La stagiaire

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La stagiaireLa réunion du lundi matin s’était passée comme d’habitude. Engagement par rapport aux ventes, chiffres de la semaine, bref un briefing comme les autres. Après une heure de bourrage de crâne, nous apprenions par notre supérieur, qui revenait d’un stage de management, que nous avions un “problème de savoir être”. Ca y était, il avait succombé au phénomène de mode qui consistait, à clamer cette phrase dés q’un problème se présentait. Le savoir faire on maîtrisait, mais le savoir être… Depuis quelque temps le directeur régionale en avait fait sa phrase favorite, qui la tenait de notre directeur commercial, qui lui, l’avait empruntée au directeur général. Quand j’y pense j’en ri encore ! J’allais me lever avec les autres commerciaux quand notre directeur nous rappela que nous avions chacun un stagiaire pour 4 jours. Je l’avais complètement oublié celui-là ! Bonjour la semaine !Oh, ce n’est pas que je n’aime les stagiaires, mais ils nous ralentissent considérablement.Il faut leur expliquer chaque chose que l’on fait et à bien y réfléchir, c’est bien légitime.Ma mauvaise humeur tomba un peu quand le chef me précisa que “mon” stagiaire s’appelait Monica et qu’elle m’attendait avec les autres à la machine à café.O.k, au moins c’est une fille et avec un peu de chance elle serait un peu mignonne.Bien sûr, quand nous arrivions mes collègues et moi à la salle de pose, je ne m’attendais pas à ça.Ce jour la, il faisait plutôt beau pour un mois de Mai en Lorraine. Depuis quelques jours il faisait même chaud, voir lourd. Monica se tenait debout avec ses collègues. Elle était à contre jour, si bien que je ne distinguais pas son visage comme je l’aurais souhaité. Elle était grande, élancée, avec des jambes interminables. Un pantalon noir à pattes d’éléphants moulait ses cuisses fuselées. Une chemise blanche gonflée par une belle poitrine retombait à mi-cuisses. Juchée sur des bottes à talons, elle dépassait tout le monde. Un téléphone portable semblait greffé à sa main gauche et de l’autre elle tenait un café avec une cigarette, coincée entre deux doigts.Je m’avançais un peu et, je la découvrais plus en détails. De longs cheveux bruns ondulés étaient maintenus en arrière par une paire de Ray Ban. Quelques mèches rebelles encadraient un joli petit minois bronzé. De grands sourcils bien dessinés mettaient en valeur de magnifiques yeux verts superbement maquillés. Le nez était fin et un petit diamant scintillait à sa narine gauche. Sa bouche sensuelle et légèrement teintée s’ouvrait par moments sur des dents blanches et bien rangées. Une véritable bombe sexuelle !Un sourire aux lèvres, je lui tendis la main en me présentant :- Monica, bonjour je suis Fred, c’est avec moi que tu vas faire ton stage. Au fait tout le monde se tutoie chez nous, ça ne te dérange pas ?Elle me détailla également, le regard était franc et directe, me rendit mon sourire et, s’avança pour me prendre la main.Ses mains étaient fines et longues, elles se terminaient par de grands ongles parfaitement manucurés. – Bonjour Fred, le tutoiement ne me dérange pas, heureuse de te connaître !Le contact de sa main et le son de sa voix m’envoyèrent une décharge de 6000 volts.Elle avait un joli petit accent, qui lui faisait rouler les “r”, sensuellement.Cette fille était belle à couper le souffle.Dans la voiture nous avons fait plus ample connaissance. Elle avait 22 ans et elle préparait un B.T.S action commercial en deuxième année. Elle vivait chez ses parents dans une petite villa aux environ de Nancy. Elle fréquentait un garçon depuis trois ans. Elle se plaignait un peu de son manque d’attention envers elle, mais bon, elle l’aimait quand même !J’appris également que Monica était d’origine italienne, ce qui expliquait sa peau mate et ses formes pulpeuses. Parfois lorsqu’elle bougeait, j’apercevais la corbeille de dentelle noire de son soutien gorge par l’échancrure de son chemisier.Devant son insistance, je lui appris que j’avais 37 ans, marié, deux enfants et, que cela faisait 7 ans que je travaillais dans cette société agro-alimentaire en tant que conseiller commercial. Elle me dit que je ne faisais pas du tout mon âge et, que je devais bluffer pas mal de monde.Nous nous sommes trouvés pas mal de points communs, nous aimions les mêmes musiques et, délirions sur les mêmes films comiques, ce qui la surpris vu notre différence d’âge.Nous échangions nos avis sur certains modèles de voitures et, devant mon étonnement