Marika – Scène de vie 4

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Marika – Scène de vie 4D.Epoque 4Suite à ces incidents, ces dérives, ma séparation prononcée, je laissais Willy à sa véritable mère à son retour. Elle comprit qu’il était devenu un homme, me remercia, me tourna le dos… Ça me fit du bien sur le coup de mettre un peu de distance, d’oublier l’incident Willy…Je commençais alors un cycle infernal de ma vie que je n’ai jamais osé raconter, ou juste quelques bribes dans mes aventures xHasmteriennes.Le fait que Paul m’ait trompé, me mina. Au début, je voulais à tout prix me venger des hommes, mais je les désirais à en crever parfois, dans mes rêves au fond de mon lit. Je me mis à les chasser sans relâche, à les provoquer, surtout le week-end, vendredi ou samedi soir, je me sentais seule, inutile, Anne était loin en stage, Paul ne passait plus me voir, bien qu’il ait gardé le studio préparé à son effet dans la villa…Je fréquentais quelques bars en ville, les discothèques et clubs des environs, je draguais dans les jardins publics, à la plage, à la piscine près de chez moi, même dans les cinémas, enfin dès que j’étais dehors… J’allais une fois où le désir me tenaillait, jusqu’à téléphoner à Thomas, mon beauf, qui ne vint pas au rendez-vous, sans doute tenu en laisse par son cerbère…C’était facile, je n’avais qu’à paraître, me laisser approcher, parler quelques minutes, raconter ma triste vie d’épouse bafouée, délaissée, que j’en voulais à mon mari de m’avoir trompée. Je jouais avec eux pour les punir, les entraînais dans mon jeu de la séduction, jusqu’à leur voiture lorsque l’envie me tenaillait… Femme seule, mari volage, je leur racontais ce qu’ils aimaient entendre… Pour les plus selects, avec lesquels la conversation devenait intéressante et d’un niveau intellectuel correct, on allait à l’hôtel ou chez eux. Là, je me donnais comme avec Paul, c’était l’extase…Puis mes besoins grandirent… Je voulais plus d’originalité, voire de perversion…J’avais décidé de ne jamais les emmener chez moi, prétextant que mon mari me surveillait.Je connus des clubs pour adultes, mieux fréquentés. Les femmes venaient y tromper leur ennui, leur mari, c’était simple, direct et finissait dans un salon particulier, parfois à plusieurs couples.Je passais au second stade avec les club échangistes. Si on est là c’est pour baiser… Rapports en chaîne, devant témoins, à plusieurs, bisexuelles comprises…Soirées sado-maso, entre femmes, je goûtais à tout, me liais au minimum, par intérêt surtout.On me présenta ainsi à d’autres personnes, je devins ce que j’avais évité d’être, une call-girl de haut vol.Soirées dans la haute société avec des personnes en vue, des stars, des malades, tous riches…J’y trouvais mon compte, mais rentrais chez moi seule et triste. Ecarter mes cuisses devenait banal, je ne ressentais plus rien ou presque, aucun sentiment, ils venaient se vider dans une femme du monde bien habillée, propre, sensuelle, racée, pas trop bête, qui les distrayaient quelques heures… J’y côtoyais des jeunes filles, des secrétaires en mal de fin de mois, des épouses comme moi, trompées, laissées dans l’ombre. Elles s’envoyaient en l’air en criant, entre 20 et 60 ans, sans jouir vraiment, juste pour prendre leur chèque au matin.Je regoûtais au plaisir d’être draguée, courtisée, empaquetée…Je revenais aux discothèques fréquentées par des plus jeunes, je me revis avec Willy…Je me laissais plus facilement caresser en dansant, puis embrasser… Je participais, les chauffant activement, cougar de passage, mère au foyer se divertissant ou vivant ses fantasmes… J’eu toutes les occasions, plusieurs par soirée, je connus de belles voitures, des SUV confortables, des bancs publics, des lits de mousse, des toilettes malodorantes, des bains de minuit, des quais déserts, des porches sombres, des montées d’escaliers et même des chapelles aux senteurs de bougies…Je connus les déceptions liées au jeunes, les échecs cuisants, j’en connu des intéressants, relations suivies quelques jours, quelques samedis… Je m’y refusais systématiquement, mais je préférais retrouver un ancien amant, que tenter le diable et m’exposer à un risque.Je descendis peu à peu dans la qualité…Trop jeunes, trop inexpérimentés dans les relations adultes, ils frimaient plus qu’autre chose. Je devenais un objet que l’on se repassait de voiture en voiture, puis que l’on partageait dans un squat en fin de nuit…Drogue, sexe, je me réveillais malade, épuisée, violée sans doute, seule, volée…Je rayais de ma mémoire ces instants, je me calmais quelques temps, je retrouvais mes bars étudiants mieux fréquentés où l’on refaisait le monde… On y dansait, on cherchait l’aventure, je me faisais l’effet d’un att****-mouches… Certains me traitaient de cougar, ça me faisait mal…Etudiant, majeur, bon niveau, humour, tendresse et respect, ce fut Jean…Au deuxième samedi, on se revit directement en ville. Je l’invitais dans une pizzeria, puis au cinéma. Il me caressa discrètement, je le fis jouir… En sortant on n’en pouvait plus…- Viens dans mon immeuble, je connais un endroit…Il me conduisit dans une cave, assez en ordre, un lit une place. La cave était borgne, tout était silence et nuit… La lueur créée par la lampe du couloir ne durait que quelques minutes.Il me prit immédiatement dans ses bras, me serra très fort contre lui, me remercia pour le resto et le ciné, et me dit qu’il avait envie de moi comme jamais… Il m’embrassa, me caressa, fit glisser mes vêtements, toujours dans un noir complet et un silence de mort…Il massa mes seins, je sentis son sexe contre mes fesses… Je m’agenouillais et le pris en bouche… Il restait debout, caressait mes cheveux, savourait ma fellation en grommelant…J’avais envie de lui, je me relevais doucement et me déshabilla. Il en fit autant, me souleva, me retourna, me pencha sur un bureau et m’embrocha promptement… Je jouis de surprise, de plaisir, sa queue labourait ma chatte détrempée… Ses puissants coups de reins m’emportèrent peu à peu, je gémissais mon premier orgasme de la soirée… Il m’allongea sur le lit, me reprit, massant mes seins, écartelée, chatte ouverte. Il me conduisit au supplice, dans cette position du capitaine de navire, coincée sous lui, pilonnée… Je m’abandonnais alors, et laissais arriver le second orgasme…Il me proposa un 69… Je me surpris à le pomper avec ardeur, entre mes mains, comme un calice, le gland décalotté. Sa bite durcit encore et encore entre mes lèvres… Il me voulait, moi aussi… Je me positionnais à sa guise, sur le ventre, fesses relevées, en levrette… J’adorais…A cet instant crucial, on entendit des bruissements, une porte grincer, des voix étouffées…J’attendis, il était appuyé contre mes fesses, il glissa sa main entre mes cuisses, je saisis le sexe prêt à me pourfendre…On se caressa, masturbant, puis je n’en pouvais plus, il vint en moi, d’un coup sec, je laissais échapper un râle discret… Il restait en moi, blotti… Je sentais la hampe réchauffer mon vagin, je le serrais, relâchais, serrais encore…Une plainte s’éleva, la fille commençait à jouir, l’endroit était un lupanar pour couples illégitimes…Il reprit son rythme, je mêlais mes propres râles à ceux en écho…La femme décupla d’intensité, ça le boosta, il me saisit par les hanches et me porta à un troisième orgasme… J’étais inondée de sueur, le lit grinçait tant et plus, le leur, le nôtre, je ne savais plus…Je me levais, le tournais sur le dos, la bite raidie bien dressée et je m’empalais en fière amazone…Je pus me faire jouir à mon rythme, cela lui plaisait, une femme qui le dirige, qui se donne du plaisir sur lui…On entendit des râles puissants, irréels, des feulements, elle eut un orgasme, parla, râla, explosa…Jean se serra dans mon dos et me fit l’amour, cuisses ouvertes, en ciseau, son sexe plongé dans le mien pour un coït magique, lent, profond. Il me massais les seins, me caressais partout, on s’embrassait, le temps était suspendu dans cette cave obscure, avec nos compagnons de rencontre… Ce fut mon tour d’exprimer mon plaisir, la vague était trop forte, trop divine, j’arrivais au bout, je le voulais maintenant, voulais le sentir jouir à son tour, partager cet instant…Il se raidit, s’agrippa à mes hanches et la douce chaleur de son sperme envahit mon bas-ventre et déclencha un ultime orgasme… Le lit tourna, la pièce chavira… J’étais vidée…Le silence était revenu… La lumière s’éclaira dans le couloir… Jean ouvrit délicatement la porte, le couple s’embrassait au pied de l’escalier…- Inconnus… Peut-être la voisine du deuxième, elle est mariée… Je la connais…La femme eut le temps de voir la porte entrebâillée, la tête de Jean, et tout en embrassant son ami, elle lui fit un signe complice. La lumière s’éteignit… On l’entendit parler… La lumière revint.Elle était plaquée contre le mur, la robe défaite à nouveau, il caressait ses seins…- Vas-t-en maintenant, remonte, il est temps, il va me chercher…J’entendis Jean balbutier au sujet du garçon…- C’est le fils du troisième, Loïc… Un copain de mon âge…Elle dit quelque chose à son oreille, il se retourna…- Y a quelqu’un ? Jean c’est toi ?