Marie au parking

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Babes

Marie au parkingMarie au parkingMarie et moi attendions avec impatience la visite de contrôle qui devait suivre quinze jours après la visite initiale. Nous allions ensemble chez d’autres clients mais jamais pour une journée complète comme lors de la première visite que nous avions faite tous les deux.Durant ces courtes visites nous ne nous étions pas gênés pour explorer nos corps par de longues embrassades, des caresses ou à coups de langues et de lèvres sur nos parties intimes.Pour l’une de ces visites nous dûmes garer la voiture dans un parking souterrain faiblement éclairé. Légèrement en retard pour notre rendez-vous nous nous embrassâmes rapidement et nous dirigèrent vers l’ascenseur main dans la main.- A quel étage devons nous monter ? demandais-je à Marie en appuyant sur le bouton d’appel.- Au huitième, me répondit-elle.En attendant que la cabine arrive je me plaçais derrière Marie et soulevais sa jupe pour lui pétrir les fesses d’une main et les seins de l’autre. Marie réagit en tendant se cambrant, faisant ressortir d’avantage sa croupe et ses seins.L’ascenseur ne devait pas être un modèle de modernité car il mit du temps à venir et lorsque la porte s’ouvrit je chuchotais à l’oreille de Marie :- Je vais avoir le temps de te brouter la chatte pendant la montée, à la vitesse que ce déplace cet ascenseur je devrais même avoir le temps de te faire jouir.- Tu l’as déjà fait dans un ascenseur ? me demanda-t-elle ? Moi jamais, avec mon mari c’est toujours au lit et vite fait…- Pour moi aussi c’est une première, lui répondis-je. Je préfère les escaliers, on en entend les gens venir de loin…J’avais à peine dis ces mots qu’une voix de femme nous parvint aux oreilles :- Attendez-moi, s’il vous plait.Tout en tenant la porte ouverte je dis à Marie à voix basse :- Notre baptême d’ascenseur n’est pas pour aujourd’hui…Marie avait redescendu sa jupe que une femme d’une quarantaine d’années entra dans la cabine et se plaça contre la paroi du fond.- Je vais au septième, nous dit-elle.Marie, qui était la plus proche des boutons de commande de nous deux, appuya sur le sept et le huit. Profitant de me trouver derrière elle, je posais la main sur sa fesse, cachant ce geste aux yeux de la dame.Ma main descendit sur la cuisse de Marie et se glissa sous sa jupe. Lentement je la remontais vers le haut des cuisses puis passais les doigts sous la culotte. Elle écarta légèrement les jambes pour faciliter le passage de ma main vers sa chatte et mes doigts se couvrirent de mouille épaisse alors que je les glissais sur les lèvres de son puits d’amour.Etait-ce mon geste qui l’excitait tant ou le fait d’avoir une tierce personne à nos côté pouvant nous surprendre ? Pour ma part, l’idée que cette dame puisse voir mes gestes me faisait bander encore plus fort et je pris la main de Marie pour la poser sur ma verge afin qu’elle puisse le constater.L’ascenseur arriva au septième et dans les mouvements que nous dûmes faire pour la laisser passer nous nous séparèrent. Elle semblait n’avoir rien remarqué. La dame sorti et fut remplacée par deux hommes. L’ascenseur repris sa course et nous déposa au huitième.Durant l’entretien avec notre client ce dernier appela sa secrétaire pour qu’elle nous fasse amener des pièces manquantes dans le dossier. A ma grande surprise ce fut la dame de l’ascenseur qui entra et notre client nous la présenta :- Marie B., Sylvain F., voici Valérie M. ma nouvelle collaboratrice, chargée d’aplanir les difficultés entre nos deux entreprises.- Enchanté(s), répondîmes-nous en même temps en lui serrant la main.Je ne l’avais pas vraiment regardée durant la montée, mais je dois bien admettre que cette Valérie était très agréable à regarder et sa voix m’enchantait les oreilles.Pour regarder plus facilement les divers plans, nous passâmes dans la salle de réunion et nous nous installèrent autour d’une grande table. Je m’installais à côté de Marie tandis que Valérie prenait place de l’autre côté de la table. Notre client nous laissa entre nous et reparti dans son bureau. Marie se mit à me faire du pied tout en discutant avec Valérie, et je me disais qu’elle était bien habile pour me donner l’impression d’avoir trois jambes quand, soudain, je réalisais que Valérie elle