sur sa connaissance, elle me précisa qu’elle fréquentait beaucoup les rallyes automobiles.En fait, Monica se passionnait pour tout se qui touche à l’automobile, tunning et mécanique compris. Une fille superbe qui parlait “voiture”, j’étais aux anges !Elle compris très vite les ficelles du métier qui consistait à visiter les clients déjà constitués dans un fichier. Ce jour là c’était une clientèle de campagne que nous allions voir.La matinée se passa très bien, entre plaisanteries et fous rires nous travaillions quand même un peu, du moins, moi, je m’efforçais car je n’avais vraiment pas la tête à ça. Surtout quand elle se penchait en avant, son décolleté révélait un profond sillon qui partageait des seins superbes.Il ne nous restait que 5 clients à voir, nous étions rentrés dans le jardin d’un client pour sonner à sa porte, quand un chien apparut. Oh pas un gros chien et pas du tout agressif.Bref, pas de quoi en avoir peur ! Pourtant Monica poussa un petit cri et, pris de panique, se cramponna de ses deux mains à mon avant bras en se collant à moi. Une masse souple et tiède s’écrasa contre mon torse, son sein gauche pour être exact, se qui provoqua chez moi la naissance d’un frissons, qui longea mon épine dorsale pour finir dans mon bas ventre. Délectable !L’incident clos, la cliente rentra son chien et me donna sa commande. Monica me fixait de ses grands yeux verts et, là je dus faire appel à tout mon self-control pour ne pas la prendre dans mes bras et l’embrasser avec fougue.Cette fille avait une façon de me regarder qui me rendait dingue et, je me fichais royalement des clients, du chiffre d’affaire. Plus rien ne comptait que le fait de passer le plus de temps avec elle.Il était convenu que je la ramène chez ses grands- parents pour déjeuner et, que je la reprenne le soir pour voir les clients absents du matin.Géographiquement parlant et, pour toute la durée du stage, c’était plus pratique qu’elle loge chez ses grands-parents.Durant le trajet nous avions parlé de tout et de rien mais sans cesser de se regarder mutuellement, peut être un peu plus que nécessaire.Quand elle descendit de la voiture, sa chemise était remontée sur un coté et j’aperçu enfin une partie de ses fesses. Mon dieu quel cul ! Son pantalon lui rentrait dans les fesses et, soit elle n’avait pas de culotte soit elle portait un string ! A cette pensée mon sexe se mit à prendre un peu plus de place dans mon pantalon. Je suivi du regard son balancement de hanche provoquant. Hypnotisé par cette croupe callipyge. Quand soudain elle se retourna en me souriant et, me dit :- Bon appétit Freddy ! Puis elle ajouta. Tu me prends à quelle heure ce soir ?- Mais je te prends quand et ou tu veux ! Dis-je en souriant à mon tour.- Non sérieusement, tu viens à quelle heure ?- O.K, 18h00 ça te va ?- C’est cool…Ciao Freddy… j’ai hâte d’être à ce soir. Tu me manques déjà ! Reprit ma belle en me soufflant un baiser du bout des doigts.Elle voulait jouer. Et au jeu du chat et de la souris je n’étais pas mauvais.Le soir venu, elle me confia qu’elle avait bien mangé et, qu’elle avait eu envie de faire l’amour. Comme son copain n’était pas là, elle avait été obligée de se calmer sous la douche.C’était la quatrième dimension ! Cette fille que je ne connaissais pas huit heures avant, me faisait des confidences plutôt érotiques. C’était hallucinant et terriblement excitant !- Tu t’es calmée comment Monica ? Demandais-je- En me caressant ! Tu connais un autre moyen toi ?- Oui, tu m’appelles la prochaine fois !- Écoutes Fred, j’y ai pensée mais…- Mais ? De plus en plus intéressé par cette fille.- Non rien ! Après tu te la joueras ! Et elle partit d’un fou rire.Que penser ? Elle s’est caressée en pensant à moi ? Non je me fais des films. Je prends mes désirs pour ses désirs ! Allez mec reprend toi. Elle aime plaisanter, point.Le reste de la soirée n’était que allusions et sous entendus coquins, même devant les clients, ce qui devenait gênant. Après s’être fait la bise chastement et s’être souhaité une bonne nuit, je dois dire qu’elle occupait toutes mes pensées, même les plus inavouables.Le lendemain elle se présenta devant moi, vêtue d’un pantalon beige, aussi moulant que la veille. Elle avait troquée sa chemise contre un blouson qui lui couvrait à peine les reins ce qui me permis de contempler son cul à loisir.Permettez-moi d’insister ! Elle possédait une des plus belles paires de fesses que je n’ai jamais vu. Une chute de reins vertigineuse qui se terminait par deux globes parfaitement