- Oui, chut…- Tu n’es pas seul ?- Non…- Vous nous avez donné de quoi nous éclater…- Vous aussi… Vous voulez venir ?- Pourquoi pas ? Line, tu as le temps ?Elle fit les deux mètres en se rajustant, entra. On laissa la porte entrouverte pour profiter de la lumière, et on se présenta. Elle avait la cinquantaine, svelte, agréable et se tapait le fils de sa voisine… Comme moi, en fait…Loïc était aussi beau que Jean, brun… Il vint s’asseoir contre moi, ma nudité lui facilita le contact, il me caressa, un peu, beaucoup, m’embrassa partout, se fit coquin, s’agenouilla entre mes cuisses et ouvrit ma broîte à plaisir… Jean découvrit sa voisine, la savoura, elle aimait le sexe et le pris dans sa main…Nous fîmes l’amour côte à côte, assaillies ensemble, elle jouissait de lui, je le prenais aux hanches et accompagnais ses va-et-vient en feulant, le plantant dans ma chatte excitée par cette promiscuité complice…Deux cougars en folie, deux jeunes hommes pleins d’hormones, Je me levais et lui offris mes fesses, il me combla délicieusement, me fourrant en rythme, je sentis d’autres mains sur mes seins, un autre sexe dans ma bouche, elle se joignit à eux pour me caresser, me masturber avec tendresse, sensuelle et féminine… Elle se donna aux deux hommes, poussa de petits cris quand Loïc la sodomisa. Je la sentais vibrer de plaisir, les deux sexes fichés en elle, je lui présentais ma vulve délaissée, écartelée sur sa tête…Une autre heure passa très vite, trop vite…Line s’habilla en vitesse, le visage défait, elle était certaine qu’il était rentré, saoul et méchant, elle pleura par avance.Elle dit au revoir à nos amants, j’accompagnais la jeune femme, et lui proposa de monter prendre un café…- Vrai ? Tu es un amour, j’ai si peur de lui…- Quitte-le.- Je sais, nos enfants sont partis, ma fille me le dit souvent…- Alors fais-le…- Elle ouvre la porte, me fait entrer, un homme est assis au salon devant un verre de bière…- Gérard, mon mari, voici Marika, une amie marcheuse…- Oh, sportive alors…- Oui, je marche, je fais marcher… Et vous ?- Je bois, elle a dû te le dire. T’étais où ? J’aime pas que tu traînes. T’a amené ta copine par peur d’en prendre une ? Salope, tu as fait quoi depuis 2 heures… T’as baisé ? Je le sens… Tu sens l’homme, le sexe, tu t’es pas lavée…- Arrête Gérard, Marika est une nouvelle amie, j’aimerais que tu lui fasses bonne impression…- Bien c’est raté. Elle me trompe, elle se fait des minets, je les vois tourner autour comme des abeilles, prêts à sortir leur dard… Elle aime ça, le sexe, toi aussi ? On pourrait s’entendre tous les trois… J’ai pas baisé aujourd’hui, moi… Viens contre moi, un petit câlin avec Gérard ? J’ai une queue honnête tu sais… Elle l’adore… Tiens, viens me sucer que je sois en forme pour sauter ton amie…- Bon je crois que je vais rentrer. – Voilà, t’es un vrai con mon pauvre, tu ne changeras pas.- Eh quoi, tu veux me quitter ? Et bien fous le camp, dégage ! Va te faire troncher par les jeunes boutonneux du quartier… Tu aimes brailler en te faisant planter par tous les trous… On t’entend jusqu’au cinquième…- Sale con, tu me débectes…Il la saisit par un bras, lui fait une clé au cou. Il déchire sa robe, elle est nue, désemparée…- Ne me frappe pas…- Tu vois machine, elle était à poil sous sa robe, une vraie salope, prête à se donner au premier venu. Dans une voiture, dans la cave, sous un porche, au jardin public, on t’a vue, on me l’a dit, tu étais avec 3 mecs, à moitié nue assise sur une queue noire…La robe gît maintenant à terre, il sort sa bite et la force à la mettre dans sa bouche… Puis il la soulève et l’assoit sur lui, la chose s’enfonce, elle crie de rage, il lui donne une gifle…- Aïe ! Il la possède, elle se laisse faire, sans force… Je défais ma fermeture éclair, ma robe tombe, je suis nue aussi…Il me regarde, je le fixe….- Moi, il faut me gagner, me mériter… J’aime être désirée, caressée, j’aime sucer aussi, mais j’aime danser nue avec du champagne et des biscuits… Alors si tu veux changer, si ce que je vais faire t’excite, lève-toi, laisse-la tranquille.Nous étions ensemble, on a marché en ville toutes les deux pour se vider la tête, c’est vrai que l’on a oublié l’heure, je lui ai offert un verre avant de venir, je voulais faire pipi, j’avais chaud, elle m’a invité… Mais je vois qu’elle vit avec un sale porc… Pourtant tu es sans doute gentil à jeun, bon amant, bon père. Je vais me rafraîchir, assieds-toi, je vais te montrer mes atouts…Je file aux WC, puis passe à la salle de bains, fais une toilette rapide, ressors, nue, fraîche, sourire aux lèvres.Line est drapée dans une robe de chambre tenant sa belle robe de printemps à la main…Elle me regarde entrer nue, belle à en crever devant cette épave…Je me plante devant lui, me débrouille pur qu’elle puisse aller dans sa chambre prendre des affaires…- Tu devrais te laver, il t’a souillée…- Dis, salope, tu vas pas lui dire ce qu’elle doit faire, qui tu es ?- Regarde qui je suis…Je passe mes mains sur mes seins, les masse, mes yeux dans les siens… je me plante devant lui, il est fasciné, je continue… mes mains glissent, remontent autour de mon cou, je sais faire, j’étais call-girl, je lui en mets pleine la vue, l’excitant comme jamais une femme ne l’a fait en live… Line a disparu, elle a lu mon mot sur la glace… Elle passe derrière lui, me fait un signe…Je continue mon manège, mes mains se joignent sur mon ventre, mes doigts caressent mon pubis… je marche, je me tords, monte mes fesses, me tourne et me retourne… Mes mains se blottissent entre mes cuisses… Il bave…Je lève une jambe, comme un coup de pied en l’air…Il se recule, grogne, mais n’en perd pas une miette.Je marche en me tortillant, ondule, mes seins se balancent, les pointes sont dressées, je les titille, je fais semblant d’aimer ça… Je reglisse une main entre mes cuisses… Regard lascif… Lèvres humides…Ma main s’ouvre, mes doigts s’écartent… Mon autre main, caresse mes seins, mon cou, mes cheveux, je m’approche de lui, toujours rivée dans ses yeux…Je touche mes lèvres, les entrouvrent… Je soupire, ma main s’agite… Je la retire, sens mes doigts, les passe sur sa bouche… Il va succomber…- Tu aimes ?- Oui, je…- Chut, regarde, je vais faire l’amour devant toi…Line est invisible depuis dix minutes, je la vois avec un grand sac, elle me fait signe que c’est bon, se glisse par la porte d’entrée…Je continue, à me caresser des deux mains, genoux pliés, écartée, il ne peut rater mes poils, ma vulve luisante…Je me pénètre avec un doigt et me frotte… Ma main va et vient et je me laisse emporter, je sens mon plaisir, même si c’était totalement bidon, mon corps réagit…- Oh, tu sens de là ! Va te laver avant, prends une bonne douche, j’ai pas l’habitude de baiser avec un malpropre. D’accord ? J’attends en buvant, t’as quoi ?