce qui sera moins formel pour la semaine à venir…Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui dire, d’en faire autant et de l’appeler Véronique.Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l aise avec lui, au boutd un quart d’heure, elle lui propose même un café avant de démarrer, il s’empresse d’accepter et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s’assoient, et sirotent le doux breuvage.Abdou aperçoit ses jambes entre les pans entrouvert du peignoir, de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu’elle a l’air d’être toute nue, là-dessous.Véronique surprend le regard, elle rougit et referme brutalement les pans. Comment peut elle se pavaner ainsi devant un inconnu, elle avale le café d’un coup, pour mettre un terme à ce moment de « pseudo intimité » avec lui. Elle s’étouffe à moitié et se met à tousser lamentablement- Tout va bien, Véro ? Je peux faire quelque chose, s’inquiète t-ilGênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre son souffle alors qu Abdou visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Véronique qui tousse toujours ne le remarque pas tout de suite.Abdou lui ne peux que constater qu’il avait raison, elle est bien nue en dessous.Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa peaud’ébène, il sent qu’inconsciemment, il commence à bander.Véronique enfin se calme, et prend conscience de l’indécence de sa tenue, le visage rougie par la quinte de toux, elle noud le vêtement hâtivement alors que lui se permet de dire- N’ayez crainte, je ne vais pas vous toucher ! ! ! Vous êtes une très belle femme !Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son malaise et sans un autre mot, disparaît dans la salle de bains.Elle reste seule dans la cuisine, encore secouée par le compliment, Patrick ne lui dit plus jamais qu’elle est belle, il la regarde à peine.Dans ses réflexions, elle gagne sa chambre et décide de se vêtir, étrangement elle cherche avec soin, des habits qui la valoriseront. Elle opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Sa poitrine est mise en valeur avec le soutien gorge qui laisse entrevoir la naissance de ses seins.Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette attirante. Elle hausse les épaules, se demandant ce qui lui prend de s’extasier comme une gamine, en se regardant dans la glace. Elle brosse longuement sa chevelure brune. Et, décide de mettre à jour son courrier.Véronique, tente de se concentrer sur ce qu’elle fait, mais elle n’entend que le gai sifflement de l’homme, qui se trouve à quelques mètres d’elle. Elle pense à son regard envieux quand il la regardait effrontément, oui c’est bien ça, l’homme avait envie d’elle.Une femme ressent ça, même si depuis ces dernières années, elle a oublié ce délicieux sentiment d’être désirée.Véronique s’agite sur sa chaise, mais que lui arrive t-il ?Comme un automate, elle se lève et sans réfléchir se rend dans la salle de bains.Les sifflements redoublent d’intensité, arrivée à la porte, elle regarde l’homme qui est de dos, il est torse nu, ses muscles saillants l’hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.Abdou qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant, leurs regards se croisent.C’est Véronique, qui timidement effleure ce torse qui l’attire, la peau humide est noire de jais, elle sent les muscles de l’homme.Interloqué, il la regarde, Abdou est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s’approche d’elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Véronique et leurs langues s’emmêlent, Véronique, sous le baiser profond défaille. Ses jolies mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, ose passer sous la robe pour lui caresser les fesses.Puis tout va très vite, il la veut cette femme, il se détache d’elle et sans un mot, passe la robe au dessus de sa tête, elle est à demi nue devant lui, c’est elle qui retire les agrafes du soutien gorge, les seins libérés éclatent indécents devant lui, il plonge la tête avec délice canlı bahis dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, le noir et le blanc.Comme en transe, elle s’agenouille devant lui, elle a envie de voir son sexe, elle libère avec empressement une queue d’ébène, le gland rose pâle. Elle est imposante déjà, comme une statuette en bronze. Affamée, elle se jette sur la verge, la lèche effrontément, il frémit sous la langue douce, humide et chaude. 