identiques qui tendaient le tissu prêt à le rompre.Et à chaque fois qu’elle se baissait, son string blanc en dentelle faisait son apparition. C’était intenable !Excitant, trop excitant ! N’en pouvant plus et avant de lui sauter dessus, je décidais de lui donner la moitié de mon fichier et, dans la foulée je la déposait dans un lotissement avec pour consignes de faire des nouveaux clients. Monica le pris assez mal mais c’était pour la bonne cause.La journée se passa entre chassé-croisé et mise au point du secteur. En fait ce mardi là nous nous sommes très peu parlés.Le mercredi matin, Monica s’était habillée en jean. Un jean simple, mais sur elle c’était un appel au viol. On aurait pu croire qu’il était peint sur elle, tellement il lui collait au corps !Je ne vais pas pouvoir tenir le coup, elle est trop sexy et ce sourire…- Salut Freddy, bien dormis, tu n’as pas trop pensée à moi ? Fait-elle mutine.- Salut ma belle, à chaque minutes je pense à toi !- Paroles, paroles, paroles…Chantonne t’elle en mimant Dalida- Je te jure, je t’en prie…Rétorquais-je en prenant la voix de Delon.Et nous partions tout deux d’un fou rire qui en agaçait plus d’un, envieux d’une si bonne entente.Plus érotomane que jamais, je me lançais.- Tu mets toujours des strings ou seulement quand tu es en stage ?- Toujours, c’est plus sexy qu’une culotte non ? Fait-elle en se cambrant, ce qui mit en valeur ses jolies fesses bien rondes.Je dus reconnaître que oui. Et elle ajouta que les matins, devant sarıyer escort son miroir, elle prenait des poses en sous-vêtements. Elle me confia également qu’elle était dingue de belles lingeries et qu’elle en possédait de toutes sortes, des strings, des boxers, des strings- boxers ainsi que des tanguas. Le tout en plusieurs coloris et tissus différents ça allait de soit.- Humm, arrêtes tu m’excites !- J’espère bien mon cochon !Ma belle latine passa la journée à me frôler de ses fesses ou de ses hanches et, s’arrangea pour me mettre sa poitrine sous le nez dés que l’occasion se présentait.Après la pose de l’après midi, on se retrouva le soir comme d’habitude et là :- Comment tu veux que je m’habille demain, mon beau Freddy? Lança Monica plus aguichante que jamais.- Heu ! Je ne sais pas, tu me …Heu…O.k, pull moulant décolleté, jupe et, string ! Et je plongeais dans son regard vert.Ma belle stagiaire me défigura un instant puis me lança :- Whahhh ! La jupe tu la veux moulante, tu ne m’as pas dit, et le string, quelle couleur ?- Je te laisse le soin de choisir, à mon avis je ne serais pas déçu. Dis-je en m’approchant de sa bouche.Monica approcha ses lèvres des miennes, nous nous effleurons un bref instant.- Bon, on verra ça demain. Soufflais-je en me reculant doucement. On a du boulot !- Il va falloir que je me rase les jambes et… le reste…Elle laissa ça phrase en suspend puis ajouta. Si tu veux que je me mette en jupe !Elle était comme beaucoup de fille de son âge, une adepte du sexe rasé, ce qui n’était pas mon cas et que je m’empressais de lui confier :- Ne me dis pas que tu te rases complètement ?- Ben si …Je garde juste une petite bande de poil au dessus du minou… C’est ce que mon copain préfère. Puis en promenant un doigt sur ma cuisse elle minauda. Pourquoi tu n’aimes pas ?Alors je me lançais dans un long monologue, sur le fait que je déplorais ce phénomène de mode. Que mes goûts allaient plutôt vers les femmes qui avaient des pubis bien taillés. Épilées juste le maillot.Je plongeais en apnée dans ses yeux verts un long moment, elle me souriait, alluma une cigarette et en soufflant la fumée vers moi :- Tu n’as jamais léché une chatte rasée ? A mon avis tu loupes quelque chose. Et elle reprit. La mienne est très douce et toute lisse quand elle est rasée.Elle avait dit ça le plus naturellement du monde. Bien sûr cette conversation m’avait un peu échauffé et j’étais en érection.Entre deux clients, (Bah oui, on bossait quand même un peu), nous jouions à un petit jeu qui consistait à se poser des questions mutuellement et à y répondre sincèrement.Comme vous devez vous en douter, les questions étaient plus qu’érotiques et parfois, franchement hards : “ Quelle est ta position préférée ? Aime tu la sodomie et si oui l’as-tu fait souvent ? As-tu déjà eu des relations à plusieurs ? Après le stage veux-tu que l’on se revoie ?”Cette dernière question, c’était moi qui le lui avais posée. Qu’est ce qui m’arrive ? Cette fille m’avait envoûté ?Une longue lutte entre le bien et le mal se déclencha dans mon esprit: “Et ta femme, tu y penses ? T’es marié mon vieux Fred ! Et son âge ? Elle pourrait être ta fille !”