… J’ai envie de ton sexe en, moi… J’ai vu qu’il était gros… J’adore les belles queues… Vite, j’ai très soif- Oui, regarde au frigo et dans le placard à côté, whisky et vodka, les verres sont dans la première porte à droite…- Merci…Je le vois disparaître, j’espère qu’elle a effacé le message sur la glace… Je passe ma robe, sors discrètement, je descends par l’ascenseur, elle m’attend dans güvenilir canlı bahis siteleri le hall, on court vers ma voiture, je démarre en trombe et rejoins ma villa…Line pleure dans mes bras, trop vidée, trop conne de ne pas l’avoir fait avant…- Tu as tes papiers, ton argent, ta carte de paiement, un chéquier, livret de famille, carte d’identité, passeport ?- Oui, j’ai tout pris ce que je pouvais, mes bijoux en or, le reste je m’en fiche, mes vêtements, pas tout, mais l’essentiel pour cette saison et un peu de chaud. J’ai pas d’anorak, de chaussures chaudes…- Ça ne fait rien, il fait bon, et j’ai une garde-robe fournie…- Tu es un amour, mais j’ai peur de sa réaction, il va venir au travail.- Tu travailles ?- Oui, encore dix ans… J’en ai marre.- Tu as des droits, j’ai une avocate dans l’entreprise, demain matin on passe à l’action. D’abord ce que j’ai vu, il t’a frappée, giflée, j’ai été obligée d’intervenir. Je dépose sous serment. J’appelle pour un rendez-vous au commissariat.- Il travaille ?- Oui, livreur. Il a des RTT ?- Non, ni vacances, il les a prises pour le mondial de foot…- Bon, tu vas agir, ne pas t’apitoyer, rester concentrée. Ce sera dur au début, je t’héberge. Tu n’as pas de voiture ?- Non. – Tu as le permis ?- Oui, bien sûr, je conduis la sienne, il garde son camion souvent…- Bon. Détends-toi, je vais passer deux coups de fil…Elle me regarde, se lève, se blottit dans mes bras… des larmes pleins les joues…- Va prendre un bain, ça va te détendre, je t’apporte ce qu’il faut…Je dépose les vêtements dans la salle de bains…Danièle est là, je lui explique… Elle réagit à cent à l’heure, passe des coups de fil, me rappelle…- Tu as rendez-vous, enfin elle…- Line.- Demain 11 heures maître Rolande Giffre. Regarde c’est en ville, pas loin de ma broîte…- Tu as appelé le commissariat ?- Oui je le fais…Le fonctionnaire me dit de venir immédiatement, doit-il déplacer un médecin ?…Il peut nous recevoir demain 9H00…Je la rejoins, elle est nue, tendue, elle me regarde inquiète, je lui dit tout, va vers elle, la prends dans mes bras… Elle me donne un long baiser tendre, passion, pleure…- C’est le début d’une nouvelle vie. Tu vas devoir te battre, ne t’inquiète pas pour l’argent, j’en ai et j’ai des amies.- Je te dois ma liberté…- Tu ne me dois rien, c’était de la légitime défense…- Tu l’as frappé ?- Mais non, je l’ai vampé, il en est resté baba… Tu sais… Il a dû dessaouler de rage…- Il va appeler tous nos amis, nos parents, les enfants…- Tu tiens à ton job ?- Pas du tout, je suis au SMIG, je me fais peloter par le patron et les petits chefs, mais je voulais mon indépendance financière… J’ai fait quelques économies depuis 3 ans, mais cela ne suffira pas pour que je parvienne à m’en sortir…- Ce soir on fait la fête, tranquilles toutes les deux. Tu décompresses, tu ne penses à rien, je suis ta bonne fée… Tu n’as pas à t’inquiéter pour ton avenir, fais-moi un CV demain, ne mets pas d’adresse. Marque ce que tu as fait, tout ce qui te branche, tes formations, ce que tu aimes… Vendre, calculer, etc…- Tu es magique… J’ai bien fait de descendre à la cave avec Loïc…- Et de te laisser peloter en bas de l’escalier… Tu le vois depuis longtemps ?- Bof, quelques semaines… Un après-midi, je suis descendue faire une course, il bricolait sur son scooter devant l’entrée… Il m’a offert de me conduire, il m’a donné un casque… J’ai aimé… Il m’a emmenée vers les plages, je me sentais libre, je le serrais contre moi, je me pelotonnais dans son dos, il pilotait très prudemment. On s’est arrêtés, j’ai fait ma course rapidement, puis on a trouvé une plage, déserte par ce temps. Il a pris ma main, m’a conduite au bord de l’eau, je me suis trempée les pieds, on a joué comme des enfants… Ses yeux avaient envie de moi, il n’osait pas…De retour devant chez moi on discute, je n’avais pas envie que cela finisse. Mais j’ai peur que Gérard rentre et me voie… Loïc m’entraîne dans les caves, ouvre la sienne, bien rangée, propre… C’est là que j’ai craqué, je me suis donnée complétement, il m’a fait l’amour comme un homme, sans que les trente ans qui nous séparent ne viennent gâcher ces instants de plaisir. J’étais aux anges, il était doux, tendre, tout ce que j’aime…Je suis remontée chez moi, il n’était pas là… J’ai revu Loïc plusieurs fois… On allait directement à la cave, c’était féerique, je jouissais de mieux en mieux. Un jour, il m’a invitée chez lui, ses parents partis en vacances… C’était moins intime, je n’étais pas tranquille. Nous sommes retournés à la cave… L’avantage de la proximité, je descendais bavarder avec les copains de Loïc pour donner le change, Gérard pouvait me voir… Je le faisais exprès, pour qu’il se ronge les sangs de jalousie, bien que la vraie raison fut ma participation gracieuse à leur association théâtrale, je créais et imprimais des flyers… C’est ce qui s’est passé, Gérard n’est pas très éveillé, il n’a pas vu qu’il y avait des filles dans le groupe que je rencontrais souvent. Il n’a pas eu le courage de venir vers moi franchement, il attendait que je monte et m’injuriais…C’est peu à peu qu’il est devenu méchant. Au point de me traiter de traînée, de salope, de putain…Il rentrait de plus en plus tard et de plus en plus bourré, après 20 heures et même plus…Je me vengeais avec Loïc, lui disant que j’aimerais être prise comme une chienne, que chaque gifle que me donnait Gérard se transformait en désir de vengeance, désir de me retrouver dans ses bras à la cave, de me donner à lui, de penser à lui la nuit, de me caresser pour lui, de connaître toutes les saloperies dont Gérard me parlait… Il m’a demandé si j’étais prête à connaître ces choses, à le tromper, à m’avilir…Il m’a présenté un copain… J’ai joui encore plus, ils m’ont tout fait, j’ai baisé avec les deux, par les deux trous, j’ai aimé être prise en sandwich… J’ai pleuré de honte chez moi en lavant le sperme qui ruisselait, je devenais cougar et nymphomane, j’aimais les jeunes pubères, il ne me manquait plus que d’aller les provoquer, me pavaner, ce que je fis, et Gérard me surprit en mini-jupe cuir discutant près du lycée toujours au sujet théâtre… Il m’attendit, me frappa violement, m’attacha au lit et me viola avec une bouteille de bière…Je ne suis pas sortie pendant dix jours, la lèvre enflée, un bleu sous l’œil, aux bras…Le docteur a été gentil et m’a donné 7 jours d’ITT…Loïc m’attendit, on communiquait par Internet, sur un site pour ados. Je lui dis que j’avais du travail et que Gérard avait des soupçons. Je devais être prudente pendant quelques jours, n’importe comment j’avais mes règles…C’était la première fois qu’ils se revoyaient, ils avaient entendu du bruit dans la cave voisine et pensaient que c’était Gérard, mais comprirent vite que cela n’avait rien à voir et qu’ils avaient fait des émules…Le lundi tout se passa pour le mieux, elle lança une procédure de divorce immédiatement, les policiers l’accompagnèrent avec une assistante sociale chez elle. Gérard, convoqué sur l’heure n’en menait pas large quand ils lui parlèrent de prison, de viol, de coups et blessures. Ils lui firent la leçon, et elle lui apprit qu’elle lançait la procédure…Il le regarda, se mit à pleurer…- Et oui, mon vieux, quand on ne maîtrise plus se nerfs… Ta femme a raison. On va l’aider à trouver un logement, changer de vie, refaire sa vie, se libérer de toi… – Je… Je l’aime…- Oui, tu le lui as montré en la traitant de tous les noms, en la frappant tous les soirs aussi, jusqu’à la violer plusieurs fois…- Elle aimait ça, c’était un jeu…- Mais oui… Si jamais tu la retouches, c’est la taule directe. Alors je te conseille de faire profil bas, de partir d’ici quelques jours te détendre et faire le point. Entendez-vous pour partager vos affaires, et laisse là vivre une autre vie car celle que tu lui offres est devenue un enfer…- D’accord ?- Oui…- Demain 08H00 ta femme prendra ou fera prendre ce que vous déciderez. Entendez-vous dès maintenant…Il la regarde, penaud, perdu…- Tu veux quoi ?