aussi faisait du tricot güvenilir canlı bahis siteleri avec mes jambes.Nous étudiâmes le dossier pendant une heure encore puis vint le moment de repartir. Valérie et Marie avaient sympathisé et cette dernière lui proposa de nous accompagner jusqu’à notre voiture afin de lui donner une documentation quelconque qui s’y trouvait.De retour dans l’ascenseur, Marie et Valérie se placèrent chacune d’un côté de moi. La porte à peine refermée que des mains se posèrent sur mes fesses et sur ma verge. Ces deux cochonnes s’étaient données le mot pour s’occuper de moi sans même qu’elles aient eut à se parler.Les yeux de Marie brillaient de plaisir lorsqu’elle guida la main de Valérie sur mon sexe et elle m’embrassa goulument puis laissa la place à Valérie pour qu’elle en fasse autant.Pendant que la langue de Valérie fouillait ma bouche, Marie ouvrit la braguette de mon pantalon et commença à me masturber au travers de mon slip. Une seconde main, que je supposais être celle de Valérie, vint vite la rejoindre et se posa sur mes testicules.Posant sa joue contre celle de Valérie, Marie se joignit à notre baiser et nos trois langues s’emmêlèrent jusqu’à ce que l’ascenseur soit arrivé au sous-sol. Nous nous séparâmes lorsque la porte s’ouvrit et Valérie nous demanda :- Où est garée votre voiture ?De la main nous indiquâmes à Valérie où elle se trouvait. Elle se dirigea vers une armoire électrique, l’ouvrit et coupa la lumière dans la section correspondante.- Ce sera plus pratique au cas où quelqu’un arriverait dans le parking. Il nous nous suffira de rester tranquille et on ne nous verra pas.- Bonne vu, répondit Marie en ramassant son sac et en me prenant par la main. Allons-y.Arrivé à la voiture j’ouvris le hayon du coffre et débarrassais quelques bricoles qui s’y trouvaient pour me faire de la place avant de m’y étendre. Lorsque je me retournais pour inviter Marie et Valérie, celles-ci étaient en train de s’embrasser avec fougue. Valérie avait passé une main sous la jupe de Marie et lui branlait la chatte pendant que Marie lui caressait les fesses.- Oh, les filles ! leurs dis-je. Installez-vous dans le coffre à côté de moi.Marie s’installa sur le plancher à mes côtés et Valérie se posa sur elle. Elles reprirent leurs embrassades aussitôt tout en continuant de se caresser. D’une main, Valérie fouillait la chatte de Marie qui se mit à gémir de plaisir pendant que ses mains dégrafaient le pantalon de Valérie puis le baissèrent.Marie souleva le shorty blanc pour y glisser les mains et commença explorer à cru les fesses de Valérie. Je me penchais et baissais le shorty avant de poser ma bouche sur l’anus de Valérie qu’un doigt de Marie avait pénétré. Toutes les deux poussaient de petits gémissements sans s’arrêter de s’embrasser, tandis que courbé en deux je léchais le cul de Valérie et me branlais en même temps.Marie fut la première à parler pour me demander de venir m’allonger sur le plancher du coffre. Lorsque je fus installé, Marie se plaça à califourchon sur mon torse et entreprit d’ouvrir mon pantalon :- Lève les fesses, mon cochon, me dit-elle.Valérie et Marie firent descendre mon pantalon et mon slip jusqu’à mes cheville, puis d’un coup de rein Marie plaça sa chatte sur ma bouche :- Lèche-moi pendant que Valérie et moi allons te sucer.Ma langue se posa sur la culotte de Marie et je me mis à en lécher le fond pour y récupérer la mouille qui l’imprégnait, puis je glissais la langue sous la culotte et léchais les lèvres gonflées et humide de mouille fraîche.Marie plongea littéralement sur ma queue et me suça comme ci c’était le jour de la fin du monde : sa dernière pipe se devait d’être la meilleure !Valérie ne resta pas à se tourner les pouces en nous regardant, elle se pencha et se mit à me lécher l’anus. Gêné par mon pantalon qui m’entravait les jambes je fis rouler Marie sur le côté pour faciliter les coups de langues de Valérie en lui donnant plus de place. De temps à autre elle quittait mon cul pour me gober les couilles ou lécher ma hampe pendant que Marie me pompait le gland.- Sylvain ? dit Valérie entre deux coups de langue sur ma rondelle.- Oui ? lui répondis-je.- Je ne vais pas pouvoir rester, il faut que je remonte.