112924070627020354.gifElle tente d’engloutir le pieu, il est si gros qu’elle peine à y arriver, il lui dit :- Chut, nous avons tout notre temps…….. Montre moi ton lit !Le tutoiement la sort de sa torpeur, elle réagit, mais que s’apprête t-elle à faire.La grande main noire se place dans la sienne- Je te suis ma beauté, lui dit il gentiment, j’ai tellement envie de toi ! ! !Puis le sourire radieux a raison d’elle, haletante, elle le conduit sur le lit conjugalIl se dévêt lentement devant elle.Elle regarde se superbe corps athlétique, un corps si parfait. Le sexe raide d’un noir luisant, est majestueux. Véronique, absorbée par la nudité du black a gardé son string, il lui demande gentiment de s’allonger et entreprend d’ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, il aime l’odeur intime d’une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s’en imprègne les narines. Ils se dévisagent intensément.Elle s’apprête à tromper son mari pour la première fois, son cœur bat la chamade, elle a tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur le sien, elle veut être posséder par ce sexe, elle est prête, impatiente même.Il lui écarte les jambes, sa chatte est épilée, ruisselante, il sent les effluves, dont il raffole, qui s’en dégagent.Ses lèvres épaisses s’approchent de son minou, elle a envie de hurler, lui fait durer le plaisir, doucement il lui demande- As-tu envie que je te suce ? demande t-il en la faisant languirIl joue avec ses nerfs, elle en devient folle, si posée habituellement Véronique l’implore :- Ouiiiii vite, lèche moi, viens ! Supplie t-elle, en s’ouvrant impudiquementAlors sans la quitter des yeux, il lui écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et la bouche délicatement va s’abreuver de son nectar.Aussitôt Véronique gémit de plaisir, quel délice, elle s’écarte au maximum. La langue délicieuse sillonne chaque pli et repli, puis s’aventure sur le bourgeon saillant. Dans la chambre matrimoniale, on entend plus que les soupirs de Véronique et les bruits de succion lubriques d’Abdou, qui lèche avec délice la chatte de cette jolie femme blanche, en manque de sexe.Les plaintes s’intensifient quand sa langue masse le clitoris tout gonflé, elle frémit, tressaille, il s’attarde longuement.Véronique plaque ses mains dans la chevelure crépue de l’homme noir, elle sent la jouissance qui monte- Ohh ouiiii continueee, c’est bon, je vais jouir, ahhhhhhhL’épouse infidèle jouit sous la langue toute rose, elle s’écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasme terrible qui la laisse toute retournée.Abdou, qui bande comme un âne, lui soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules, son membre épais et rigide s’engouffre dans le vagin béant et humide de cette femme, qui n’attend que ça.Le pieu disparaît au plus profond de l’intimité baveuse, elle est envahie par la queue qui la remplit totalement. Elle se pâme de délectation. Abdou voit les seins blancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts- Mmmm t’es bonne, t’en avais drôlement envie, tu vas voir comme Abdou fait du bien aux femmes, comme toiIl la lime furieusement, elle a les yeux mi clos, la bouche entrouverte, elle gémit encore- Ouvre tes jolis yeux, regarde moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes ???Véronique le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur le visage, il halète, il retire les jambes de ses épaules et se précipite pour l’embrasser, ses lèvres épaisses baisent les siennes, elle avale sa langue, sa salive.C’est si bon, elle aime ce sexe qui la remplit. C’est sous leurs langues entremêlées, sa queue infatigable qui la pilonne, qu’elle jouit une nouvelle fois. Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au dessus de sa tête, elle comprend son envie, elle ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, qu’elle avale goulûment.