- Rien de toi ou qui me le rappelle. D’ici, juste mes affaires dans l’armoire de la chambre, et quelques souvenirs des enfants. L’argent sur mon compte et mon livret est à moi, la voiture garde-la. La vaisselle je m’en fiche, les meubles aussi, l’appartement est en location, on le partage jusqu’à la fin du mois. Je signale mon divorce au bailleur et dénonce le bail. Tu le gardes ou non… Moi je m’en vais, je ne veux plus vivre dans ce quartier de connards…- Bon… Prends tes affaires demain, je m’absente trois jours à partir de ce soir, ça te laisse le temps.Elle se baigne depuis près d’une heure. Je la rejoins dans la piscine, après avoir eu Danièle au téléphone… Line a écrit un CV, a fait le point financier, elle a la superbe somme de 10.000 euros sur un livret, deux mois de salaire et quelques broutilles sur un compte. Trois sous sur un livret de caisse d’Epargne…Je l’assure qu’elle ne risque rien financièrement, si Gérard avait eu l’air conciliant, ça reste un homme, un futur ex-mari et il a prouvé que sa parole…Je sais ce que je fais, et l’accompagnerai dans ses choix et ses décisions si elle est d’accord. Danièle a eu l’air surpris que je m’intéresse à cette femme, mais après explications, elle comprend, mais me trouve bien généreuse sans raison.On a parlé de Willy qui devient un homme, de nous, je lui manque aussi, mais elle a eu une déprime, s’est laissée aller, elle est partie d’un coup de chez les parents de Philippe. Elle était rassurée que je m’occupe de son fils, elle est restée trois mois pour se ressourcer dans un monastère en Thaïlande. Sans téléphone, sans argent, juste son corps et sa foi…Sa foi ne lui a pas servi…Line a retrouvé l’appétit, nous dînons aux chandelles, elle adore ma villa, ma bonne humeur, et moi…Au moment où ça devenait intime, Paul sonne à la porte…Je lui explique la situation, je fais pareil pour Line car mon ex-mari habite toujours chez moi, dans le studio du bas… Justement, il pourrait convenir à Line en attendant… J’espère retrouver Danièle et nos après-midis. Paul semble d’ailleurs d’accord pour libérer ce studio, car il a trouvé une place sur Béziers.Line est ravie d’apprendre que je le lui destine… Elle attend le départ de Paul pour tomber dans mes bras…- Et de plus tu auras accès à la piscine…Line s’en est sortie, ce fut long, près de quatre années pour obtenir le divorce et refaire sa vie. Je lui avais trouvé une place dans une des ex filiales du Groupe, elle aimait le contact, la vente, l’informatique, elle grimpa les échelons, rapide, très fine en clientèle. Elle me remercia un jour, 5 ou 6 ans plus tard, chef de service, bien payée avec des primes qu’elle obtenait systématiquement, elle nous offrait une croisière en souvenir de mon apparition dans sa vie…Elle allait prendre sa retraite, voyait souvent ses enfants devenus adultes, et rêvait souvent de la cave de son ancien immeuble…Nous fîmes cette croisière en septembre, ce fut un feu d’artifice de sexe et de rencontres, de liberté et de décontraction…Nous nous revoyons régulièrement.Paul parti, Line sur le bon chemin, je me retrouvais avec mes angoisses de la nuit, mes tourments de me dessécher dans mon coin, et l’envie de regoûter aux plaisirs me taraudait…Anne accoucha, un bonheur, j’avais trouvé une raison de vivre.Ils venaient souvent chez moi se détendre, profiter de la villa…C’est là qu’arriva un premier crash… 1.Mon gendreCette aventure a déjà été publiée, elle est retranscrite ici, car cet « accident » dans ma vie de mère m’a marqué profondément. J’étais trop seule, trop oubliée, marquée par l’incident Willy, le burn-out de Danièle, ma plongée dans les bas-fonds. Si la période Line m’avait réveillée, j’étais restée nonchalante, juste auprès de mes ménagères chez qui je retrouvais un peu de flamme… Mais les hommes…Je n’ai jamais fait de provocation, même jamais pensé sexe à propos de ma fille et de mon gendre. Pour moi c’est un interdit, c’est ma fille, un monde à part, propre, un monde d’amour, privé, réservé… C’est un tout dans lequel je n’ai rien à faire, ni même savoir s’ils s’entendent sur ce plan, combien de fois ils le font, ou si c’est un bon coup… Certes dans certaines circonstances on pourrait dé****r, y penser, comme dans la piscine où on se frôle parfois en jouant… Ou alors l’occasion qui fait le larron ou la larronne, comme cette dernière nuit chez moi, alors que je m’endormais…2.Nuit d’ivresseJ’ai entendu des bruits dans la nuit, ma fille et son gendre couchaient dans la chambre à côté de la mienne. Je n’étais pas certaine de ce qui se passait, au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je n’ai pas résisté à aller voir…Je n’aime pas cette situation, mais j’ai vu le sexe énorme de son mari lui arracher des râles alors qu’il la prenait sur le lit, en levrette… Agenouillé entre ses cuisses, le membre coulissait lentement. Les fesses relevées, éclairées par la lune, j’avais une vue détaillée. A chaque pénétration, elle gémissait de plaisir. Il la tenait par les hanches. Le tableau était irréel, érotique certes, mais interdit, j’allais faire demi-tour… Ce sont de nouveaux râles qui m’ont poussée à regarder encore. Plus profonds, plus rauques. Elle jouissait vraiment, se donnait à lui, murmurait quelques mots inaudibles, il se saisit de ses seins et les malaxa avec passion….Elle ondulait sous lui, redoublant ses plaintes…Je me suis mise à me caresser sans m’en rendre compte… Je m’aperçus que j’en avais troué ma culotte. Je me suis recouchée, honteuse de m’être laissée aller à ce geste… L’image du sexe de mon gendre ne me quitta plus, je passais une nuit affreuse…3.La piscineC’est arrivé hier… J’avais invité deux voisines pour un thé, avec leurs maris, ainsi que Paul de passage et une ancienne de mes amies qu’il fréquentait. Les jeunes sont venus nous rejoindre après 16H00… Ils ont organisé des jeux. Jeux de ballon, bataille rangée avec pour chaque homme, une cavalière, une femme sur le dos… Mon gendre m’a invité à faire équipe avec lui, laissant ma fille à un de nos invités. Tenant mon gendre par le cou, mes seins arrivaient à hauteur de ses épaules… Plusieurs fois nous avons gagné, désarçonnant une adversaire. Puis, une fois nous avons été percutés. Perdant l’équilibre, je me suis retrouvée sous l’eau et je suis ressortie face à lui, il me tenait ayant eu peur que je boive la tasse, mes seins étaient sortis du soutif, j’ai ressenti son sexe qui bandait contre ma cuisse… J’ai remis mes seins dans leur broîte sans m’affoler… C’est là que j’ai pensé que j’aurais dû simuler un peu, et lui demander de me porter dans ma chambre, ma cheville me faisant mal… Surtout que ma fille était émerveillée par la dextérité de son cavalier et ne regardait rien d’autre… Les jeux ont repris très vite, je me collais à lui, mes cuisses autour de ses hanches pour tenir mon équilibre, mes mains sur son torse, mes bras autour de ses larges épaules.J’ai été projetée par un de nos adversaires… De nouveau sous l’eau, je sentis un manque d’air, ayant dû plonger sans reprendre ma respiration… Voyant ma difficulté, il m’a soulevée en enserrant ma poitrine, tandis que j’étais agrippée à son short qui avait glissé et m’offrait une poignée de choix, ce sexe qui m’avait tant émue l’autre soir, et que j’empoignais vigoureusement… A regret, hissée hors de l’eau, mais reprenant mon souffle, je ne pouvais ôter cette vision fugitive de mon esprit… Mes seins plaqués contre son torse, comme pour me réconforter, je ne lâchais pas son sexe qui grossissait dans ma main… Les autres ayant repris le jeu, nous nous trouvions isolés dans un angle… Je sentis sa main glisser entre mes cuisses… Je ne pus m’empêcher de les écarter pour la sentir envahir mon intimité… Je tressaillais de plaisir, oublia ma fille, mes principes, mon mari, les convenances, et tout, et tout, et tout… ma main se mit à remonter le long de sa hampe, lentement, puis délicatement, et enfin fermement. Je sentis peu à peu l’effet de sa caresse, ses doigts glisser et ouvrir ma vulve, effleurer mon clitoris, puis arriver aux portes de ma grotte… Mon souffle était devenu court et rauque, mon désir montait rapidement, la piscine tournait, son doigt aussi, mon clito également. Je güvenilir illegal bahis siteleri me raidis d’un coup, un petit cri sortit de mes lèvres, il