“N’écoutes pas ces conneries ! Vas’y, elle est trop belle ! Dis pas le contraire, tu bandes pour elle !”“STOP ! ASSEZ ! On verra bien !J’avais envoyé promener mentalement ma conscience. Et je retrouvais le calme dans ma tête, enfin, pour un moment.Elle ne répondit pas tout de suite. Elle prit une barre chocolatée de son sac et, en me fixant droit dans les yeux, entreprit de mimer une fellation. De voir Monica enroulée sa langue et faire monter et descendre sa bouche avec des bruits de succion sur la friandise, j’avais l’impression que tout mon sang convergeait vers mon sexe.- Arrête ça tout de suite ! Dis-je un peu gêné.- Sinon quoi ? Fait-elle en promenant sa langue sur la barre.- Sinon je vais te violer !- Hummm… Ça ne serait pas un viol à mon avis. Gémit-elle en se trémoussant sur son siège. Oh oui… Prends moi !- Mais tu es une vraie salope !- Tu en doutais ?Je me contentais de sourire et ne répondis pas. Monica me fixait d’un drôle d’air, termina sa barre au chocolat et se passa la langue sur les lèvres. Si elle avait eu l’intention de me rendre dingue, elle ne s’y serait pas prise autrement.Un peu de chocolat lui restait aux commissures des lèvres, je le lui dis en me moquant gentiment et avec un air de défit dans le regard, elle me demanda de lui retirer.J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais avec ma langue le chocolat fondu. Elle ferma les yeux, un léger frissons la parcouru et elle me souri à son tour.Enfin, elle m’avoua qu’elle me trouvait super sympa, beau gars, et que oui, elle apprécierait beaucoup que l’on se revoie. Mais qu’elle ne me connaissait pas encore très bien et qu’elle comptait sur la journée de demain pour approfondir le sujet. Bien sûr je me gardais bien de lui demander ce qu’elle entendait par“approfondir”. Et comme disaient les Romains : “Alea jacta est”.Je me garais devant la maison de ses grands-parents. Monica s’étira longuement comme un chat. Bailla à s’en décrocher la mâchoire. Me fait la bise et me souhaita une bonne nuit. Je la regardais descendre de la voiture puis :- Monica !- Oui, Freddy ?- Je veux un vrai baiser ! Dis-je en m’avançant.- Pourquoi faire ? Elle avait dit ça d’un ton ! J’hallucinais, cette fille m’avait littéralement allumé toute la journée et je lui demande un baiser, elle me rejette !- O.k, laisse tomber, bonne nuit !Sur ce, je passe la marche arrière, vexé. Monica se pencha vers moi et en étouffant un bâillement :- Excuses-moi, je suis crevée, je n’ais qu’une envie, c’est de me retrouver dans mon lit.Ma belle stagiaire posa ses lèvres sur les miennes, me chuchota qu’elle avait hâte d’être à demain, me re-souhaita une bonne nuit et se dirigea vers la porte d’entrée.Moi aussi j’avais hâte d’être à demain ! J’allais enfin savoir si ce n’était qu’une petite allumeuse ou si elle allait tenir ses “ engagements”.- Fred…Chéri…Réveille toi ! Me lança une voix qui me secouait l’épaule.- Qu’est ce que…Quel jour somme nous ?- Jeudi, mon chéri…Et il fait très beau. Dépêches-toi ou tu vas être en retard. Me dit ma femme en ouvrant les volets. Je t’ai préparé ton café. Allez, courage !Mon épouse me déposa un baiser sur les lèvres et partit travailler sur un “à ce soir” habituelle.Le jeudi matin commençait assez mal, un long briefing suivi d’une longue réprimande. Il faut croire que je n’étais pas le seul à ralentir la cadence côté travail et que notre directeur allait prendre des mesures disciplinaires.En plus c’était une journée de dingue avec en perspective une tonne de travail.Les stagiaires étaient comme à leur habitude à la machine à café et échangeaient leurs opinions sur nous, les commerciaux. Steph, un de mes collègue, en voyant Monica, lança à la cantonade que ça serait plus enrichissant pour le stage que nous nous échangions les stagiaires et que bien sûr Monica irait avec lui.La réponse fusa :- Ah non ! Moi je veux garder mon Freddy ! Fait ma belle en se levant.- TON Freddy ? Reprit mon collègue estomaqué.- Oui ! MON Freddy ! Fait-elle en me prenant par le bras.Je regardais le pauvre Steph et levait mes deux bras comme pour lui dire : “ Qu’est ce que tu veux ? Elle a fait son choix !”