- Ok, met toi güvenilir illegal bahis siteleri à quatre pattes. Je vais te prendre en levrette.Marie nous fit de la place, Valérie s’installa sur le plancher et je me plaçais derrière elle. Pendant que je baissais son pantalon et son shorty sous les genoux, Valérie me dit :- Nous n’avons plus beaucoup de temps, alors rien que quelques aller-et-retour suffiront pour aujourd’hui.Il fallait vraiment qu’elle ait envie d’une bite dans la chatte pour dire une telle chose, et comme je ne suis pas un gars compliqué je fais ce qu’on me demande.D’un coup de rein j’entrais ma bite jusqu’à la base dans la chatte de Valérie et je la limais de petits coups rapides. Son con était trempé de cyprine et je glissais dedans sans aucune gêne. Il semblait être juste à la bonne dimension pour ma queue, ni trop large ni trop étroit, et je sentais mon gland se cogner dans le fond. Marie l’embrassait et lui pétrissait les seins des deux mains. Rapidement Valérie fut secouée de spasmes et se mit à gémir. Ma queue se trouva inondée de sa mouille très liquide et odorante. Pour tout dire, je préférais celle de Marie, bien épaisse et avec une odeur beaucoup plus douce.Sans avoir eut le temps de jouir dans sa chatte je me retirais et allais les embrasser toutes les deux. Nos langues se mêlèrent quelques minutes puis Valérie se releva pour se rhabiller en vitesse.- Au revoir, nous dit-elle, à la prochaine.- Au revoir, Marie et moi répondîmes.Valérie partie, Marie et moi restâmes allongés à nous embrasser et nous caresser un peu partout.- As-tu giclé dans sa chatte ? me demanda Marie- Non, je voulais te réserver mon jus.- Charmante attention de ta part, me répondit-elle en se retournant vers ma queue.Je m’allongeais sur le plancher et Marie se plaça sur moi, sa chatte juste à la hauteur de ma bouche. J’écartais sa culotte et plongeais la langue dans son vagin, la faisant tourner et aspirant en même temps pour bien récupérer tout son sirop d’amour que j’avalais avec gourmandise.Marie commença par me gober les testicules, l’un après l’autre puis les deux en même temps, les faisant rouler sous sa langue. Puis elle cracha sur ma verge et mit à la lécher lentement en remontant vers mon gland autour duquel j’eus l’impression que sa langue s’enroulait.Lorsque ma queue fut trempée de sa salive, Marie l’enfourna d’un seul coup et l’avala toute entière. Sa bouger la tête, elle se mit à remuer la langue sur ma hampe, à la presser contre son palais ou contre ses joues. Mes hanches se mirent à bouger lentement, faisant reculer mon gland jusqu’à ses lèvres pour l’avancer à nouveau au fond de sa bouche.Je fus pris de spasmes rapidement et me déchargeais dans la gorge de Marie. Je laissais ma queue dans sa bouche pour sentir ses mouvements de déglutition.Marie pressa sa chatte contre mes lèvres, ondulant doucement des hanches. Je sortis ma langue ma bouche et la laissais se glisser au hasard des mouvements de Marie, tantôt sur ou sous ses lèvres, tantôt sur le clitoris ou dans son vagin.Marie releva la tête et libéra ma queue qu’elle se mit à branler en douceur, crachant dessus de temps en temps. J’entrais deux doigts dans son cul et fis des mouvements en ciseaux pour bien lui chauffer la rondelle. Sans cesser de me branler Marie me demanda :- Tu veux prendre mon cul ?- Ca me plairait bien, oui, lui répondis-je.- Alors vas-y, fait toi plaisir, défonce moi le cul.Marie se mit à genoux, le buste posé au plancher pour bien relever sa croupe. Je me plaçais à califourchon au dessus d’elle, les jambes à demi tendues et présentais ma queue à son anus et l’y enfonçais. Elle y entra d’un seul coup, son sphincter étant assez dilaté par le mouvement de mes doigts et l’anticipation du plaisir.La position que j’avais prise me permettait de littéralement me laisser tomber dans son cul sans avoir à fournir d’efforts et je la limais avec rudesse. Le résultat ne fut pas long à venir, Marie poussait de petits cris de plaisir et resserrait son anus à chaque fois que ma queue se plongeait dedans.Je n’avais plus rien dans les couilles, mais je ressenti des spasmes comme si j’éjaculais une grande quantité de sperme dans son cul. Epuisé par cette jouissance à vide je me retirais et güvenilir bahis şirketleri m’effondrais aux côtés de Marie.Il était temps pour nous aussi de retourner au bureau et lentement nous nous rhabillâmes et reprîmes la route. La main de Marie ne quitta pas ma cuisse durant tout le trajet du retour, ce ne fut qu’au moment de sortir qu’elle la posa brièvement sur ma verge et m’embrassa.