Infidèle-suite2

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Ahegao

Infidèle-suite2Après quelques heures de vol, vous voilà enfin livrée à votre nouveau propriétaire.Sur place deux femmes habillée en noir vous emmenèrent dans votre nouvelle maison.Vous découvrirent un palais des milles et une nuit aux portes du désert ou hommes armées et barbelés ne permettraient sans doute aucun échappatoire .On vous emmena dans une pièce souterraine ou éraient de nombreuses femmes toutes plus jeunes les une que les autres . Une sorte de mère maquerelle s’approcha de vous, pour vous scruter.Vomissant quelques mots dans le patois local ,vous comprîtes assez rapidement qu’elle avait donné l’ordre que l’on vous lave et vous apprête pour la soirée.Le propriétaire serait là ce soir et vous deviez être préparée.Deux jeunes femmes locales se mirent en marche et vous tirèrent avec elle afin de vous redonner un peu d’allure.Elles vous firent prendre un bain aux odeurs indescriptibles tout en vous caressant sensuellement,elles profitaient de laver chaque partie de votre intimité,qui avait été souillée.Leurs caresses déclenchèrent chez vous un flot ininterrompu de sensation. Vous tentâtes d’en embrasser une,mais celle-ci vous repoussa. Vous n’appartenez qu’au maître,elle aussi d’ailleurs.Malgré cela vous essayâtes une nouvelle approche avec la seconde celle-ci se laissa convaincre.De longs et langoureux baisers s’en suivirent, assortis d’attouchements plus sensuels les uns que les autres. Votre première accompagnatrice ne supportant pas cette vue s’éclipsa sans bruit.De caresses en baisers, vos gémissements étaient de plus en plus perceptibles. Même votre jeune masseuse commençait à émettre des soupirs puissants. Elle commençait à jouir et vous de même.Soudain des hurlements se firent entendre derrière vous , la tenancière du lieu,accompagné de deux hommes surdimensionnés vous arrachèrent à vos étreintes. Emmenant séparément la jeune Djamilla et vous même.Ici tu n’a pas le droit au plaisir idiote, si toi tu ne le savait pas, elle oui, elle en subira les conséquences !!Ces quelques mots vous glacèrent et il ne fallut que peu de temps pour que vous compreniez ce qui allait se passer. Les premiers coups de fouet retentir, Djamilla hurlait à la mort, elle sera puni jusqu’à que le sang coule. Plusieurs dizaines de marques ornaient déjà les courbes de son corps et pour l’instant ce n’était que le début. Vous envisageâtes de lui porter secours, mais votre corps encore meurtri de votre récente correction ne le supporterait sûrement pas. Vous vous fîtes toute petite pour éviter que l’on ne vous devine . Ça n’empêcha pas l’un des hommes de vous faire remarquer que la prochaine fois ce serait vous qui seriez là si l’incident canlı bahis se reproduisait.Pendant que la belle arabe continuait à se faire flageller dans un vacarme assourdissant on vous installa sur une table, les poignets attachés, ainsi que les genoux de manière que votre sexe soit grand ouvert. Le maître des lieux vint mettre ses doigts dans votre chatte pour s’assurer que vous étiez bien propre. Il adressa quelques mots dans son langage à un gros homme suant. Celui-ci s’approcha de vous d’un air satisfait et vous fourra sa queue entre les cuisses. Ses petits va et vient quoique ne faisant pas beaucoup d’effet à votre vagin déjà bien détendu, avaient en revanche la fâcheuse particularité de ramener ses effluves de transpiration dans votre direction. Les autres hommes ne regardaient quasiment plus Djamilla qui continuait à souffrir, mais attendait de voir si le gros homme allait réussir à vous arracher un cri. Ce spectacle dura plusieurs minutes sans qu’aucune grande musique de votre part ne vint glorifier le coït de ce malheureux. Il ne manqua néanmoins pas de vous éjaculer abondamment sur le ventre, ce qui vous laissa là aussi muette. Cette petite séance amusa les autres hommes de la pièce lui faisant des remarques sans doute moqueuses sur sa piètre prestation. La musique du fouet continuait à être bien présente, mais la belle naïade avait perdu connaissance ça n’empêchait pas son bourreau de continuer à la frapper. Le Cheikh ordonna à un autre homme de venir vous embrocher de son sexe impressionnant. Lui réussi à vous arracher quelques cris de douleurs ,tellement sa bite était grande. Il vous martelait sans discontinuer vous faisant remonter les organes tel un marteau piqueur. Sa prestation fût courte mais son jet puissant il vous dégoulina sur les seins, vous commenciez à être couverte de foutre . Le maître des lieux ordonna la fin de la torture, néanmoins Djamilla resta attaché, comme en exposition.Un troisième homme arriva vers vous et vous pénétra à son tour, les autres continuant à regarder.Ce petit concours, vous le comprîtes plus tard, faisait office d’entremets avant le dessert, le gros homme lui était déjà prêt à repasser à table. Votre ouvrier du moment lui avait adopté la méthode de la vitesse. Les coups de queues qu’il vous faisait subir étaient d’une rapidité proche de celle d’un lapin lubrique. Vous fîtes quelques petits cris dont on ne savait s’il s’agissait de plaisir ou d’échauffement. Le tout se solda d’une bonne giclée entre vos cuisses rougeâtres, vous étiez luisante.Vint le tour de l’hôte, il s’assura que votre anus était bien sec d’abord, puis vous enfourna sa bite dans le cul sans ménagement. Cette bahis siteleri entrée fracassante déclencha chez vous un cri