- Ouiiiiiii ohhh c’est bon, avale le sperme d’Abdou, Ah nettoie ma queue doucement…Véronique du foutre plein la bouche et le menton, nettoie avidement la bite du noir, elle aime le goût fort et légèrement épicé, qu’il dégage.Enfin il se couche à ses cotés, il la regarde la bouche encore souillée, elle s’apprête à s’essuyer pour éviter une remarque, mais Abdou n’est pas Patrick, doucement sa grosse bouche s’empare de ses lèvres et à nouveau ils s’embrassent, ils mélangent salive et sperme, c’est doux, chaud, enivrant. Puis il lape le foutre qui a coulé sur son visage, elle ferme les yeux, elle se sent merveilleusement bien.Il est midi déjà, Patrick fort heureusement ne rentre pas déjeuner et les enfants sont à la cantine. Véro meurt de faim.Elle s’étire sur le lit puis se colle à Abdou- Je vais nous préparer quelque chose à manger ?Elle se lève et se prépare à enfiler un peignoir- Non, reste nue, dit -ilVéronique hésite, elle est assez prude, elle ne reste jamais sans vêtement dans la maison, même si elle est seule- Tu es très belle, j’ai envie que tu restes comme ça, lui dit il en souriant.Nue, elle rejoint la cuisine rapidement pour éviter son regard, c’est étrange pour elle de vaquer à la préparation du repas, dévêtue. Abdou la rejoint, il s’assoit devant l’assiette, elle rougit alors qu’il la mate, sans vergogne. En posant le pain sur la table, il lui caresse les fesses….- Tu sais, j’adore ton cul, tu aimes qu’on s’en occupe ?Véronique secoue la tête, elle ne garde pas un excellent souvenir des sodomies, que lui imposait Patrick. Elle acceptait par amour, mais n’en éprouvait pas de plaisir.- Moi, j’aime enfoncer ma grosse verge, dans le cul de mes partenaires, tu verras, tu aimeras ça toi aussi.. !Elle distingue le sexe entre les cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, elle frémit malgré elle, en imaginant ce superbe engin déflorer son petit trou. Au moins 8 ans, que Patrick ne l’a pas sodomisé.Elle se presse de servir les steaks pour ne plus y penser.Abdou lui, ne pense qu’à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur sa nouvelle maîtresse.Elle est pas mal balancée cette nana, se dit il ! Pendant qu’elle cuisinait, il a vu son fessier bien large, il n’a plus qu’une idée en tête, enculer cette mère de famille, si sage en apparence.Il a été surpris de la bestialité de cette femme, elle est vraiment en manque de sexe la bourgeoise, elle va lui “manger dans la main”.Véronique est assez déroutée par la suite des événements, tout à l’heure elle était comme égarée, mais maintenant, elle se rend compte que la situation dé****, que fait elle à manger nue, avec ce type qui travaille pour elle. Elle prend le torchon à vaisselle, elle le tient négligemment devant elle, c’est assez puéril mais protégée ainsi, elle se sent un peu moins vulnérable.Abdou remarque ce petit changement d’attitude, il ne faut surtout pas qu’elle reprenne le pouvoir, se dit il !- Enlève moi ça, en indiquant le torchon …. Viens près de moi !Véronique envoûtée par le magnétisme du black se place devant lui. Les larges mains caressent son corps, des mains chaudes, si douces.A nouveau, elle défaille- Tourne toi, montre toi, sans honteElle exécute un quart de tour et ses fesses sont présentées à Abdou. Toujours assis, il effleure le cul- Place toi à plat ventre sur la table, obéis moi……Elle se plie à la demande, elle se fraye une place entre les assiettes non desservies et s’offre indécente.Abdou se félicite de si vite la dompter, cette petite femelle va devenir plus que docile, il en est certain. Il malaxe ses fesses – Tu as un beau cul, tu sais Elle se détend malgré la posture lascive, elle sent le souffle de l’homme, puis la langue qui lèche la raie de son cul – Mmmmm j’aime trop ça…… Vas y écarte toi toute seule, que j’y mette la langue, j’ai envie de te bouffer le cul Véronique surprise par la demande s’exécute pourtant, elle s’ouvre bien, il en profite et faufile sa langue humide. Parfois il cesse un instant pour enfoncer son doigt, elle a l’air d’apprécier……..Comme c’est bon, jamais Patrick ne bahis siteleri lui a fait une telle chose, elle se décrispe complètement tant la caresse buccale, et même son doigt est agréable, elle en arrive presque à vouloir sentir quelque chose de plus