était entré…Je réalisais que nos amis, ma fille, étaient à quelques mètres et pouvaient capter mon expression et le fait que nous soyons serrés l’un contre l’autre…Je délaissais ce membre, bloquait sa main, et plongeais hors d’atteinte… Je me dirigeais alors très vite vers les escaliers, je sortis de l’eau et courus vers la cuisine, puis après m’être séchée. Je montais ensuite dans ma chambre et dans ma salle de bains… La maison était vide, fraîche, je bus un peu d’eau au robinet, me rinçait le visage, je fis glisser la culotte de mon maillot… Je sentais encore ses doigts en moi… J’avais de nouveau l’image de son sexe pénétrant ma fille qui râlait de plaisir…Assise au bord de la baignoire je ne pus m’empêcher de glisser ma main entre mes cuisses et fis revivre ce doux attouchement… Les yeux fermés, j’imaginais son sexe dans ma main, j’avais encore envie de le caresser…Excitée comme une chatte en chaleur, je me mis à caresser mon clitoris pour calmer l’excitation sexuelle qui m’envahissait… Mais je n’obtins que le déclenchement de ma source intime et une envie irrésistible de jouir… J’ouvris les yeux…Je sursautais… Il était là, porte entrouverte et me regardait comme un chat regarde une souris…- Non !… Referme et va-t’en !Mais sa main avait déjà rejoint la mienne, ses lèvres étaient déjà sur les miennes et sa langue goûtait ma langue… Mes cuisses s’ouvrirent, il s’agenouilla…Sa langue me fit pousser un râle qui emplit la pièce… Elle plongea en moi… Je pris sa tête entre mes mains, le guidant… Il enserra mes seins, jouant avec les tétons qui pointaient de désir… Je jouissais doucement, feulant chacun de ses attouchements… Je m’agrippais à la baignoire, lui ouvrant mon corps qui se reflétait dans la glace… Sa tête ondulait entre mes cuisses… Il me porta à un orgasme que je ne pus dissimuler… Je m’étais mise à trembler de plaisir, je soulevais mon ventre vers sa langue et vers ses doigts qui m’avaient pénétrée…Je me levais, fermais la porte à clé dans un réflexe de lucidité, m’agenouillais par terre en faisant glisser son short, libérant ce sexe qui m’avait tant fait fantasmer… Je le repris dans ma main, puis rapidement, je le posais contre mes lèvres entrouvertes. Enfin… Dur, beau comme un gros bâton veiné de bleu, je le tenais, le léchais, en de petits coups de langue, comme un cornet de glace… L’image était fidèle, même le goût de poivre dû à son eau de toilette…Salivant, caressant, je le décalottais, libérant un gland énorme, luisant… Il bandait comme jamais… Il s’allongea sur la descente de bain, je continuais à honorer ce sexe dressé vers les étoiles, profitant de cet instant volé à ma vie, parenthèse familiale, mais n’y pensais pas… Je m’accroupis, il s’enfonça d’un seul coup, disparaissant dans mon sexe grand ouvert. Je me mis à le chérir, serrant les muscles de mon vagin, pilotant notre coït avec adresse, je lui fis grimper les étapes vers sa jouissance… En de larges mouvements de bassin, ma douce chevauchée me fit atteindre des sommets, le ressentant au plus profond de moi. Nous étions face à face, cette montée vers les étoiles nous inspira, nos lèvres se joignirent, il m’aida en soutenant mes fesses, puis pelota mes seins, serrant les tétons, les pinçant, déclenchant un orgasme mammaire…Je perdis le contrôle, le rythme s’accéléra, je sentis le moment arriver…- Oui !… Viens !… Jouis… Oui !… Prends-moi !… Lâche-toi en moi !…Je continuais mes allers-retours, guidés par ses mains, il se raidit, ahana, rugit et se libéra en me prenant par les hanches… Je criais de concert, son pieu fiché en moi. Il m’arracha mes dernières forces, je retombais hors d’haleine entre ses bras… C’était magique… En sueur, les seins inondés de nos effluves, mon ventre rivé au sien, nos doigts croisés et nos bras rejetés en arrière, je vivais un instant de pur plaisir, de sexe pur et simple… Je sentis sa semence s’échapper, couler sur mon pubis, glisser de son sexe qui avait repris une taille normale… Nous ne bougions pas, reprenant notre souffle, redescendant sur terre…- Viens, offre moi ce jus d’amour…Il me fit tourner sur lui, me mis sur le dos, sa tête entre mes cuisses, il se mit à laper nos sucs mêlés. Je lui rendis la pareille en 69, embouchant sa pauvre chose, la débarrassant de mon odeur…Il reprenait vie… Très vite, trop vite…- Mais ce n’est pas vrai ?… Je rêve ?- Non, non… – Tu prends des cachets ? Un régime…- Ah ? Anne m’a évincé pendant 6 mois…- Oh, je vous ai entendus hier au soir…- Juste un hors d’œuvre, elle récupère difficilement, alors moi, j’ai du retard, un sacré retard !…Alors que je le pompais de nouveau et que la chose se dressait comme un mat, il avait replongé ses doigts en moi, deux ou trois ?Je feulais mon désir de nouveau, lorsque je sentis, une phalange s’égarer et masser nettement mon petit trou…- Non !… Pas là…- Chut ! Tu vas adorer…Sa langue vint jouer et saliver ; le doigt me pénétra petit à petit, jusqu’à me procurer une douce sensation… Il me bascula à genoux, fesses en l’air, agrippa mes hanches, et son gland vint taper contre ma porte arrière… Prêt, il glissa lentement, dilatant sans peine cet orifice intime… Je le recevais avec appréhension… Puis il me posséda ! Je ne l’avais pas pensé si loin… Ses bourses cognaient ma chatte, il me besognait en cadence et je sentis enfin du plaisir. Mes chairs assouplies et dilatées, humidifiées, me retransmettaient des sensations inédites… Oui, car je n’avais que rarement osé la sodomie, malgré mes multiples amants, mon mari et des soirées parfois assez coquines…Aujourd’hui, dans un état second, irradiée de désir sexuel, transportée par ces attouchements que je pensais interdits, je me suis laissée fléchir. Les jeunes sont naturels et ces pratiques autrefois décriées, sont devenues courantes dans la sexualité moderne. Nos limites ont volé en éclats, les leurs ont gagné une liberté totale : partenaires multiples, mélange des sexes, en usant de tous les artifices, comme les drogues diverses et variées, l’alcool. Plus de bornes, fi des morales, adieu les principes et les interdits, et jusqu’aux principes sacrés, comme le mariage, galvaudé et transformé, ouvert à tous les sexes… Les divorces deviennent courants, les enfants sont transférés à un autre père, une autre mère… On obtient des familles recomposées avec des enfants de deux parents voire plus, qui doivent vivre ainsi, sacrifiés sur l’autel de l’égoïsme de leurs géniteurs…. C’est la vie…Il me laboure sans pitié, je deviens poupée de chiffon, il s’enfonce dans mes chairs en rugissant son plaisir :« Han !… Tiens !… Prends-ça !… Chienne !… Tu aimes la bite !… Tiens celle-là… Cambre tes reins pour me recevoir… Oh, oui… Tu es bonne… J’aime ton corps, je te prends, tu es à moi… Ah !…. Oui !….. »Je sens la fin, je jouis de ces nouveaux plaisirs, m’aidant seule à retrouver mes racines, deux doigts dans mon vagin, mon pouce sur mon clito… Il jouit, je jouis, je suis emportée, j’ai crié, j’ai aimé…Ce soir j’ai donné mon cul à mon gendre, il a su quoi en faire, je ne regrette rien, mais suis déçue au fond de moi, n’ayant pas explosé comme je pensais le faire. Trop tendue ? Trop sur la réserve ?De retour dans le bassin au milieu de mes amis, je me vois encore criant mon plaisir, offerte, jouissant ses coups de reins, l’embrassant à pleine bouche comme un amant…Nous avons gagné haut la main la seconde manche, dominant nos adversaires !