a****l qui ressemblait plus à de la douleur que du plaisir. Néanmoins il continua son travail de sape vous arrachant coup après coup des cris plus expressifs les uns que les autres. Vous secouant avec une énergie débordante ,il se retira au bout de quelques minute pour venir mettre sa queue dans votre bouche. Il aboya quelques mots qui semblait vouloir dire ,goûte ça c’est le goût de ton cul !!Au bout de quelques minutes, son sexe dégorgea dans votre bouche,vous inondant. Le dessert allait pouvoir commencer. Quelques minutes de répit vous furent laissées, le temps que les hommes se restaurent. Puis le Cheikh ordonna que l’on vous retourne et vous attache penchée sur la table.A chaque cri tu sera punie !!Un malabar s’approcha de vous et se dégarnit, sa queue était déjà en érection prête à vous prendre. Le Cheikh marmonna quelques instructions supplémentaires. Qu’on lui enfile un godemichet dans l’anus avant la saillie d’ Akim.L’interprète s’exécuta et vous fourra le cul d’un toy énorme. Vous vous retîntes de pousser un nouveau cri le fouet n’étant pas loin. Une fois l’objet inséré, Akim s’approcha et vous empala de son sexe énorme déclenchant en vous un râlement que vous ne putes retenir.Le premier coup punitif ne se fit attendre. Le molosse vous fourrait telle une truie, ne cherchant qu’une chose vous faire couiner. Au premier son le fouet s’abattait à nouveau dessinant de somptueuse traînée rouge sur votre dos. Vous n’êtes jamais plus belle que marquée par l’étrivière, votre corps devenant une œuvre d’art. Notre homme astiquait votre vagin avec l’énergie d’un athlète poussant sa bite au plus profond de votre anatomie. Faisant dessiner sur votre corps rougissants un chef d’œuvre d’art graphique.Au bout de plusieurs heures de ce traitement ,vous fûtes envoyée avec votre amantes au fin fond d’une geôles afin de réfléchir à votre comportement.Jetée dans un cachot sordide avec votre compagne d’infortune, vous ne putes éviter les attouchements des gardiens. Ceux ci n’ayant pas l’habitude de voir souvent des putains blanches, ils en profitèrent pleinement loin des yeux du cheikh et de sa garde rapprochée. Ils étaient laids et sentaient extrêmement fort, vous donnant à moitié envie de vomir. Vous étiez leur principal centre d’intérêt, Djamila étant beaucoup trop proche de leur culture, elle en devenait beaucoup moins tentante.De plus elle feignait très bien l’inconscience, démotivant les deux affreux. Vous ordonnant de vous mettre à quatre pattes le premier baissa son pantalon. Exhibant son sexe amoindri bahis şirketleri sans doute par une mutilation, il vous ordonna dans sa langue de le prendre en bouche. L’odeur était telle que vous ne putes lui obéir. Il vous attrapa violemment par les cheveux rapprochant votre nez à sonappendice ,pendant que son congénère équipé d’un bâton vous frappa brutalement sur les fesses. Vous n’eûtes d’autres solutions que de vous exécuter. Là, la chose en bouche vous commençâtes à œuvrer autant que possible, l’autre homme continuant à vous battre avec son bâton pour vous motiver. Les coups de bâton s’interrompirent et vous sentîtes arriver une autre sorte de punition, l’autre gardien était en train de vous prendre par le cul. Vous étiez encore humide, la pénétration anale fût une formalité. Les deux ouvriers vous astiquèrent avec énergie pendant plusieurs minute lorsque soudain, un bruit de porte se fit entendre. La mère maquerelle apparue à la porte consternée par la vision de cette nouvelle incartade .Les deux hommes n’eurent d’autre choix que de se rhabiller rapidement ne pouvant finir leur ouvrage. Dans un langage que vous ne compreniez toujours pas ,elle ordonna que l’on vous emmène. Les deux acolytes s’exécutèrent et vous fûtes transportée dans une coure à l’extérieur.Là se trouvait une potence servant sans doute aux exécutions. Avec des cordes vous fûtes attachée de manière que vos pieds ne touchent le sol que par leurs extrémités. Les deux gardiens prirent chacun un fouet et sur l’ordre de la matriarche commencèrent à vous flageller une fois encore. Votre corps tellement meurtri par les traitements successifs qu’il avait subi ne semblait ne plus répondre. Vous émîtes quelques cris ,mais tellement insignifiant que la correction semblait bien inutile. La mère maquerelle pendant ce temps téléphona, sans doute pour prendre des instructions. Quelques dizaines de coups plus tard vous fûtes détachée et mise dans une cage en fer, toujours nu.Deux molosses vous emmenèrent à l’arrière d’un camion. Celui ci roula pendant plusieurs heures vous laissant réfléchir longuement à votre destin si tragique. Le transporteur finit par s’arrêter, de votre place vous pouviez entendre des bruits de gens parlant fort dans un dialecte qui vous était totalement incompréhensible.La bâche du camion se releva et vous aperçûtes un marché aux bestiaux, vous alliez être vendue. Disposé sur une sorte d’estrade, des hommes de toutes sortes vinrent constater l’état et la fraîcheur de la marchandise. Un homme borgne s’approcha et proposant un prix vous acheta à pas cher, c’était un gardien de chèvre. Il installa votre cage sur le dos d’un mulet et vous emmena dans son village dans les montagnes à 50km à pied de toute civilisation. Pendant de nombreuses années, vous fûtes violée et battue par votre propriétaire. Ce fût la dernière fois que l’on entendit parler d’Aurore l’esclave.

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