.Il me lança un regard noir et partit. En fait je le comprenais. Monica était super sexy. Sexy ? Non, excitante, oui ! Elle portait un T-shirt orange très décolleté qui mettait en valeur ses seins dont les pointes se dessinaient sous le tissu. Une longue jupe marron en mousseline semblait sculptée sur elle. Elle était chaussée de mules à talons assortis au T-shirt.Ses longs cheveux descendaient en une tresse sur sa nuque, ce qui ajoutait à son charme.Elle était éblouissante.Le dernier café avalé, je lui dis qu’il était temps de partir car une longue journée nous attendait. Elle passa devant moi et je ne pus résister à l’envie de reluquer ses fesses, (on est romantique ou on ne l’est pas !), sa jupe lui moulait son beau postérieur superbement mis en valeur par un string que l’on devinait.J’en avais des picotis dans la colonne vertébrale.Je la rattrapais, la pris par la taille, laissa ma main glisser entre ses fesses et d’une légère pression des doigts, je lui touchais le sexe.La réaction ne se fit pas attendre, elle virevolta sur ses talons et me décocha une mémorable paire de claques. (Non je plaisante !!!! Ca vous aurait plus ? Ce n’est pas gentil!)Elle gloussa et, me dit que ce n’était pas raisonnable, que quelqu’un pourrait nous voir. Je lui répondis que je m’en moquais complètement et, qu’elle était trop excitante. Pour toute réponse Monica me gratifia d’un sourire qui en disait long sur ses intentions.Le premier client de la journée habitait au onzième étage de sa résidence. La cabine de l’ascenseur était vraiment très étroite si bien que nous étions collés l’un à l’autre. Ma belle italienne était devant moi, ses fesses soudées à moi. Le tissu de sa jupe était si fin que je sentais la chaleur de son corps. Elle ne pouvait pas ignorer mon érection. Nous restions comme ça un moment.Imbriquer contre moi, elle commença un ballet frénétique de ses reins en se frottant à moi. Je l’embrassais dans le coup, elle sentait bon et, son parfum accentua mon excitation. Par jeu, je passait une main sous son T-shirt et, posais mes mains en coupe sous ses seins lourds effleurant du bout des doigts les pointes dressées. Je jouais depuis quelques minutes avec ses mamelons, quand l’ascenseur s’immobilisa et, que les portes s’ouvrirent sur Mr DURANT qui nous attendait dans le couloir.Heureusement, c’était un vieux monsieur et, il ne voyait certainement plus très bien, mais bon, quand même !Sur sa proposition, nous rentrions chez lui. Il était propriétaire d’un charmant F4, meublé avec goût et, savamment décoré, mélangeant l’ancien et l’exotique.Je demandait à Monica de lui présenter le catalogue pour qu’il puisse faire sa commande, se qu’elle fit avec un sourire engageant.Mr DURAND nous proposa un petit coin de table dans sa salle à manger. La table visiblement faisait office de bureau et, était pas mal encombrée par toute sorte de choses. Le client ne nous convia pas de nous asseoir et, nous en étions réduit à rester debout.J’étais en retrait, laissant à ma stagiaire le contrôle des opérations. Elle se tenait devant moi. Penchée sur le catalogue face à mon client. Client qui devenait de plus en esenyurt escort plus cramoisi et, je compris la cause quand, me déplaçant de deux pas de côté, je vis ce vieux monsieur, les yeux plongeant dans le décolleté de Monica. Il devait avoir une sacrée vu le coquin !Il nous manquait un document. Je retournais à la voiture et, revenais un instant plus tard. La belle se tenait dans la même position et, en m’approchant derrière elle, je pouvais nettement voir un mini string léopard qui sortait de sa jupe. En fait le string en question tenait par un cordon sur les hanches et, était réduit en un petit triangle qui s’incrustait dans le sillon fessier. Je découvrais également un petit papillon, tatoué sur ses reins. (Tiens ma belle tu m’avais caché ça ! Et que me caches tu encore ?)Cette vision m’envoya dans les artères, une bonne décharge d’adrénaline !Je pris place à coté de Monica et, lui remis le document. Sa hanche se colla à moi. Envahi par une irrésistible pulsion sexuelle, je passais une main sur ses fesses. D’un rapide coup d’œil je vis le client, toujours absorbé par la commande ou par le décolleté de ma belle… Ma main glissa le long de la jupe puis s’insinua en dessous.L’escalade commença. La chaleur et la douceur de sa peau m’envoyèrent une décharge électrique. Enfin j’arrivais à l’objet de ma convoitise. Je restais un moment, en haut de sa cuisse, la main dans la fourche de ses jambes. Je n’osais plus bouger. Je ne respirais plus. J’attendais. Je profitais du moment le cœur cognant dans ma poitrine. J’attendais une réaction, un geste, un regard qui m’aurais remis à ma place.On ne savait jamais avec ma belle, la réaction qu’elle pouvait avoir. Elle était capable d’attiser le feu qui brûle en vous en