… Son regard venait souvent entre mes seins… Je sentis une onde m’envahir quand il me prit dans ses bras pour fêter notre victoire et me donner un chaste baiser sur la joue…Nous n’avons plus jamais reparlé de ce dérapage, un de plus dans ma vie sexuelle bien remplie…4.RomainHistoire publiée sous le titre Secrets d’Alcôve…Je vais vous raconter comment j’ai trompé Paul avec son collègue de travail, et qu’il a fait de même avec la femme de celui-ci…Ce fut le début de mon divorce officiel, le début de pas mal d’aventures aussi.Paul loge dans ma villa, dans un studio aménagé au rez-de-chaussée suite à son coup de canif dans notre contrat. J’ai pris la décision de vivre ainsi, découvrant plusieurs aspects de l’amour et surtout du sexe (v. mes histoires). Je ne voyais mes amies qu’à l’extérieur, certaines étant devenues mes amantes, faciles à voir et côtoyer, sans qu’il ne se doute que je les consommais dans l’intimité de mon salon… Nos accords me laissèrent plus de liberté, pour recevoir, de jour et de nuit, faire ma vie, mais je n’eus pas d’amant, étant sevrée des hommes…4 ans qu’on se croisait et que sa présence me rassurait. Nous avions convenu de continuer comme si de rien n’était, invitant nos amis, notre famille de temps en temps, routine trop ancienne pour être modifiée sans attirer l’attention. Notre fille, Anne étant mariée et partie de la maison, nous avons continué à recevoir de temps à autres.Parmi nos relations proches, il y avait un couple, Romain et Alice que nous invitions plus souvent que d’autres. Proches, ils habitaient dans un village non loin, lui était un ancien collègue de Paul, elle était de mon âge et très bien physiquement, blonde aux yeux bleus foncés, un corps un peu musclé, elle pratiquait le jogging et avait une piscine dont elle usait fréquemment.Je ne l’avais jamais invitée à rejoindre mes ‘ménagères de 50 ans’ avec lesquelles les présentations de produits se terminaient en initiations lesbiennes… Il y a quatre ans que j’ai commencé à me venger de la trahison de Paul, coup de poignard dans notre contrat qui avait déclenché mon courroux et ce type d’arrangement afin qu’Anne n’en supporte pas les conséquences. Puis très vite je m’occupais de ma libido, je devins accro de ces jeux diurnes entre femmes, 5 à 7 endiablés chez l’une ou l’autre…Le jour où nous recevions Romain et Alice, je ne sais plus pourquoi, j’avais passé la fin de matinée avec une de mes amies. Elle m’avait particulièrement excitée sans pour autant conclure… Je pensais à elle en faisant la cuisine pour le soir, j’accumulais les bêtises, verres cassés, erreurs dans mes recettes, oublis en tous genres… Je pensais que nous aurions pu mettre ces amis dans le secret de notre couple, mais nous avions convenus de ne jamais rien dévoiler à qui que ce soit de notre accord… Alice étant du côté de Paul dans ma tête, je ne cherchais pas non plus à la séduire, ne sachant pas si elle aimait les femmes… Il y en avait quelques-unes ainsi qui avaient échappé à ma soif… Après le repas, nous jouions souvent aux cartes, tarot, belote, ou regardions un film récent. Parfois en été, nous profitions de la fraîcheur de la piscine jusque tard dans la nuit.Ils étaient élégants, instruits, et nous pouvions bavarder des heures. Romain ne me déplaisait pas, elle non plus…Mais jamais d’allusion, ni de geste déplacé… Paul avait-il parlé ???Tant et si bien que laissant mes invités à leur discussion hautement intellectuelle, je débarrassais la table, allais et venais dans la cuisine en préparant des liqueurs.Romain vint m’apporter un plateau d’assiettes sales, puis le remporta, chargé de tasses et d’alcools divers…Je terminais mon rangement lorsqu’il me rejoignit de nouveau, alors que nos époux respectifs, descendaient voir notre piscine rénovée…Alors que je regardais le couple descendre par la fenêtre de la cuisine, je sentis des mains m’enlacer par derrière, venir sur mon ventre. Il se plaqua dans mon dos, me serra contre lui dans un mouvement qui me fit reculer de surprise… Ses mains enserraient mes seins, je percevais une bosse, il se mit à me bécoter l’oreille et le cou…Je ne savais comment réagir, c’était rare depuis ces dernières années d’avoir à faire face à un assaut sentimental…Je le laissais me peloter, mettant ce geste sous le coup de la boisson… Ses lèvres cherchaient les miennes… J’étais scotchée contre l’évier, sans réaction…- Tu me plais, Marika…Je repris mes esprits, ne voulant aucun scandale, et je posais mes mains sur ses bras, dans le but de calmer sa caresse qui ne me laissait pas insensible, après la matinée que je venais de vivre…Son sexe devenait insoutenable, ajoutait à mon émoi, profitant de mon sevrage masculin…Je vis Paul et Alice arriver vers la piscine, il regarda… Rassuré, il s’enhardit…- Non, Romain… Chut !…- Me dit pas que ça ne te plaît pas de sentir un homme te désirer…Ses mains empaumaient mes seins par-dessus ma robe d’intérieur, il se fit plus pressant, commençant à descendre sur mon ventre, puis glisser vers le pubis… Il me poussa, je dus m’appuyer de nouveau sur le plan de travail dans une position obscène, fesses proéminentes… Il avait sorti un sein de mon soutien-gorge, l’autre main était engagée sous ma culotte et allait atteindre l’antre de mon intimité…- Non, je t’en prie… Ils vont revenir, je ne les vois plus…- On les entendra remonter…- Oh !…La main venait de glisser dans le nid douillet de ma toison, et les doigts atteignaient leur but, envahissant les points sensibles… Je sentais déjà une douce chaleur poindre…- Non ! Ils vont nous entendre…- J’ai envie de te prendre là, sur la table…Il m’arc-bouta sur le plan de travail, releva ma robe, baissa ma culotte… J’étais trempée de désir, il s’en aperçut… Un doigt tournoya sur mon clitoris, mettant le feu, je dus ravaler un cri de plaisir de justesse… Je me relevais d’un bond, lissais ma robe, lui fit une moue fâchée et tournais les talons vers le couloir, ils arrivaient…- Ah, je sers les alcools, allez-vous asseoir…Seule dans la cuisine, je repris mes esprits… Oh, je ne risquais rien de bien déshonorant, j’étais libre vis-à-vis de Paul… Mais me laisser lutiner sur la table de cuisine pouvait contrarier Alice, à moins qu’ils ne soient de mèche tous les deux…Avaient-ils flirté vers la piscine, étaient-ils amants ? Le doute m’effleura…- Alors la piscine te plaît Alice ?- Elle est sympa, j’ai hâte de l’essayer…- Paul t’a tout montré ?- Je ne sais pas… Que doit-il me montrer de plus qu’il ne l’a fait ?- L’abri avec le barbecue, le frigo, la table d’été, le store électrique qui peut nous protéger du soleil, de la pluie ou des regards…- Ah non ! Paul, tu ne m’as pas tout montré alors !… Il n’a même pas voulu allumer…- Ah, je ne sais pas si l’électricien a fini de raccorder les nouveaux spots colorés…- Changeant de couleur ?… C’est chouette ça ! Changer d’ambiance, changer d’humeur…- On peut y retourner avec une lampe de poche… On a le temps, vous venez Marika, Romain ?- Non, merci, je vais finir de ranger et me changer…- Romain ?- Oh, je suis si bien dans mon fauteuil avec mon alcool préféré, allez-y tous les deux, je tiens compagnie à notre hôtesse…- Bon, on va faire le tour du propriétaire… Je vais te montrer le poolhouse comme on dit…Ils redescendent par l’intérieur, vers le garage, Romain est déjà contre moi, sa bouche sur la mienne, un long baiser tendre, chaud, nos langues se frôlent, se touchent. Je le lui rends, je ne sais pourquoi…- Non… je…Il me pousse dans la salle de bains que je venais d’entre-ouvrir, me prend dans ses bras, caresse mes seins, retrousse ma robe, je perds le contrôle, il est partout… Assise sur un tabouret, écartelée, il me masturbe allégrement provoquant mes premiers râles, je jouis en feulant mon plaisir… J’ouvre son pantalon, sors son pénis, et le suce à mon tour, en le masturbant d’une main ferme….Nous nous retrouvons dans des positions diverses, il finit par m’allonger sur le tapis de bain, écarte mes cuisses et me prend d’un coup… Lentement au début, me pénétrant avec délice, puis accélère… Je souffle, je soupire, râle, gémis… Il continue, encouragé par mes vocalises, s’allonge à son tour, retire ma robe, mon soutien-gorge… Entièrement nue, à sa merci, je m’empale sur son membre dressé, face à lui… Je prends un rythme qui m’emporte jusqu’à jouir, liquéfiée… – Oui !… C’est bon !…Il me prend ensuite les fesses en l’air, en levrette, me ramonant comme un forcené… Enserrant mes seins, malaxant, excitant mes tétons à m’en faire crier… Je pleure de plaisir, je n’avais plus connu tant d’assauts sexuels depuis quelques mois… Il me besogne, me tourne, me güvenilir bahis şirketleri reprend, caresse ma chatte, mon clito, mes seins, revient, soulève mes hanches et me refait jouir, dans une cavalcade effrénée qui me porte à l’orgasme… Je sens sa semence m’envahir, couler sur mes cuisses, un flot de bébés qui s’échappe… Mon dieu que c’est bon !