Finir en un bar à putes

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Finir en un bar à putesJe ne sais par quel bout prendre mon histoire. J’en suis encore tout ahuri. Encore qu’il m’en reste aujourd’hui comme une pointe cruelle de nostalgie. J’ai vécu d’une certaine façon un an d’une vie heureuse avec une femme et comme à l’insu de tous. Le relater ici est de me délester à la fois d’un secret lourd et d’en ériger comme un hommage ou un tombeau comme il est fait pour les poètes. Je ne sais plus ce qu’est devenue cette femme et je me garde bien de le savoir. Ce serait profaner un beau souvenir. Il si sage qu’Eurydice se soit abandonnée un jour au royaume des ombres.Au départ je n’eus aucun doute quant à l’insignifiance de cette femme blonde entre deux ages et qui marchait voûtée et semblait fuir votre regard quand vous la croisiez. Les mauvaises langues soupçonnaient qu’elle fut une femme battue par son rustre de mari lequel à son contraire vous jetait un regard de défi tout d’animosité comme s’il eut voulu sur le coup en découdre avec vous sur un bout de trottoir. Singulier couple en effet. Il était curieux qu’ils aient accepté d’être locataires d’une bicoque en ruines et qu’on disait hantée. On eût dit des terroristes heureux d’être relégués là-bas.Un copain ne m’alerta pas moins sur le mystère de cette femme. Un soir dans le RER fort tard il l’aborda. A pareille heure les femmes sont rares et pour cause vu le danger encouru. Il crut devoir s’improviser en protecteur et tâcha d’entamer la conversation bien qu’elle fut penchée sur son smartphone. Manifestement elle ne goûtât pas l’initiative dudit copain. Celui-ci n’en poussa pas moins son avantage. Il lui expliquât que des voyous écumaient souvent les voitures à cette heure. Il ajoutât : « Votre mari devrait vous offrir le taxi. » Elle répondit amère : « C’est hors de prix. »A ce moment il s’avisa que c’était en effet de pauvres gens et qu’il avait été stupide en son propos. Il s’excusa. Elle sourit enfin. Il me dit que ce visage soudain illuminé lui parut autre. Le soleil des fois vous transfigure en un instant une vague bande de terre qui à la seconde précédente était pitoyable et trop sinistre. Là il fut certain que cette femme devait être ou avait du être jolie. Son air triste et l’absence voulue de maquillage semblaient masquer une vérité. Par jeu il tint à lui faire un brin de cour. Elle en prit son parti comme pour se débarrasser. Elle témoignait d’un caractère trempé.Il obtint de savoir que son mari bossait dans la sécurité et qu’elle vivait de petits boulots. Bref vivant au jour le jour il ne concevait nul avenir. Il lui parût qu’ils n’étaient pas mariés. Du moins n’usât-elle jamais du terme de mari. Elle disait : mon compagnon. En tout cas point de tendresse pour celui-ci. Presque du mépris. Il se proposât de la ramener en voiture ce qu’elle ne put décemment refuser. Souvent se contentait-elle d’un rare et dernier bus. La conversation finit par se languir. Elle regrettait sûrement d’en avoir trop dit. La portière ouverte on eût dit qu’elle fuyait.Il n’y eût pas d’autres fois dans le RER bien que le copain la guettât et laissât même passer plusieurs rames. Il était évident qu’elle s’était organisé pour se défiler et ne pouvoir le rencontrer. Cela le chagrinât plus que cela l’énervât. Il avait soulevé par hasard le voile d’un mystère et on lui refusait d’en poursuivre l’enquête. Je lui dis qu’il s’était fait un film. Je ne voyais que peu d’intérêt dans une créature souvent affublée de ses K-way, jean et baskets. Le cheveu gras mouillé par la pluie. Je ne croyais pas qu’elle put être une Cendrillon en quête de son carrosse. L’ami avait trop d’imagination.L’histoire aurait pu en rester là. Il fallait compter cependant avec un de mes vices et comportements. Chaque fin de semaine avant de m’ensevelir dans l’ennui d’un week-end avec la compagne et les enfants, j’allais volontiers au bois à la sortie de la salle de musculation. J’arguais que j’allais picoler un peu avec deux, trois copains. Du reste ce pouvait être vrai et du reste c’est un copain qui m’initia au jeu d’aller mater