devenant une vraie femelle en chaleur, comme d’un seul regard à geler une banquise vous remettre à votre place. Lunatique, c’est le mot qui lui convient.Pas la moindre réaction, Monica continuait de négocier avec le client comme si rien ne se passait sous sa jupe. Profitant d’un moment d’inattention du vieux monsieur, elle me déposa un baiser sur les lèvres. Un baiser si léger et, si rapide que je cru l’avoir rêver !Nouveau coup d’œil sur le client qui n’avait rien vu. Je repris mes investigations là ou je les avais laissées. Je caressais sa petite chatte à travers le tissus arachnéen, si fin que je pouvais suivre avec mon doigt le relief de son sexe. Ce touché envoya à mon cerveau une image très précise des trésors pas encore dévoilés de ma belle stagiaire.Mon doigt passait maintenant sous le string. C’était chaud, humide et, lisse comme un galet. Climat tropical ! Je glisse sur ce sexe glabre. Douce sensation ! Je suis du bout du doigt ses lèvres, écarte un peu les chairs, poursuit mon chemin, trouve le clitoris, dis bonjour, m’amuse un peu, le titille, le pince légèrement, le fais rouler.Gémissement de la belle : “ mmmhh !”(On est sensible hein ?)- Vous ne vous sentez pas bien mademoiselle ? S’enquit Mr DURAND.- Je pense qu’elle a dû prendre froid ! Dis-je en volant au secours de Monica.Aussitôt, je retirais ma veste et couvris les épaules de ma stagiaire. Ce geste galant n’échappa pas à mon client qui approuva d’un signe de tête.- Evidemment, elle n’a pas grand chose sur le dos la petite ! Dis le vieux monsieur, un peu hypocrite. – Qu’est-ce que vous voulez, c’est les jeunes de maintenant ! Dis-je en replaçant ma main, atteignant un sexe inondé.Imperceptiblement, pour ne pas éveiller les soupçons, elle donnait à ses reins un mouvement de balancier, d’avant en arrière. Elle envoya une de ses mains à la recherche de mon sexe, le trouva, tout comprimé dans mon pantalon et, entrepris un long massage du plat de la main.Une situation hautement érotique, comme je les aime. Au nez et, à la barbe du vieux monsieur.Je laissais un moment son bouton d’amour pour enfoncer un majeur tout entier dans sa chatte. Elle écarta ses jambes pour me faciliter le travail. Je restais à nouveau comme ça, immobile, aux aguets.La veste sur les épaules de Monica ne cachait en rien sa poitrine et, à force de reluquer ses seins, mon client avait de plus en plus de mal à avaler sa salive ! Et, avec de drôles de gargouillis, suivis d’une belle quinte de toux, il s’excusa et, fila dans la salle de bain.Le champ étant libre, plus rien ne nous retenait ! Mais il fallait faire vite, il n’en avait certainement pas pour bien longtemps !Déchaînés, nos bouches se cherchèrent, nos langues s’entremêlèrent. Je lui glissais un deuxième doigt puis un troisième dans sa vulve trempée. Nouveaux mouvements du bassin mais plus violents. Elle venait au devant de mes doigts qui la fouillaient maintenant sans ménagement. De mon pouce je lui titillais l’anus puis d’un coup lui enfonçais dans le rectum.Par jeu, je lui mis ma langue dans l’oreille, ce qui sembla l’exciter davantage !- Ohhh ! Continue, surtout ne t’arrêtes pas ! Chuchota Monica d’une petite voix déformée par l’excitation.- Tu aimes ça, ma belle ? – Ohhh, Oui ! Que ta main me…Hummm…Déchire de plaisir !- T’es une belle cochonne ! Dis-je en reprenant mon ballet de la pointe de ma langue dans son oreille.Sa cyprine coulait sur ma main. Mes doigts glissaient en elle. Elle venait s’empaler régulièrement, sodomisé par mon pouce. Je passait mon autre main sous son t-shirt, lui pris un sein et, lui pinça le mamelon devenu sensible. Elle se tenait à la table de ses deux mains. Monica rejeta sa tête en arrière.- Je…Je vais jouir !- Viens, jouis ma salope !- Oh oui, je suis ta salope… Ta chienne… Mhhhh… C’est… boooon …Je jouiiiiis.Une langue aventureuse venait à la rencontre de la mienne, puis son corps se raidit, sa respiration s’accéléra et, elle du se mordre le poing pour ne pas crier.Ma belle stagiaire cuva un instant son orgasme, les yeux fermés. Elle me sourit.- Merci, c’était extra !- Je suis content que tu aies apprécié !- Oui mais…Et toi dans tout ça ?