gros, bien plus gros.Il s’arrête au bout de quelques minutes. Elle est prête pour se faire enculer juge t-il et de plus, il bande royalement- J’ai envie de ton cul, envie de t’enculer, mais je veux que tu me le demandes dit il, supplie Abdou !Sa langue reprend place sur son anus, puis son doigt la pénètre à nouveau, elle mouille, elle coule, elle a envie de sa queue, elle ne résiste qu’un instant et l’implore- Ouiii je le veux, baise moi encore, encule moi, baise mon culElle ne voit pas le sourire radieux du black ravi, son phallus imposant se place à l’entrée de l’anus encore fermé, puis il force sur la petite rosette boursouflée, qui finit par engloutir le pieu rigide.Véronique se sent alors déchirée, il est beaucoup trop gros, elle tente de se soustraire au noir, une assiette tombe sur le carrelage. Abdou lui, n’est pas homme à s’arrêter en si bon chemin, sa pine s’enfonce inexorablement sous les cris de sa maîtresse- Encore quelques centimètres et tu auras la queue d’Abddou dans ton cul, Ahhhh voilà j’y suis, tu es chaude, serrée, Ah tu es bonne à baiser !Il la sodomise plus aisément, les cris sont remplacés par des plaintes. Il glisse facilement dans son cul, elle est vraiment bonne à défoncer cette salope.Il la tient solidement par les hanches et regarde sa bite disparaître dans le trou agrandi, ses fesses toutes blanches dévastées par la queue d’un black et elle a l’air d’aimer ça aussi, la garce- Tu aimes la grosse queue d’Abdou, Mmmm j’aime ton cul, on va bien s’amuser tous les deux pendant que ton mari bosse…. Ah je te baise, je tencule, salopeVéronique se fait défoncer royalement par son ouvrier, elle geint sous les coups de biteIl accélère le rythme, une autre assiette tombe avec fracas- Je vais arroser ton cul de chienne en chaleurElle n’en peut plus, elle aime tout ce qu’il lui fait, et même sa façon de lui parler, elle qui déteste pourtant la vulgarité.Elle va au devant de son sexe, elle s’empale elle-même dessus, l’orgasme arrive, terrassée par sa jouissance elle crie de plaisir. Abdou se lâche lui aussi et envoie deux longs jets de foutre. Puis s’écroule sur elle, tous les deux restent là un moment sans bouger, le sexe finit par sortir de l’anus, le sperme s’écoule du trou agrandi. Ils se redressent, il l’embrasse et toujours ce magnifique sourire- Abdou doit bosser un peu, je te laisse ma beautéIl part dans la salle de bains en sifflotant. Véronique ramasse les assiettes brisées sur le sol. Sa vie a basculé en quelques heures, elle se sent si bien et si mal, en même temps. Un sentiment étrange.Le sperme coule sur ses jambes, elle écarte ses fesses et passe ses doigts sur son anus trempé et un peu douloureux, elle se rend compte qu’ils glissent sans la moindre résistance, dans le petit trou toujours ouvert. Elle s’essuie et pense à la langue d ‘Abdou qui saurait si bien la nettoyer.Le reste de l’après midi s’écoule lentement, elle remet de l’ordre dans la chambre, change les draps salis.Dans la salle de bains, elle entend Abdou qui siffle toujours….. Le noir cogite beaucoup, il va bien s’amuser toute la semaine, il se demande même s’il ne pourrait pas amener Rachid, son cousin, un mâle bien monté lui aussi.La blanche a le feu au cul, elle sera peut être d’accord, qui sait !Enfin pense t-il en effectuant la soudure, allons y doucement, après tout il a encore 5 jours, à travailler ici. Et il compte bien en profiter un maximum Abdou. Durant les 3 jours suivants, Abdou se partage entre son travail, dans la salle de bains et baiser sans aucune retenue la femme qui l’emploie et qui est plus que jamais, en demande. Le black quitte tous les jours, à 17h00 épuisé, les couilles vides.Véronique, la femme si sage se révèle être une affamée de sexe, elle attend chaque matin la venue d’Abdou. Sur la demande de l’homme, elle est nue quand il arrive et reste ainsi toute la journée. Lui-même se déshabille sitôt arrivé.La nudité ne pose plus de soucis à Véronique, elle aime désormais rester ainsi dans la plus simple appareil, et se tenir à la disposition de l’homme pour qu’il la fasse jouir encore, toujours.Elle ne se lasse pas de son ouvrier, elle aime son corps, son sexe, son sourire. Tout…..Elle