Yoko

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Amateur

YokoQuand j’étais étudiant j’avais une amie en quatrième année de fac qui se faisait appeler Yoko. C’était une fille sportive, mince, de taille moyenne assez plaisante. Je la draguais un peu et elle ne semblait pas allergique à ma personne mais je ne la fréquentais pas plus que ça. On n’étudiait pas les mêmes matières et on se voyait surtout aux repas à la cafétéria. Mais j’aimais bien sa présence et sa conversation. Je la trouvais plus intéressante que bien d’autres filles de notre âge qui se complaisait dans la frivolité d’histoires de garçons.Elle pratiquait les arts martiaux. Elle parlait souvent de ses entraînements et combats avec casque grillagé et sabres en bois. Elle portait une véritable vénération à son maître qui était un asiatique dans la cinquantaine, multigradé, et qui régnait en chef absolu sur ses élèves. Comme souvent dans ces activités la parole du Maître n’était jamais remise en cause et les élèves avaient une relation d’admiration sans limites. Moi j’étais un peu sceptique sur cette passion si exclusive et trouvait qu’il n’y avait pas beaucoup de nuances dans akdeniz escort cette approche. Mais Yoko nous expliquait tout ce que cette activité lui apportait pour son équilibre physique et psychique. Je m’interrogeais sur son équilibre affectif et trouvais un peu curieux qu’on ne lui connaisse pas d’amoureux. Pendant un temps j’ai cru qu’elle avait une relation plus ou moins confidentielle avec une autre étudiante. Mais je me trompais.Comme je lui exprimais ma difficulté à comprendre cette pratique, elle ne chercha pas à m’expliquer mais me dit « Viens dimanche on a une rencontre avec une autre association au dojo. C’est ouvert au public tu verras par toi-même ». Par curiosité et aussi parce que Yoko m’intriguait j’y suis allé. L’activité était assez esthétique avec ces costumes longs soulignant les mouvements vifs des participants. Un côté mystérieux était aussi prégnant avec ces masques qui cachaient l’identité des combattants. On sentait aussi une adhésion à une discipline commune. Les gestes étaient rapides et précis révélant une chorégraphie mille mezitli escort fois répétée. Mais n’étant pas initié à la philosophie sous-jacente j’ai fini par m’ennuyer. Je suis parti avant la fin de la rencontre. Quelques jours plus tard en déjeunant j’expliquais mon ressenti à Yoko qui ne parut pas surprise. Elle commenta en disant seulement « C’est une activité qui demande beaucoup d’investissement personnel. Tu sais, je m’entraîne tard le soir trois fois par semaine depuis cinq ans et mon maître est très exigent ». On en revenait une nouvelle fois à la référence au Maître. En bon étudiant en humanités je me demandais où était son libre arbitre dans cet équilibre précaire. J’avais presque l’impression qu’il s’agissait d’une pratique thé****utique. En tout cas l’absence de vrai dialogue autour des valeurs enseignées me semblait relever d’une pratique assez sectaire. Mais je me suis tu pour ne pas la blesser, tout en ayant envie d’en apprendre plus pour ma formation de futur psychologue.J’allais l’attendre plusieurs fois au dojo à la sortie de son entrainement yenişehir escort pour parler avec elle en marchant en direction de la cité universitaire. Je la sentais contente de me voir mais aussi réservée et même parfois distante. Et puis un soir ne la voyant pas sortir de son club à l’heure habituelle j’ai attendu et j’ai fini par rentrer dans le dojo vide. J’ai aperçu son sac sur un banc et j’ai entendu du bruit venant du vestiaire dont la porte était entrouverte. En regardant par l’entrebâillement je l’ai vue debout appuyée des deux mains contre un pilier, veste de kimono ouverte qui se faisait prendre brutalement par derrière par son Maître fort afféré à profiter de son cul. Elle grimaçait et ne semblait pas au somment du plaisir. J’ai fait demi-tour. J’avais compris en un instant qu’il n’y avait vraiment rien à comprendre. Je l’ai évitée et nous nous sommes perdus de vue. Dix ans plus tard je me promenais au parc avec mon jeune fils et je l’ai croisée avec un amoureux de son âge. Elle avait un air épanoui que je ne lui avais jamais connu. Nous avons échangés quelques mots. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander si elle pratiquait toujours. Elle a ri en répondant « Au non c’est loin et j’ai perdu beaucoup de temps avec tout ça ». Puis elle a mis son bras autour de la taille de son homme dans un geste d’amour qui faisait plaisir à voir.

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