- Je me ratt****rais plus tard. Lui dis-je en l’embrassantCa n’avait pris que quelques minutes tellement elle était excitée. Elle me confia que l’intermède de l’ascenseur l’avait mise en appétit mais que c’est surtout la situation devant le client qui l’avait fait mouillée son string !J’étais dans un état ! Mon pénis me faisait mal ! Trop serré dans mon pantalon !Mr DURAND est revenu, il se replaça face à Monica. Il replongea immédiatement dans le décolleté de ma stagiaire. Un détail ne lui échappa pas, on pouvait nettement voir les pointes de ses seins saillir encore plus sous le t-shirt.Je ne pense pas qu’il ai été dupe et, j’en eu la confirmation quand nous lui avons dis au revoir. La commande en main, nous l’avons salué chacun notre tour. Il m’adressa un clin d’œil complice et, m’assena une claque dans le dos.- Sacré Fred va ! Fait-il goguenard.A peine les portes de l’ascenseur refermées, nous nous sommes collés l’un à l’autre. Je me suis jeté sur sa bouche et, nos langues entrèrent en communion. Mes mains caressaient ses seins, les palpaient, jouaient avec les mamelons qui durcissaient à vu d’œil. Monica s’attaqua à ma braguette pour en extraire mon sexe et je stoppais son geste :- Attends, pas ici !J’appuyais sur le bouton du sous-sol, au moins on serait plus tranquille. Je savais que personne ne viendrait.Nous nous sommes retrouvés dans les caves. Je pris ma belle par la main et l’emmenais dans un enclos discret. Je la positionnais dos au mur. Je mis un genou à terre. Je lui ai soulevé sa jupe jusqu’à la taille, écarté son string et, je lui ai fourré ma langue dans sa chatte“ manu militari” !Bon sang que c’était bon ! Ma langue allait et venait dans sa chatte. Je la buvais. Du miel ! Un nectar ! Un pur délice ! J’en avais envie depuis la première fois que je l’ai vu.Je ne voulais pas la prendre là, maintenant. Je voulais faire durer l’attente, le moment ou je m’introduirais en elle. L’instant ultime où je m’abandonnerais dans l’un de ses orifices. Mais pour l’instant je souhaitais par-dessus tout qu’elle jouisse dans ma bouche ce qui ne tarda pas :- Oh Freddy, tu me fais…Mourir, je…Mhhh, c’est bon ! Oui là ! Ohhhhh !Les mains crochetées dans ses fesses rebondies, j’aspirais, je tirais, je mordillais son clitoris, ce qui déclencha le bouquet final.- Wahhh… Arrêtes…Non, continues…Oui, comme ça….Ouiiii ! Ahhhhhh !Elle planta ses griffes d’abord dans mon coup, puis pour finir, du bout des ongles me caressa la nuque.Ses jambes ne la portaient plus et, nous nous sommes retrouvés tout les deux sur le sol. Je la pris dans mes bras tendrement. Elle était plus que belle, elle irradiait de bonheur !Nous étions enlacés depuis un moment.- O.k, mais toi, tu restes sur ta faim ! Puis, me saisissant la queue à travers le tissu.- Une grosse faim même, attend, je vais arranger ça ! Dit-elle en tirant sur la braguette de mon pantalon.Monica sortit ma virilité de mon boxer, puis plongea dessus la bouche en avant. C’était trop bon ! Sur le coup je crus que j’allais exploser. Elle s’appliquait, creusait les joues, me pompait comme si sa vie en dépendait. Motivée ? Elle l’était sans conteste !Super excité comme je l’étais, à la cadence là, je n’allais pas tenir longtemps. Je sentais venir les picotements annonciateurs du plaisir. Ne voulant pas éjaculer dans sa bouche, je la repoussais gentiment. Elle ne l’entendait pas de cette oreille et, soudée à moi comme une sangsue, elle m’aspirait de plus belle. Elle reçu ma semence bien profond dans la gorge. Je me retirais de cette bouche accueillante. Monica me lécha jusqu’à la dernière goûte avec une mine de chatte gourmande. Exquis ! Bon sang, ça fait du bien !- Tu suces comme une reine ma belle !- Je sais, c’est ce que mon copain me dit tout le temps !- Non, mais je veux dire vraiment très bien !- Merci du compliment, mais non seulement je peux, mais je veux faire mieux !On avait pris du retard et il fallait le ratt****r. Sur cette belle promesse nous nous sommes remis au travail, soulagés ! Heureux ! Amoureux ?L’heure du déjeuné approchant, je reçu un appel d’un collègue qui nous proposait de rejoindre les autres pour manger un kebab. Aussitôt raccroché, j’en fais part à Monica qui de ce fait téléphone à son copain pour le décommander. Il le prend mal, le ton monte, il est question de jalousie, de manque de confiance. Ne reniant pas ses origines, ma belle italienne parlait fort et faisait de grands moulinets avec ses mains pour finir par lui raccrocher au nez.Elle s’excusa et me demanda de l’emmener chez lui. Devant ma avrupa yakası escort déception, elle me dit qu’elle voulait calmer le jeu et, éviter les complications avec son petit ami. Elle ajouta que ce soir elle saurait se faire pardonner si j’avais la patience d’attendre jusque là.Ah les femmes ! Je ne les comprendrais jamais tout à fait !Bien sûr que j’attendrais ! J’avais entamé les hors d’œuvres et je