- Ca été une bonne journée, me dit-elle. Tu ne trouves pas ?- Si, j’ai beaucoup aimé. Tu as bien mouillé aujourd’hui.- Ma culotte est trempée, ce ne sera pas agréable quand tout ça aura séché.- Bof, tu n’auras qu’à aller te nettoyer aux toilettes quand nous serons arrivés, nous y serons bientôt.- Tu veux ma culotte en souvenir ?- Oh oui, mais cela va finir par te couter cher en culottes si tu m’en donne une à chacun de nos déplacements.- Le plus embêtant serait que mon mari s’aperçoive que je rentre du boulot sans culotte. Parfois il me saute dessus et m’entraîne dans la chambre pour me baiser de deux ou trois aller-et-retour. C’est toujours la même chose avec lui : dans la chambre ; vite fait et bonsoir il part regarder la télé. Il y a longtemps qu’il ne m’a pas fait jouir ce con, il éjacule en un rien de temps et me laisse sur ma faim…Que pouvais-je répondre à cela ? Rien. Je lui pris la main et la serrais dans la mienne durant le reste du trajet.Les bureaux étaient vides lorsque nous y entrâmes, une feuille posée sur le bureau de Marie nous indiquait que le patron avait invité nos collègues à boire un pot au bistrot du coin et qu’ils seraient de retour vers seize heures mais que nous serions les bienvenus si le coeur nous en disait.Il était à peine quatorze heures, je pris Marie dans mes bras et la serrais contre mon torse et glissais une main dans son pantalon.- Ah oui, c’est particulièrement humide là dedans. Va donc te laver aux toilettes.- Je te donnerais ton petit cadeau dès mon retour…Marie entra dans les toilettes et laissa la porte contre. Je l’entendis enlever ses vêtements et faire couler l’eau chaude. Quelques minutes plus tard elle ressortait, tenant sa culotte à la main :- Tient cochon, tu pourras l’ajouter à ta collection de mes culottes.- Ce n’est que la deuxième, mais j’espère qu’il y en aura d’autres.- Je t’en donnerai une à chaque fois que tu me feras jouir comme aujourd’hui, chéri. C’est promis. Va donc te laver la queue, tu pues le sperme !Je me rendis à mon tour aux toilettes et m’y lavais. Mon slip était lui aussi très odorant je l’enlevais et remettais mon pantalon. Mais que faire avec ce slip ? Il n’était pas question de le jeter dans les toilettes, à la longue ils se boucheraient et étant le seul homme avec le patron je serais le coupable tout désigné.Pas question non plus de le donner à Marie, je la voyais déjà en train d’expliquer pourquoi elle avait un slip masculin dans son sac et pas de culotte. J’étais bien tenté de la mettre dans un tel embarras, mais il n’y aurait alors plus moyen de faire quoi que ce soit avec elle.La poubelle des toilettes ? Là non plus ce n’était pas la bonne solution, la femme de ménage la trouverai et je me trouverai encore plus rapidement dans le même cas que si je l’avais jeté dans la cuvette.J’aurais pu la laver dans le lavabo, cela aurai réglé en grande partie la question de l’odeur, mais un slip mouillé dans ma poche aurait été visible de toutes mes collègues et elles auraient probablement pensé que je m’étais pissé dessus : la honte !J’eus alors une idée et retournais dans le bureau pour demander à Marie :- As-tu une de ces enveloppes matelassées ?- Oui, bien sûr. C’est pour quoi faire ?- Surprise ! Passe m’en donc une grande, et l’annuaire aussi tant que tu y es.- Mais qu’est-ce que tu as encore inventé ?- Je vais prendre une adresse au hasard dans la ville et y envoyer mon slip dégueulasse de sperme. Imagine la gueule de la personne qui va recevoir ça !- Merde, t’es con parfois ! Tu ne vas quand même pas faire ça ?- Je vais me gêner ! Rien qu’à y penser j’en ris d’avance.Il me fallut un bon moment pour trouver l’adresse d’un couple dans l’annuaire et notais l’adresse sur l’enveloppe.- Je mets un mot de remerciement ou pas ?Marie éclata de rire.- Non, ça devrait déjà faire assez de dégâts comme ça n’en rajoute pas plus.Je fermais donc l’enveloppe après y avoir glissé mon slip puant.Nous passâmes le temps en faisant un peu de rangement dans nos dossiers tout en nous disant des mots doux et en nous caressant dès que nous nous trouvions à portée de mains.Ah au fait, maintenant vous savez qui vous a envoyé un slip plein de sperme !

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