les putes voire de monter avec quelqu’une. J’éprouvais là-dedans le doux délice de la transgression et de payer pour qu’une garce me vidât les couilles et m’apaisât en tout le reste.Au bout de deux ans, j’avais fait le tour dudit bois. Du moins croyais-je en connaître tous les recoins. Un gars de la musculation féru aussi du lieu, me parlât d’un chemin jouxtant une usine désaffectée où sévissaient bien d’autres filles. Il appela mon attention par l’évocation de grandes blondes, créatures indéfinies provenant sûrement de pays de l’Est. J’avais une prédilection pour celles-ci. Elles avaient une vie dure et ne s’en faisaient pas compter. Je n’eus de cesse d’aller visiter le fameux recoin. Je vis qu’il était contrôlé par des types balaises soucieux de la sécurité de tous.Fort vite je fus déçu. Il n’y avait pas tant de grandes blondes que je croyais. Le nombre était plutôt aux blacks et latinos dont quelques-unes n’en étaient pas moins jolies. Ainsi le pote pensais-je s’était un peu foutu de ma gueule. Morfondu j’étais sur le point de mater et déjà de rebrousser ankara escort bayan chemin. Quand soudain à l’angle de l’usine en un coin éclairé de la lune, je vis un petit vieux vicieux qui négociait avec une blonde en short moulant et cuissardes rouges. Je les dépassais et m’avisais déjà du visage mignon de la blonde quand je l’entendis proférer à mon égard : « Bonsoir beau gosse.»Je me retournais et vis que le vieillard déjà s’éloignait qu’elle avait peut-être éconduit. J’hésitais puis rebroussais chemin. J’avais envie d’un peu de piment et pourquoi ne pas papoter ainsi avec une jolie fille. Je l’abordais tout sourire et n’en vit pas moins en son visage fort maquillé passer une ombre et comme une réticence. Mon instinct me glissât qu’il y avait là-dessous un mystère. Manifestement cette personne me connaissait et regrettait déjà de m’avoir héler. Je ne l’en dévisageais que plus et elle tournant la tête verser celle-ci dans l’ombre semblant fuir mon examen trop judicieux.Puis il y eût l’éclair de lucidité. Je sursautais. Bon sang : c’était elle. Je découvrais sous le fard, le maquillage et les atours d’une prostituée l’être, la réalité de ma petite voisine blonde et fadasse. Le ciel me tombant sur la tête n’eût pas fait plus de dégâts. Je ne pus réprimer un franc et sain rire. Deux filles au loin regardèrent de notre côté et marquèrent comme indécent une telle démonstration de bonne humeur. C’est à peine si elles ne m’eussent pas reproché qu’ici c’était un lieu décent et comme religieux où il n’était convenable de rire et de moquer. Je redevins du coup sérieux.A présent penaude ma pute de tout à l’heure s’était d’un coup affaissée et rabougrie. J’en eus presque pitié. Je m’en voulais de m’être moqué. Non ce n’était pas rigolo. On ne plaisante pas le plus vieux métier du monde. A pareille heure exposer dans la fraîcheur du soir ses cuisses et une partie du cul n’est pas une sinécure. Pour me ratt****r j’eus idée de revenir aux réalités du business. Je lui dis : « Combien la pipe et voire le reste ? « Elle balbutia un prix que je n’entendis pas. Je répondis laconique : « C’est bon pour moi. » Elle partit d’un coup le long du mur s’engouffrant en une brèche.Je la suivis pensant que ce pourrait être un traquenard et que derrière le mur m’attendait un type qui m’assénerait un coup sur la tête pour me dépouiller. Je l’aurais bien mérité. Nous nous trouvâmes ainsi en une semi-pénombre parmi les herbes folles. Elle s’était reprise un peu. N’étais-je pas un client lambda. Machinalement avais-je baissé déjà le pantalon. Elle accroupie avait commencé à me branler et affermir ma queue. Bientôt éprouvais-je la muqueuse de sa bouche. Elle commençait à me sucer. Je me dis que ma voisine fadasse se débrouillait fort bien. Je parvins enfin à me décontracter.J’avais envie d’être gentille avec elle. Je lui dis que j’étais ok pour davantage et qu’elle me plaisait. Elle se releva et se dirigea vers un gros mur peu loin. Celui-ci était chaud comme celui d’un a****l. Je me dit que cette usine désaffectée vivait peut-être d’une autre vie souterraine. Elle abaissât son short