La femme de Marc [6]

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La femme de Marc [6]Les jours ont passés, j’ai eu une longue discussion avec Sophie, qui flippait pour son couple. Julien était tellement content de ce qu’il s’était passé qu’il voulait à tout prix remettre le couvert. Son comportement de mort de faim bloquait Sophie ; même seul elle ne voulait plus rien. J’ai dû donc calmer Julien, lui faire comprendre qu’il fallait plus en parler… ça n’a pas été facile. Sophie voulait à tout prix qu’il efface les photos, mais il n’a jamais voulu. Il lui a promis de les garder pour lui, seul effort qu’il a consenti. Puis en octobre, Marc nous propose un week-end à Salou, au Port-Aventura. J’accepte avec joie, Julien aussi, on se retrouve à une douzaine de potes, dont 3 couples. On décide de louer deux petits appart, permettant d’avoir un confort assez sympa pour un budget maîtrisé.On part le vendredi soir, à 4 voitures, mais on ne part pas tous en même temps. On a 2 heures de route. Dans ma voiture j’ai Julien, et deux copines (Emilie et Jessica). On arrive aux apparts de location à peu près en même temps qu’une autre voiture, avec un des couples du week-end (couple gay, Eric et Mathieu) ankara escort et Johanna. On va faire le tour des apparts, et on s’installe dans l’un. Emilie et Jessica s’installe dans le même que nous, Eric Mathieu et Johanna prennent le second. Dans la soirée, un autre couple et un pote nous rejoigne (Antoine et Marion, avec Pascal), ils s’installent dans le 2nd appart, et on n’attend plus que Marc et Sophie pour aller manger. A peine arrivés, ils n’ont plus le choix de l’appart, et s’installent avec nous. Je sens une grosse gêne chez Sophie, et un je vois souvent Julien lui lancer des regards pleins de vices. Je croise les doigts pour que tout se passe bien.L’appart était composé d’une chambre avec un grand lit, une chambre avec deux petits lits, et un canapé clic-clac. Sophie et Marc ont bien entendus pris le grand lit, Emilie et Jessica le clic clac, nous laissant à Julien et moi les petits lits. Ce qui m’allait très bien. Après le restau, on retourne aux apparts et on se couche tôt, voulant profiter un max du parc le lendemain. Pendant la nuit, j’ai surpris Julien se lever, en écoutant le bruit des pas ankara escort bayan j’ai compris qu’il était allé mater dans la chambre de Sophie. J’ai rien dit, faisant semblant de dormir. Le lendemain matin, je me lève en premier. Les filles dans le clic clac dormaient en petite tenue, et j’ai eu la chance de pouvoir mater un peu, histoire de me mettre de bonne humeur dès le réveil. Je suis allé me doucher, et en sortant, Emilie était réveillée et attendait son tour. Jessica dormait toujours, une jambe par-dessus la couette, laissant à ma vue son joli petit cul. Emilie a bien vu que je matais, mais n’a rien dit, me faisant un clin d’œil. Suivants à la douche, Marc et Sophie, puis Jessica et finalement Julien. Pendant que les derniers se douchaient, je prenais mon café avec Marc, qui n’a pas pu s’empêcher de me raconter en détail la pipe que venait de lui faire Sophie dans la salle de bains. Comme on parlait d’elle on avait inconsciemment les yeux rivés sur elle, et, pas conne, elle a bien compris de quoi il en retournait. Le rouge lui est venu aux joues, puis elle a décidé de retourner dans leur chambre ranger escort ankara un peu.La journée au parc s’est super bien passée. Pas mal crevés, le soir, on décide de se faire un apéro dans l’autre appart, tous ensemble. On est allé chercher de quoi boire et des gâteaux d’apéro, et l’alcool a coulé à flots. Je flirtais avec Emilie, Julien draguait Johanna, mais souvent nos regards finissaient sur Sophie. Elle portait un jean moulant avec un t-shirt ample ; quand elle levait les bras on avait pleine vue sur un soutif rouge. Dans la soirée, Julien a envoyé un message sur le groupe whatsapp. Sophie et moi avons reçu le message en même temps, et avons sorti nos téléphones. Le message disait : « Retire ton soutif ». Après l’avoir lu je regarde la réaction de Sophie, qui s’était empourprée, et qui semblait paniquée. Quelques secondes après elle envoie sa réponse : « ça va pas non ?! beaucoup trop risqué ! ». Julien, qui avait un coup dans le nez, a décidé d’insister, mais malgré toute sa lourdeur, il ne lui a jamais fait de chantage, même saoul. Sa réponse n’a pas tardé : « je m’en fous, je veux voir tes seins ». Sophie a lu le message, mais ne savait pas quoi répondre. J’ai alors suggéré : « on verra plus tard, quand on sera à notre appart ». Julien m’a regardé avec un grand sourire, Sophie ne semblait pas rassurée, son regard était plein de reproches.

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