adore qu’il la baise dans toutes les positions, par tous les orifices, même son cul ne lui pose plus de soucis, sa grosse queue a fait son œuvre, désormais son anus est bien dilaté pour la recevoir profondément.Hier il l’a enculé, alors qu’elle était penchée sur le canapé, l’immense miroir qui trône au milieu du salon douillet, reflétait leur image obscène, elle voyait le gros mandrin noir qui s’enfonçait dans son anus, ses larges mains noires lui caressaient les seins, c’était bon, excitant, il lui disait combien il aimait baiser le cul de sa salope de maîtresse blanche.Elle adore son langage cru, jamais elle n’aurait imaginé une telle excitation, en entendant des mots si orduriers. Mais le simple fait, qui la baise en l’insultant de « bonne salope », de « grosse pute »…. Tout ça la mets dans un état d’excitation totale, et la vue de sa bite qui l’enculait, avait eu raison d’elle une fois encore, et elle avait joui intensément comme une bête sur le canapé ou toute la famille se réunit chaque soir.Aujourd’hui, c’est logiquement le dernier jour d’Abdou. Patrick n’est pas satisfait, il ne comprend pas comment l’ouvrier a pris un tel retard, il lui faudra une journée supplémentaire pour achever le travail. C’est en râlant, que l’époux cocu quitte le domicile conjugal, laissant son épouse, impatiente de retrouver son amant.Abdou sur le chemin, est dans ses pensées, il a décidé de bosser toute la matinée sans la moindre interruption, pour la bonne raison qu’il a parlé de cette femme, à son cousin.Il lui a raconté le boulot, agrémenté de séance de baise avec une salope en demande, qui veut de la queue. Il lui a proposé de venir à midi, afin de la remplir comme elle le mérite, évidemment Véronique n’est pas au courant de la requête, de son amant.Elle lui ouvre la porte, nue, il l’embrasse goulûment. Il sait qu’elle aime quand sa langue s’enroule à la sienne, leur baiser dure quelques minutes, mais au grand désespoir de Véronique, il la laisse sur sa faim et regagne la salle de bains, pour bosser.Surprise de ce brusque changement, Véronique tente de s’occuper, la matinée s’écoule interminable, plusieurs fois, elle a failli aller se rhabiller, tant elle se sent délaissée par son amant.Puis sachant qu’il a beaucoup de retard, elle se dit que peut être, il s’occupera d’elle, ce midi, elle a tellement envie de lui, de se faire baiser, encore….A midi, il la rejoint enfin, satisfaite de le voir nu, elle est soulagée. Quand la sonnerie retentit, elle sursaute, elle craint le retour d’un des enfants, heureusement, le verrou est mis par sécurité. Elle regarde Abdou, paniquée.Etrangement, celui-ci lui sourit et dit doucement- Ne t’inquiètes pas, Abdou t’a fait une surprise, je vais ouvrir !- Mais tu n’y penses pas, tu ne peux pas ouvrir dans cet état !C’est vrai, l’homme dans sa nudité totale a, en plus, une érection en pensant à ce qui se trame et à son cousin qui attend devant la porte. Il ignore la remarque et va ouvrir.Elle entend parler les deux hommes, les voix s’approchent, affolée, elle s’empare du tablier et tente bêtement de s’en recouvrir.Elle voit que l’arrivant est black, lui aussi, tout aussi grand qu’Abdou, mais le crâne lisse, le nez aplati. Il émane de chez cet homme une force inouïe. Elle le regarde gênée, puis cherche une explication de la part de l’ouvrier. Pas le moindre bruit dans la cuisine, tous les 3 se toisent ! Puis enfin, la voix d’Abdou résonne dans le silence- Je te présente mon cousin Rachid, je lui ai beaucoup parlé de toi…… Je pense qu’à nous deux, nous saurons te combler !Véronique comprend enfin, elle est scandalisée de l’audace de son ouvrier, rouge de colère, elle s’apprête à lui dire son indignation quand l’autre commence à se dévêtir, en quelques secondes à peine, il est nu. La femme reste muette et stupéfaite, de se retrouver dans une telle situation.Pourtant elle ne peut s’empêcher de constater, à quel point les deux hommes de couleur bahis şirketleri sont magnifiques, le fameux cousin bande légèrement, ce qui est plus que prometteur, vu la taille au repos.Il la regarde d’ailleurs, le petit tablier ne cache guère ses seins qui débordent de chaque coté, ni les cuisses qui se profilent derrière le tissu. C’est Abdou encore, qui parle pour annoncer, qu’ils vont se rendre dans la chambre.Il prend la main de Véronique, celle-ci résiste un peu- Non s’il te plait, pas ça ! Je ne pourrais jamais !!!!!