jusqu’à l’enlever m’offrant des fesses parfaites séparées par le fil ténu et invisible d’un string. Maintenant elle était appuyée contre le mur et se cambrait. J’y vins bientôt pour m’accroupir presque religieusement. En effet les filles tout à l’heure avaient fait effet sur moi. Il fallait tout honorer.Je me souviens. Je léchais, bouffais avec piété et dévotion ce cul. Elle gémit ou du moins l’affectât comme il sied à toute professionnelle pour un client dupe. Je me délectais de ce petit trou triturant celui-ci avec le doigt. Je manifestais ainsi mon intérêt pour une sodomie. A cet instant elle se tourna à demi me fit un signe pour me signifier que ce serait tant de billets. Je dis ok. Elle s’accroupit à nouveau pour me branler et installât un préservatif comme il est d’usage. Puis peu après je la bourrais debout derrière en fond de chatte. La prochaine étape étant de l’enculer. Jouissive échéance.Je fis cela avec rudesse voire sadisme. Passait en mon esprit, son personnage fadasse si timoré ce dont nous nous étions habitués au quotidien. Je songeais à mon sot copain de voisin qui l’avait en vain dragué ce soir-là dans le RER. Il serait fort surpris de me voir là entrain de lui ravager l’anus avec la bite. J’y allais à fond cette nuit-là en voulant pour mon fric. Elle encaissait le tout avec du flegme émaillant cela de temps en temps de petits cris de jouissance obligés. Enfin parvins-je à une éjaculation suprême évacuant le foutre et de rage en arrachant le préservatif pour le jeter au sol.Je la fixais tandis que je lui tendais les billets. Elle baissait les yeux. J’attendis en vain quelque remerciement d’autant que j’avais à dessein augmenté la somme comme pour lui témoigner ma reconnaissance en même temps que ma pitié. Peut-être éprouva-t-elle ce dernier point qui dut la chagriner plus que l’induire à la honte. A ce moment son téléphone sonna. Elle me tourna le dos pour répondre. Je ne pouvais décemment rester là m’éclipsant sans dire mot. Je ankara escort me retournais un instant. Elle conversait toujours frêle silhouette au long du mur. Je n’avais jamais été si heureux.Là aussi se trouva-t-il que comme par hasard durant une semaine je ne pus croiser la belle dans le quartier. Manifestement elle s’employait à m’éviter. J’en conçus une vague frustration. J’aurais voulu croiser son regard et lire dans celui-ci son dépit ou une émouvante émotion. N’avions-nous pas d’une certaine façon été intimes là-bas dans le bois près du mur épais ? Nous partagions un lourd et beau secret. J’avais décidé de n’en parler à personne et je voulais le lui dire pour la rassurer un peu. Je ne la jugeais pas. Cela augmentait au contraire son mystère et me la rendait si désirable à présent.Finalement contrevenant à mes habitudes je choisis un mardi soir d’aller là-bas. Un pote m’offrit quelqu’alibi. Je devais l’aider à parfaire sa compta. Il m’offrait en échange de dîner dans un bon restaurant. Je devais rentrer à pas d’heure. Ce genre d’agape était souvent arrosé ce qui désolait ma dame. J’allais au bois et tout droit vers mon fameux mur. Elle était là comme l’autre fois et en compagnie d’une grande fille babillant et fumant toutes deux. Je vis qu’elles riaient ce qui était pour moi une nouveauté quant à ma belle. Cela ne parut l’enchanter que je la surpris en une telle humeur.L’autre devinât pour qui je venais et s’écartât avec tact. Cette fois elle me dévisageât avec aplomb. Elle n’avait plus peur de moi. Cet air sévère me réjouit. Nous allions pouvoir rentrer dans le vif du sujet. Je voulais cependant poser mes conditions et marquer mon territoire. Sans ambages je lui dis que je voulais davantage de temps et faire cela dans une voiture. Je paierais en conséquence. Elle vit que j’étais résolu ce qui emportât un peu son début d’hésitation. Elle me suivit à travers les fourrés se dandinant dans ses fameuses cuissardes. Je bandais tel un turc trop heureux comme un fou.Elle avait du souvent me voir garer cette auto et en sortir dans le quartier. Elle n’en marqua pourtant aucun émoi. J’ai toujours adoré qu’on me prodigue une fellation sur les sièges avant. Nombre de