…- Eh bien, tu en avais envie…- On ne fait plus l’amour avec Alice, on dort séparément…- Pourquoi ?- Elle m’a trompée avec le voisin !… Mais chut…- Paul et moi, sommes aussi séparés…- Vous divorcez ? – Non, à cause d’Anne au début, mais c’est tout comme, il a une maîtresse, je le sais… Et vous ?- Bof, on va rester comme ça, mais c’est difficile…- Tu crois qu’ils … ?- Oh, je ne sais pas… Habille-toi, on va les voir…Une fois dans le jardin, on fait le tour de la piscine, puis vers la nouvelle cuisine d’été.Il me suit de près, je m’arrête pour écouter, il m’embrasse longuement, me serre contre lui tendrement… Pas de lumière… Mais je discerne une présence dans le studio dont les volets sont fermés… On y a mis un canapé… Je m’approche des volets, un interstice me permet de glisser un œil, je dois me mettre sur la pointe des pieds, il en profite pour m’enlacer, soulever ma robe, caresser ma chatte… Je fonds…- Chut !…Ça y est… Ils sont bien à l’intérieur et font ce que nous venons de faire… Alice, écartelée au bord du canapé, Paul entre ses cuisses la prend doucement, elle gémit, les yeux dans le vague, souriante accompagnant les assauts de mon mari…Romain se met à ma place, je glisse ma main sur son pantalon, tripote son sexe qui devient dur…- Je vais te prendre contre le volet si tu continues…- Oh !… Oui, j’ai envie de toi encore…J’ai du mal à atteindre la maison, ses mains sont partout, il me plaque, me soulève, s’insinue, se glisse, me caresse, me délire…- Arrête, attends…- 10 ans que j’ai envie de te caresser, de t’aimer…Assise dans le salon, je récupère, il me sourit en sirotant son verre…Ils entrent, essoufflés, en riant…- Oh, oui, un verre…Je les sers…- Alors ça t’a plu Alice ?Nos regards se croisent….- Oui… Charmant, mais sans électricité, je n’ai pas pu tout voir en détail… Ce doit être très agréable de pouvoir se dorer à l’abri des regards…- Oui, profiter du soleil, des charmes du jardin et du reste…Je me lève pour chercher des glaçons, Alice me suit des yeux, puis se lève et vient me rejoindre…- Tu nous as vus ? Tu sais, je ne voulais pas… Mais il insistait… J’en avais envie…- Moi aussi avec Romain… Il m’a raconté pour vous deux, tu sais pour Paul et moi ?- Il m’a fait visiter son studio et m’a expliqué votre accord… Tu as bien fait, moi je lui en veux, mais, enfin je pense divorcer à terme…- Merci… On n’a jamais trop parlé de nous toutes les deux…- C’est vrai… Pourtant je t’admire depuis qu’on se connaît… Tu es belle, sensuelle, j’ai eu souvent envie de te connaître de façon plus intime… Je n’ai jamais franchi le pas par timidité…- Tu sais, depuis ma séparation, je me suis tournée vers les femmes, par dégoût des hommes au début, puis par besoin de tendresse, de sexe, et puis j’ai eu une occasion… Mais rien n’est perdu tu sais, j’ai besoin d’un homme quelquefois, mais ce sont les femmes qui me donnent ce que j’aime au quotidien, cette tendresse, ce partage, cette intimité, et l’échange…- Tu as aimé te laisser emporter dans les bras de Romain ?- Ce matin j’étais avec une amie qui n’est pas lesbienne, elle m’a allumée… Alors lorsqu’il m’a caressée, embrassée, j’ai craqué…- Moi aussi j’ai craqué. Paul est si généreux, tendre, rassurant…- On n’a plus rien à se cacher alors… ?- Non, j’allais te le proposer, on est mieux ici que sur un lit boiteux… J’aime mon confort… Et on ne sera pas obligées de le faire aussi vite, comme tout à l’heure !…- Tu as raison, et puis tu verras, on se connaît assez pour ne pas être gênées… Même par nos maris…- Tu as déjà fait ça ? A plusieurs ? Je veux dire avec un autre couple ?- Oui, pas souvent, on n’est pas des échangistes, ni des affamés de sexe. Mais l’occasion fait le larron… Et puis après Paul, je suis tombée dans la fornication… Je cherchais du plaisir, j’ai connu des trucs insensés, des trucs à plusieurs hommes qui me prenaient et me filmaient… J’ai eu peur une fois, abandonnée, sans téléphone, sans rien, perdue dans la nuit… J’ai pleuré jusqu’au matin, ivre et droguée sans doute, cachée dans les bois… Une femme s’est arrêtée, m’a ramenée jusque chez moi… Je saignais, elle était infirmière, elle m’a soignée, j’avais été violée, devant, derrière, mes seins rougis, j’étais une loque… Voilà pourquoi j’ai fait ce cinéma avec Paul, j’ai eu besoin de me rassurer, d’assurer mon avenir. La maison est à moi, il vit en bas, nous gardons les apparences, mais je suis libre. Parfois on refait l’amour, pour le sexe, mais sans sentiment autre que s’envoyer en l’air… Avec lui je suis en sécurité, je ne veux plus vivre cet enfer… Mes amies m’ont critiquée, mais j’ai tenu bon, j’avais raison de ne pas brusquer les choses, Anne aurait été marquée par une rupture, et puis tout a été facile pour oublier, une rencontre… J’ai aimé être désirée par une femme, faire l’amour jusqu’à en crier de plaisir, ici, alors qu’il était en bas… J’ai vécu quelques temps avec elle… C’était agréable, un long été…- Tu as vécu bien plus que moi… Je n’ai connu qu’un homme avant Romain. Lui, je l’ai aimé tout de suite, mais on a attendu d’être sûrs tous les deux avant de coucher ensemble et de s’engager, je ne prenais pas la pilule… On flirtait, on se caressait, on cassait, on se retrouvait, on recommençait… Ensuite, on a fait ça officiellement, fiançailles, puis mariage, et voilà qu’au bout de trente ans, il me trompe… Rouge sur la chemise, des retards, des amis que je n’avais jamais vus… Je le suis. Il monte dans un appart en ville, je monte aussi… Une fille lui ouvre et se jette à son cou… Rousse, flamboyante… Je suis rentrée chez moi, j’ai sonné chez mon jeune voisin, il était seul, beau, viril, j’étais hors de moi, en pleurs… Il m’a réconfortée, calmée, puis on a bu le verre de l’amitié, il m’a serrée contre lui, au second verre il m’a caressée, au troisième, pelotée, je ne comptais plus quand il m’a baisée… Romain m’a appelé vers 21 heures, j’étais nue et ivre… Il s’excusait, il m’a dit que ce n’était qu’en passant, qu’elle l’avait dragué au bureau, lui s’en amusait, rien de sérieux, J’ai répondu que j’étais en train de me venger et que je trouvais ça très bon…J’ai vomi de dégoût lorsqu’il a essayé de me faire l’amour quelques jours plus tard en me jurant que c’était fini… Sa queue était pleine de cette chose rousse… Je l’imaginais pénétrant dans sa chatte, ou dans sa bouche quand elle le pompait comme j’aimais le faire… Un soir j’ai craqué, je me suis relevée en furie, je l’ai sommé de filer dans le canapé. Il est sorti la queue entre les jambes, et j’ai fermé ma chambre à clé… Je me suis rendue chez un avocat qui m’a fait un papier, que j’ai proclamé officiel, plus d’attouchements entre nous, séparation de corps en instance… Il a tout gobé et s’est fait une chambre dans l’ancien bureau… – Ce n’est pas vrai ?- Pas officiel, juste pour l’intimider et avoir la paix… Comme tu dis, c’est dur de s’en passer… J’ai revu le voisin quelques temps, on baisait sans se poser de question et sans prise de tête, il m’a permis d’évacuer ma rage quelques semaines… – C’est toi qui menais le bal ?- Oui, je me faisais jouir sur lui, jusqu’à ce que je ressente monter un orgasme. Ensuite il me prenait lentement en levrette ou en ciseaux, longtemps, je feulais mon plaisir, le griffais quelquefois, il aimait m’entendre prendre mon pied, il aimait ça, et déchargeait en moi… Je ressortais vannée, assouvie, mais il ne me sodomisait pas, j’avais refusé…- Tu vois il faut parfois changer d’habitude, pimenter, partager…- Tu as raison. Une fois on a remis ça, en vacances avec Romain… Il n’y a pas longtemps d’ailleurs… J’ai senti autre chose, plus de tendresse, je ne suis plus retournée chez le voisin… Dis, j’aimerais vous inviter la semaine prochaine, j’ai une idée…De retour au salon, ils regardent un match à la télé…On se dévisage avec Alice… Pourquoi les déranger ?- On vous laisse entre hommes, on va essayer des robes pour les fêtes alors on ferme la porte. Veuillez taper si vous désirez quoi que ce soit…- Allez-y, il y en a pour près de deux heures…- Mais nous aussi, Marika on peut passer toute ta garde-robe en revue, chic !Nous nous retirons, fermons la porte… Sa langue est douce, son baiser de feu est généreux, son corps se fait liane, elle me caresse tendrement… je commence à me déshabiller, but du jeu… Elle en fait autant, nous tombons sur le lit…- Tu ne fais plus l’amour avec Paul ici ?