- Viens, laisse nous faire, tu vas aimer…. Dit ilIl la tire à nouveau, elle finit par le suivre, derrière elle, Rachid ne perd rien des fesses nues exhibées, il tire le cordon du tablier et se régale du cul tout blanc. Son sexe durcit en pensant à sa b.te qui va enculer cette femme, son cousin lui a dit qu’elle était bonne à baiser et qu’elle aimait ça.Tous les 3 sont dans la chambre, le tablier est retiré rapidement, Abdou lui demande de s’asseoir sur le bord du lit, elle s’exécute, devant elle, les 2 blacks ont la queue dressée, luisante et noire, ils se masturbent doucement. Rachid le nouvel arrivant annonce- Allez ne nous fait pas attendre, lèche nos queues, prends en une, dans chaque mainIls s’approchent tout près d’elle, elle sent leur odeur de mâle, timidement ses mains se posent sur leurs sexes, elle les branlent, fascinée par la taille- Suce nous, s’impatiente RachidLa jolie bouche engloutit le sexe d’Abdou avec avidité, mais l’autre exige qu’elle s’occupe aussi de lui, à regret, elle quitte la verge de son ouvrier et avale l’autre sexe, il est plus large encore, il est impatient, il veux s’enfoncer au fond de la gorge et il ne la ménage pas- Suce, petite pute en rut, et continue à branler mon cousin, Ahhhhh t’as raison Abdou, elle pompe bien Mmmmmm, à son tour, suce le et branle moiVéronique de la bave plein le menton, se libère de la bite et se jette une nouvelle fois sur la verge d’Abdou, tout en branlant l’autreAbdou est béat de voir sa maîtresse, s’occuper de leurs queues, il a envie de juter une première fois dans sa bouche pour faire voir à son cousin comme elle avale bien, alors n’y tenant plus, il éjacule un premier jet, puis un second, sa main sur la tête de son employeuse, elle avale le foutre, sans hésiter- Mmmmm avale tout !!!! Fais voir à Rachid que tu aimes ça 3.gifLe cousin est terriblement excité, à peine Abdou a fini de juter, il n’attend pas plus et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit conjugal. Elle obéit, la bouche encore souillée, sa chatte trempée reçoit la grosse bite de Rachid, il est sauvage, plus brutal qu’Abdou- Mmmm c’est vrai que t’es une grosse salope, MMmmm t’es une bonne chaudasse toiLa verge épaisse s’enfonce en elle, puis un doigt pénètre son anus- Ahhh t’es bonne, MmmmmUn autre doigt rejoint le premier, il les agite frénétiquement dans son anus, elle gémit de plaisir- Ouiiii gémit salope, on veut t’entendre jouir, hein Abdou ! Viens te faire lécher la queue pendant que je la lime.Abdou présente son sexe ramolli à Véronique qui se jette dessus, c’est tellement bon, elle tète la bite encore molle et qui regonfle doucement dans sa bouche chaude et humide.La pine qui la baise lui emplit le vagin totalement, l’orgasme arrive, elle le sent qui monte et enfin elle explose de bonheur, en hurlant- Ouiiiii jouis, je vais te remplir de foutre Ahhhhhhhhh c’est bon ! ! ! hurle Rachid- Véronique ne peut reprendre ses esprits, car Abdou toujours dans sa bouche, bande à nouveau comme un âne et lui dit :- Reste dans cette position, je vais enfoncer ma queue dans ta chatte remplieElle ne bouge pas, il change de place- Vas y cousin, enfile ta queue dans mon foutre tout chaud, ça te plait ?Abdou prend la place de Rachid et sa verge disparaît dans la chatte inondée du sperme de son cousin, c’est chaud, c’est bon, il voit sa b.te qui ressort pleine de sperme, il s’y enfonce à nouveau, sa verge glisse dans le foutre, ça le rend fou d’excitation, il recommence le petit manège, à chaque fois sa bite luisante de foutre, il n’y tient plus, se plonge en elle à nouveau et décharge lui aussi son sperme, qui se mélange à l’autre.Il jouit intensément.Les 2 hommes, les couilles vides discutent gaiement pendant que Véro file se faire une petite toilette.Il est 13h00Quand elle revient les blacks sont tranquillement entrain de parler d’elle, Abdou explique combien elle aime se faire enculer maintenant, gênée, Véronique ne dit rien.Elle