filles ou garces y sont défilées. Tant des amies, collègues, prostituées que même d’autres voisines de quartier. J’aurais voulu me vanter de mes nombreux exploits mais elle m’aurait sûrement écrasé de son mépris. Elle ne devait pas avoir en grande estime pour les Don Juan d’opérette. Machinalement caressais-je ses cheveux blonds tandis qu’elle me pompait à fond consciencieusement.Je l’encourageais à poursuivre au risque de me répandre dans sa bouche. Ma main s’était glissée sans vergogne sous la minijupe rose qu’elle portait. Écartant le mince fil du string je jouais avec ton mignon trou de cul, rosace belle de cathédrale. Elle savait mon vice et comprenait qu’elle n’y dérogerait pas. Ces dernières nuits j’avais rêvé de l’enculer encore une fois. Je tins pourtant après la pipe qu’on marquât une pause. Je lui offris une cigarette qu’elle acceptât volontiers. Elle vit qu’elle ne couperait pas de quelques propos échangés. Je lui demandais : « Tu fais çà depuis toujours ? »Elle répondit laconique : « Depuis toujours. » Tentant de la rassurer j’enchaînais : « N’ai crainte, je sais fermer la gueule. Je ne juge pas. C’est un boulot comme un autre. » Je poursuivis : « Je conçois que ton bonhomme soit au courant. » Elle répondit me fixant intensément : « Oui il est plus qu’au courant. » Comprenant qu’il ne fallait aller plus avant dans mes propos inquisiteurs, je finis : « En tout cas tu es très belle et tu me plais. » Elle sourit enfin percevant la candeur et la sincérité de ma propos. Elle jetât un regard sur le siège arrière pour signifier la suite des opérations.J’avais décidé de prendre mon temps. Elle en prendrait plein le cul. Qu’elle n’escomptât pas que j’éjacule hâtivement. Je savais me contrôler et différer ma jouissance. J’en voulais pour mon argent. Tout une demi-heure, notable exploit je limais son trou de cul. De toute façon celui-ci avait tant de fois été éprouvé qu’il pouvait s’armer de patience. Cette fois je pris l’ignoble liberté de l’embrasser à plein bouche tandis que je la défonçais par-derrière. Les putes ont horreur d’un tel caprice. C’est comme leur infliger un viol. Elle se laissât faire. Ce qui marqua pour moi notre complicité.Je rajoutais plusieurs billets au prix convenu. Elle ne put réprimer un grand sourire et ce propos : « Tu m’as l’air de m’avoir à la bonne. » Je confirmais et je l’embrassais à nouveau. Je voulais qu’elle me considérât par ce geste si intempestif comme un amant plus qu’un client. Je voulais qu’elle me fit une place dans sa vie. J’étais à prêt à payer pour cela. L’argent pour elle était un solide argument. Elle avait une vie de misère et était au fond du trou. Elle acceptait sans mal la générosité du pigeon que j’étais. Nous trouvions là-dedans tous deux notre intérêt. Je l’entretins de la prochaine entrevue.Ce serait dans un hôtel de luxe parisien et j’exigeais que ce fut pour trois heures au moins. Je lui marquais escort ankara par là que j’étais plein aux as. Que je ne regardais pas à la dépense quand une fille me plaisait. Elle m’en sut gré. Elle m’avouât par la suite qu’elle n’avait jamais eu cette chance. Qu’elle n’avait jamais suscité pareille dévotion chez un client. Elle trouvait même cela bizarre. Que pouvais-je lui trouver de différent d’une autre fille ? Je vis que c’était son tour d’avoir envie de savoir sur moi. Elle n’avait jamais conçu être autre chose qu’une pauvre et vieille catin.Elle fut sincèrement éblouie par le faste de l’hôtel. Je ne lui avais pas menti. A la connivence du personnel, elle vit que j’étais un familier du lieu. J’y avais sûrement amené d’autres poules. Elle ne put s’empêcher contrite de dire : « Tu as du y emmener de superbes call-girls. » Je ne pus réprimer de sourire car c’était vrai mais j’aurais pu ajouter qu’avec elle c’était différent et si unique. Cependant et encore aujourd’hui je ne parviens à m’expliquer l’emprise que cette femme exerçât d’emblée sur moi dès le soir où je la découvris mi-nue près du mur dans les atours d’une prostituée.Ce devait être notre destin et notre fatalité. Cette après-midi j’ose dire que nous fîmes l’amour. Nous fûmes amants en effet. J’eus