Natacha

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

NatachaJ’avais 40 ans et un métier passionnant qui me conduisait à de très nombreux déplacements en avion en Occident. Je faisais au moins un vol aller-retour par semaine et j’ai donc connu pas mal d’incidents de voyage la plupart sans gravité même si une fois j’ai été éjecté du fuselage d’un avion en détresse par les toboggans gonflables. Je prenais souvent des vols tardifs pour ne pas amputer ma journée de travail. J’arrivai donc de nuit à l’hôtel pour une courte nuit solitaire avant d’engager une nouvelle journée dense. J’ai gardé de cette période quelques souvenirs croustillants.Cette jeune femme par exemple qui faisait téter son enfant de presque deux ans en salle d’attente à Rome. C’était une grande nordique bien foutue, danoise je crois, qui s’était mise topless les deux seins à l’air sans complexe et qui restait comme cela même quand son enfant avait fini de téter. Elle avait un bon prétexte pour s’exhiber sans crainte. Les hommes même en couple avaient du mal à détourner leurs regards de cette magnifique poitrine gorgée de lait que l’on voyait sourdre par quelques gouttes à la pointe des tétons. Ces mannequins qui revenaient d’un salon de la mode à Munich et qui étaient tout autour de moi dans l’avion. C’était de grandes filles maigres, pas très belles vues de près, qui ont passé une heure à se raconter les aventures sordides qu’elles avaient dû subir pour être retenues par leurs agences. bursa escort C’était cru, raconté sans fioriture et montrait que ce métier demandait beauté physique et souplesse morale. C’était aussi excitant de comprendre qu’elles avaient acceptées.Cette jeune fille très court vêtue qui laissait voir sa culotte puis un peu plus tard son absence de culotte après être passée aux toilettes et dont le voisin de siège caressait l’entrecuisse dès que le personnel de bord n’était pas proche. On l’entendit même gémir de plaisir un peu plus tard quand les lumières furent en veilleuse.Et puis il y eu Barbara, une hôtesse hollandaise qui s’occupait de moi sur un vol long-courrier transatlantique. Elle était très professionnelle, courtoise. C’était une femme dans la trentaine dont la classe était soulignée par le port d’un élégant uniforme. Le vol était long et j’avais été discuté avec elle apprenant ainsi qu’elle vivait près de Paris, qu’elle était une fausse célibataire son ami intermittent étant steward sur d’autres vols, qu’elle aimait ce métier car elle s’y sentait libre et qu’elle aimait les rencontres de tous types que cela lui permettait car entre deux longs vols elle avait du temps en escale. Je l’avais trouvé sympathique et lui avait livré que moi je me sentais un peu seul lorsque j’enchainai les nuits loin de mon domicile habituel.J’avais regagné ma place et chaque fois qu’elle passait escort bursa près de moi elle avait un mot gentil et un sourire charmant. Les heures passèrent et nous allions atterrir au Brésil. Lorsqu’elle ramassa les écouteurs elle se pencha vers moi et me dit doucement à l’oreille « on peut se revoir si vous voulez ». Pour toute réponse je lui fis un sourire charmeur. Au passage suivant elle ajouta « je serai au Mercure pour deux nuits ». Je ne dis rien mais c’était aussi mon hôtel. Lorsque je passai devant elle en quittant l’avion elle me remit une feuille de papier en me disant « je crois que vous avez oublié ça ». Je la remerciai et un peu plus loin vit que c’était un numéro de portable.Le lendemain dans la journée j’appelai et lui demandait si elle était libre pour diner. Elle semblait très heureuse que je prenne contact et nous sommes convenu de nous rejoindre dans un resto japonais que nous connaissions tous les deux.Après de repas nous marchâmes un peu dans la ville puis nous regagnâmes l’hôtel. Dans l’ascenseur je la pris dans mes bras et nous nous embrassâmes. Elle avait une langue très active et prometteuse. Elle voulut venir dans ma chambre pour plus de discrétion vis-à-vis de ses collègues. Nous primes une douche ensemble durant laquelle je lui ai caressé le sexe. Elle ondulait du bassin et ma main avait du mal à suivre. Lorsque j’eu fini de me sécher je l’ai retrouvée près bursa escort bayan de la baie-vitrée, toujours nue, en train de déguster la vue sur les lumières de la vieille ville. Je me suis mis derrière elle. J’ai plaqué mon bassin contre ses fesses et j’ai pris ses deux seins dans mes mains. Elle ne dit rien mais commença à contracter ses fesses l’une après l’autre me procurant rapidement une érection. Elle passa alors sa main entre ses cuisses, pris mon sexe en main et se pénétra. Nous fîmes l’amour ainsi debout en regardant la ville quelques étages en dessous. Elle ajustait sa hauteur en se hissant sur la pointe de ses pieds puis ondulait du bassin. Son vagin me massait le pénis merveilleusement. Une de mes mains avait quitté sa poitrine et s’activait sur son clitoris. Nous fîmes durer le plaisir et nous avons joui ensemble, toujours debout.Ensuite nous nous sommes allongés sur le lit. Elle m’a sucé doucement pour me refaire bander, puis plus vite pour durcir ma bite pendant que je lui léchais la vulve. Elle s’est alors mise à plat ventre cuisses écartées avec un oreiller sous le bassin, a empoigné ses fesses pour les écarter et m’a simplement dit « vient ». Lorsque j’ai présenté mon gland à l’entrée de son œillet elle a poussé pour faciliter la pénétration. Je l’ai prise par le cul et ses feulements rauques accompagnaient la montée de son plaisir qui explosa lorsque ne pouvant plus tenir j’inondais son intestin d’une giclée de sperme chaud. Nous nous sommes endormis et elle regagna sa chambre pendant mon sommeil. Je l’ai revue lors d’une autre escale. Elle se promenait tenue pas la taille par un beau brésilien musclé.

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bir yanıt yazın