regarde les 2 hommes allongés côte à côte sur son lit, ils sont beaux comme des dieux, elle pense que l’occasion ne se renouvellera plus jamais, Abdou a fini son travail demain, alors autant en profiter.Rachid dit qu’il aimerait bien la sucer un peu avant de l’enculer- Viens poser ton joli cul sur ma tête, et écarte bien tes fesses, chérieElle obéit. Pour le moment, il ne bande pas, elle peut savourer la langue, elle s’écarte bien, et la langue active se faufile partout alors que la grosse bouche d’Abdou dévore ses tétons et lui pétrit les seins, elle ne sait plus ou donner de la tête tellement leurs langues lui donnent du plaisir, au bout de quelques minutes, Rachid la repousse et lui intime de prendre place au dessus de sa queueLa bite gonflée se dresse fièrement, elle est dure déjà.- Viens t’asseoir sur ma queue ! De dos, tu vas empaler ma bite dans ton culElle hésite encore, le pieu est énorme, mais l’homme est excité- Dépêche toi chérie, j’ai envie de ton cul, je t’ai bien lubrifié avec ma salive et le cousin t’a bien préparé ces derniers jours, grouille toi !Elle se présente dos à lui, se place au dessus de sa queue, tremblante, elle sent poindre le gland sur son anus. Il force sur ses épaules pour qu’elle s’assied, elle est défoncée par le large diamètre- Ahhhh ouiiiii viens encule toiIl force sur les épaules et Véronique se retrouve totalement empalée sur ce sexe énorme qui l’encule, elle est assise sur la queue, elle halète…Abdou regarde le spectacle, lui aussi bande à nouveau, il lui caresse le clito et sent la colonne de chair du cousin Rachid, il aime aussi à caresser le sexe du cousin.- Allez bouge, salope, démène toi sur ma queue, ordonne Rachid Véronique alors s’active sur le sexe, Abdou l’embrasse et continue de caresser son clito en feu, sans oublier au passage de frôler la pine du cousin, Véronique n’en peut plus, elle est écartelée par la bite disproportionnée qui l’encule, et le doigt accentue le massage du clito, elle va jouir à nouveau- Ouiiii, baisez moi, je jouisssssssss AhhhhhhhhhhhhTelle une furie, elle s’empale sur la tige, Abdou veut son tour :- Tire toi vite, tourne toi, je veux ton cul, on va te baiser à 2Pas le temps de réfléchir, déjà on la bouge, Rachid sous elle, enfonce sa tige dans sa chatte, le cul en l’air bien ouvert attend Abdou, sans attendre, il la sodomise, les grosses queues la baisent maintenant, elle n’ose bouger tellement elle se sent investie par les sexes, elle les laisse faire, elle est comme une poupée entre leurs mains, elle crie de douleur et de plaisir, Rachid enfourne sa grosse langue dans sa bouche, il écarte encore ses fesses pour le passage du cousin qui encule la femelle, en manque de sexe.Une femme qui se fait baiser comme une chienne en chaleur, et c’est Rachid le premier qui jouit en sentant de l’autre coté de la paroi vaginale, la bite du cousin se frotter à la sienne, puis Véronique a un nouvel orgasme quand Abdou se soulage dans son cul.Tous les trois son épuisés quand ils se séparent. Véronique a l’anus en feu. Quelques minutes plus tard, le portable sur la table de chevet sonne, les faisant sursauter.Elle répond encore essoufflée, il s’agit de Patrick, qu’il sera là dans 2 minutes, désireux de voir l’ouvrier avant son départ. Véronique bondit hors du lit, Rachid doit partir immédiatement. Puis il faut se rhabiller, remettre de l’ordre dans le lit. Quand Patrick arrive dans la maison, sa femme le rejoint un sourire un peu crispé, elle lui présente le black, la transpiration lui coule sur le visage, le tee shirt trempé, Patrick est impressionné de le voir aussi assidu et lui dit de ralentir un peu. S’il pouvait imaginer que l’homme n’est pas encore remis de la petite séance qui se déroulait quelques minutes auparavant dans sa chambre à coucher.Patrick rassuré, informe sa femme qu’il a envie de baiser, et autant en profiter, avant que les enfants ne rentrent de l’école.Epouvantée, Véronique se demande comment elle va expliquer le lit défait, juste recouvert du couvre lit et surtout, sous la robe enfilée à la hâte, pas de sous vêtements et du sperme qui dégouline de ses 2 orifices.

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