l’impression qu’elle se débarrassait de son masque et de son armure. Qu’enfin elle se lâchait. Sûrement n’avais-je eu de cesse de découvrir la vraie et belle personne qui se cachait en elle. On eût dit un diamant qu on avait enfoui au profond de la terre. Je voulais que celui-ci fut ramené à la lumière du ciel. Je tins ce jour-là la convaincre qu’elle méritait une autre et meilleure vie mais elle se fermait à chaque fois que j’évoquais celle-ci et son mari.Sa vie était lestée d’un boulet énigmatique qui inexorablement la happait vers le bas. Je ne pouvais pas supporter qu’elle retournât là-bas dans le bois se prostituer. Je le lui dis. Elle le prît mal fort mal. »C’est notre gagne pain ! » Je compris par là que son homme était un foutu branleur vivant d’expédients et la réduisant à ramener ce fric. Je devais procéder autrement et faire montre de plus de tact. Déjà je pus la convaincre et ce aisément que nous baisâmes dans des hôtels ou partout ailleurs que dans ce bois. Je ne pouvais me résoudre à la voir vaquer dans ce sinistre contexte.Puis survint ce hasard qui démêle tant de choses. J’étais entre autres vices familier d’un bar à putes vers les Champs Élysées. Or ne voilà-t-il qu’un soir je m’épanche un peu imbibé auprès du patron du lieu. Un certain Ferdinand. Il vit bien que j’étais mordu d’une petite. Il ne fut pas peu étonné quand je lui dis que c’était une femme mûre et qui avait vécu et surtout s’adonnait présentement au plus vieux métier du monde. Il vit que je prenais fort mal son air narquois. Il mesurât ma peine. Le lendemain j’eus ce SMS lapidaire. « Viens ce soir couillon je veux te dépêtrer de ton problème. »Il avait trouvé une solution lumineuse. Sa fille du vestiaire originaire de Croatie avait décidé sur un coup de tête de retourner au bled. Il devait lui trouver une remplaçante. Il prit cela comme une heureuse coïncidence que je lui parlas de cette autre personne. Il me demandât instamment à la voir. Il me restait cependant à la convaincre. Ce ne fut pas facile. Je dus exagérer les émoluments pour la décider. Enfin un soir tandis que j’étais en famille affalé devant la télé, j’eus d’elle ce petit SMS : « Ton ami est sympa. Son job me tente. Faut que j’en parle à mon mari. » L’horizon se dégageait.Je dus pourtant en rajouter une couche une fois que nous fûmes nus dans un pieu d’hôtel. Elle se battait avec ses derniers scrupules. Son instinct trouvait que tout cela était trop beau pour être vrai. Le Destin ménageait là-dessous quelque piège. Je dus démonter un par un ses spécieux arguments. Elle m’avouât sur la fin que son mari était favorable voire enchanté de ma proposition. Elle me suçât avec plus de flamme et de générosité que d’habitude. Je compris qu’elle se libérait enfin. Je pus sans vergogne lui taper dans le cul. J’eus la nette impression qu’elle n’affectait pas de jouir.Elle devait commencer dans quinze jours. J’appris avec chagrin que le pote lui avait concédé qu’elle pourrait arrondir ses fins de mois en octroyant de petits plaisirs à certains clients. Bref elle n’avait pas choisi de renoncer tout à fait à son ancien métier. Surtout voulus-je m’assurer qu’elle ne retournerait pas tantôt à son petit bois près du mur. Ainsi vins-je plusieurs fois le soir à cet endroit. Puis même vins-je à la filer plusieurs fois. Je fus convaincu qu’elle allait à son nouveau métier. J’obtins de temps en temps que nous allions à l’hôtel. J’insistais que tout cela demeurât encore tarifé.Puis un jour d’un commun accord nous convînmes de ne plus nous voir peu après qu’ils eussent tous deux déménagés du quartier. Ils habitaient maintenant Paris peu loin du bar à putes. Le pote en effet avait dégoté pour son mari un poste de vigile en un parking de la capitale. Cela roulait pour eux. Ce fut plus fort que moi un soir j’eus idée de me grimer pour m’improviser client au bar à putes. Il y avait foule. Je pus à loisir espionner. Je la reconnus de loin belle, changée et lumineuse à son vestiaire. A un moment je vis un cochon lui chuchoter à l’oreille. Elle rit me décidant à m’en aller.

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