- Très rarement, il me sert de garde-fou, car je m’étais précipitée à aller n’importe où et j’ai eu des déboires sérieux, ce qui m’a poussé vers un autre monde. Les femmes mariées, enfants partis s’ennuient… Elles deviennent lesbiennes, car délaissées par leur homme… Nous ne servons que de déversoir… Alors on reprend du désir, j’aime passer la nuit avec une amie intime, partager, se laisser aller à d’autres délices, rien n’est interdit…- Tu as goûté aux jouets intimes, les sex-toys ?- Oui, mais bof. Le caoutchouc ne me satisfait pas… Un gode encore remplace le membre au plus profond du vagin… Ça ne vaut pas un vrai, chaud, puissant, celui d’un noir membré comme un taureau…- Tu as connu ?- Oui… Terrible de sensations, surtout par derrière, à crier de plaisir toute une nuit…- Oh, je n’ai jamais osé…- Un noir ?- Non, par derrière !…- Oh, tu devrais… La sensation est différente, bien réelle… – Je n’aime pas les mots désignant l’acte, comme sodomie, enculer ; ça me choque et puis dans ma jeunesse c’était mal…- Avant le mariage c’était sans risque, et ce n’était pas tromper…- C’est vrai…Ses seins sont pleins et je les savoure avec tendresse, les cajolant, les suçant, les tétant… Elle bouge en tous sens, essaie de m’embrasser, je m’enfuis, la cloue sur le lit de tout mon poids…Elle me sourit, prend mes seins à son tour, elle les masse pendant de longues minutes, déclenchant des orgasmes mammaires, tétons dressés, durs et rougis… Sa main passe dans ma chatte, ouvre, titille mon clito, elle le veut… Je m’écartèle, elle vient sur moi en 69… Son intimité a le goût de l’homme, de Paul… On se caresse, on se lèche, on se suce, jusqu’à crier notre plaisir mutuel… Nos doigts s’agitent, je la masturbe jusqu’à ce qu’elle demande grâce en jouissant… Elle me porte aux nues aussi, grognant et gémissant, écartelée, offerte…- Tu es si belle Marika… J’ai envie de toi encore, apprends-moi la femme…Je pars dans un baiser profond et tendre, puis caresse son corps de toutes parts, glissant mes doigts écartés sur la soie de cette peau, tendresse, plume, baisers… Elle se laisse emporter, se laisse jouir, s’offrant, partageant, rendant caresse pour caresse…Sa langue est douce, de partout, de mes oreilles à mes plantes des pieds… Nous rions, nous jouissons, je suis trempée de sueur, trempée tout court… On court sous la douche, on échange d’autres caresses, réciproques, intenses, volées… Seins contre seins, ventre contre ventre, on se frotte, on s’embrasse, on sort, on se sèche…Puis on s’allonge l’une contre l’autre, on se fait jouir encore et encore, en ciseau, chatte contre chatte, pleurant de plaisir…- C’est délicieux, si tendre, si féminin… J’adore… Merci…Je sors des robes et les étale sur le lit… Elle essaie, moi aussi je passe d’anciennes robes, des jupes, des hauts… Nues, sans réserve et sans complexe comme deux amantes…- Ohé, vous êtes là ? On peut entrer ?On se regarde, chacune dans sa robe… Elle hausse les épaules, me donne un baiser…J’ouvre la porte…- Dieu quel spectacle !… Oh, tu es mignonne Marika…- Alice, divine !… Elle te va à ravir…- Oui, et quand je me penche, tu ne loupes rien de mes nénés qui s’échappent…- Et moi c’est quand je m’assieds, elle remonte laissant voir ma culotte…- Impossible tu n’en portes pas…Nous rions en chœur…. – Allez les hommes… Nous avons parlé avec Marika… Paul et Romain vous êtes amis de travail, mais nous, nous ne nous connaissions pas vraiment… Nous avons parlé, de nous, de nos couples… Chacun sait que Paul ne vit plus avec Marika, mais en dessous dans un studio. Ils ne sont pas divorcés, Romain et moi sommes séparés mais ce n’est que moral, entre nous. Nous avons besoin de changement l’un et l’autre… Nous venons de vivre chacun, chacune, ce soir des moments intenses. Nous vous avons cédé pour une raison simple, nous en avions envie… Et depuis notre premier repas ensemble, l’eau a coulé sous les ponts. Nous nous entendons bien, et n’avions pas de vue sur le mari de l’autre… Et bien maintenant nous n’avons plus à nous cacher. Marika peut flirter avec Romain et moi avec Paul… Et si tout le monde est d’accord on peut commencer ce soir…On se regarde en souriant, Romain vient près de moi et m’embrasse à pleine bouche sous le regard attendri de sa femme, Paul la prend dans ses bras, ses mains glissent sur la robe, elle fond contre lui…Je me retrouve nue en un clin d’œil, et les choses vont très vite… Le sexe de Romain prêt à me prendre, ses bras qui me tiennent, puis ses mains qui me font délirer… Enfin il me possède à grands coups de va-et-vient, en travers du lit, les cuisses relevées en total abandon, feulant mon plaisir à nos partenaires…Alice est accroupie sur lui, écartelée, prenant Paul en elle, si belle dans son abandon, elle ahane son plaisir sous le regard de Romain… Nous jouissons toutes les deux, empalées sur nos amants, montant et descendant le long de leur hampe dans le plus parfait des duos… Je me laisse aller jusqu’à ce qu’il me calme… Je prends son sexe en bouche, lui offrant le mien… Nous jouissons encore et encore, en entendant nos gémissements se fondre, nos suppliques résonner, nos corps s’enflammer, se tordre, vibrer sous les assauts de nos amants…Alice se met à gémir lorsque Paul lui masse l’anus, comme il me le faisait parfois…Romain agit de même, son doigt me pénètre d’une phalange, lubrifie, écarte, puis il vient se positionner entre mes fesses, son sexe dressé, turgescent…Après quelques mouvements d’assouplissements supplémentaires, il glisse lentement son pénis jusqu’à ce que je ne ressente plus aucune douleur gênante, puis il augmente sa cadence, avec mon assentiment… J’en profite pour venir exciter mon clito, ouvrir largement ma chatte désertée, plonger mes doigts rageurs, me masturber à qui mieux-mieux, pour accéder à un orgasme bruyant, me libérer, me transporter aux nues lorsque je ressens sa chaleur m’envahir, son flot se déverser dans mes entrailles, prise par un a****l en rut…Je délire sous les visages béats d’Alice et Paul…Peu après, elle est au même point que moi, abandonnée aux assauts du mâle qui la violente avec passion la portant à crier ce nouveau plaisir…- Oh, oui… Viens ! Lâche-toi, oui !… C’est bon !… Viens ! Donne-moi tout ! Vas-y…Ils remettent ça, le membre surexcité se plantant entre les fesses d’Alice qui se masturbe avec deux doigts en vociférant…- Oh, c’est géant… J’adore… Prends-moi encore… Je n’ai plus mal…Ce qu’il fait…Etendus tous les quatre, épuisés, nous venons de passer une heure dans cette chambre, j’ai ressenti chaque orgasme d’Alice, comme si j’étais à sa place sous le joug de Paul…Nous nous rhabillons, puis retournons au salon. Je sers des boissons, puis me cale dans un fauteuil… Alice vient me rejoindre, la télé commente le match qui vient de finir sur la victoire des autres…- Je suis épuisée, jamais je n’avais joui comme ça… Paul, toi, puis de nouveau avec Paul devant vous… C’était géant d’être tous les quatre, d’être regardée, de t’entendre jouir… Et le comble, il m’a prise par derrière… Je lui ai fait confiance, j’ai aimé sa douceur, cette intrusion virile, puis cette chaleur qui nous emporte, j’ai ressenti comme une force bestiale m’introduire, comme prise par un a****l en rut… J’adore ça…- Oui, un peu de ça, un coït, a****l, parfois brutal… L’homme domine la femme, la possède, mais il ne peut se reproduire ainsi… Porte d’entrée dérobée, on dit parfois… Romain m’a emportée loin tu sais, il avait sans doute envie de nouveauté, de prouver sa virilité…- Il avait envie de te sauter c’est certain, comme sa pouffiasse l’autre jour… Le retour d’âge sans doute, un goût de revenez-y… Mais j’ai aimé ta tendresse quand tu m’as prise, emportée dans ce monde tout en touches douces, colorées, érotiques… J’aime, je veux te revoir… Mais chut, ne dis rien aux hommes… Secret d’alcôve…

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