voulais poursuivre le menu !Il était convenue que j’aille la chercher le soir chez ses grands-parents, ce que j’ai fais. Ma belle stagiaire m’attendait en fumant une cigarette, nerveusement.J’ai vu tout de suite que l’humeur n’était pas au beau fixe. Elle m’apprit qu’ils s’étaient disputés terriblement et, qu’elle me donnait raison quand j’affirmais que son copain ne la méritait pas. Et, que comme je le pensais, son petit ami restait avec elle uniquement pour le sexe. Je ne prenais pas ses paroles pour argent comptant car manifestement elle était sous l’effet de la colère. Je savais qu’elle l’aimait quand même, mais bon, pour moi il resterait un blaireau !Il ne savait pas la chance qu’il avait. Quand on a une femme comme ça, on s’en occupe !Quand je pense que pour la Saint-Valentin il ne lui avait rien offert… Mais par contre il s’était acheté un accessoire hors de prix pour sa moto !Bref, ma stagiaire ne parlait que pour des choses professionnelles et, n’a pas desserrée les dents de toute la soirée. L’humeur n’était plus à la bagatelle !De retour à l’établissement, Monica semblait de meilleure composition. Elle s’inquiéta de savoir si je pouvais la raccompagner une fois de plus chez ses grands-parents. Je lui ai répondu que ça ne posait pas de problème mais que je n’avais pas fini mon rapport. Elle avait tout le temps, elle attendrait, c’est du moins ce qu’elle laissait entendre.Ah oui ? Tant mieux, j’ai tout mon temps moi aussi !(Tu ne perds rien pour attendre.)C’était la première fois qu’elle montait dans ma voiture perso. Monica me demanda si on pouvait mettre de la musique et devant mon autorisation, commença à fouiller dans la boîte à gants. Elle trouva ce qu’elle cherchait, mit le C.D en place et aussitôt la voix de Mylène FARMER s’éleva dans l’habitacle.Ma belle frissonna et, me fit comprendre qu’elle avait un peu froid. J’appuyais sur un bouton et, presque immédiatement une douce chaleur nous envahie dans le dos et les reins.Je roulais depuis un moment, les yeux rivés à la route, Monica ne parlait pas, regardant devant elle, l’autoroute qui défilait. Quand en s’étirant elle susurra :- Humm…Je suis bien, la musique, les sièges chauffants…Je n’ai pas envie de rentrer. Allez viens, on continue notre route. Oh… Freddy… soyons fous !- Ne me tente pas tu sais, j’en serait capable !- Et ta femme, tu lui dirais quoi à ta femme ?A un concourt de garces, elle aurait finie première.- Écoutes, j’irais ou tu veux avec toi, mais tu as raison ça ne serait pas raisonnable !Un vrai supplice de tantale. C’est vrai qu’à un moment j’ai failli ne pas mettre mon clignotant et volontairement rater la sortie. On était bien et, il y a des moments où on n’a pas envie de rentrer, juste rouler, rouler pour le plaisir, rouler, ne plus s’arrêter, retarder l’instant ou l’on se quitterait. Mais bon, comme je le disais, ça ne serait pas raisonnable. Et c’est presque à contre cœur que j’ai pris la bretelle de sortie. Nous arrivions prés de la route qui menait à la maison des grands-parents. Je la connaissais bien cette route pour l’avoir de nombreuses fois empruntée. J’allais négocier un virage quand :- Arrêtes-toi là s’il te plait, je connais un coin très sympa ou la vue est magnifique ! Me dit ma belle italienne en sursautant et, en me montrant l’endroit désigné, du doigt.J’obéis stoïque, et coupais le moteur sur une placette qui, il est vrai, possédait une vue superbe. Monica actionna l’ouverture du toit ouvrant et, le panneau s’ouvrit avec un bruit sourd, laissant voir le ciel étoilé. Ma belle retira ses tennis et, se mit debout sur son siège. Prenant appuie sur ses coudes, de la tête au buste elle était dehors, contemplant les étoiles, le menton relevé.Profitant de la situation, qu’elle avait si bien orchestrée, je lui caressais les jambes, d’abord timidement, puis de plus en plus franchement. Elle ne se déroba pas à mes caresses, bien au contraire et, se mit à onduler du bassin. M’enhardissant je baissais la fermeture de sa jupe et, Monica, d’un mouvement de hanche, l’aida à descendre. D’un coup de pied, elle l’envoya sur le tapis. Je me reculais un peu, comme un artiste devant son œuvre. Je me régalais de ses hanches en amphore. Mes yeux n’en finissaient plus de se gaver de ces courbes chaudes et sensuelles, révélées par la clarté de la lune. D’une lenteur calculée, je faisais glisser son string le long de ses jambes.J’avais devant moi ce cul magnifique que je voyais nu pour la première fois. Je pris ses fesses à pleines mains et, entrepris de déposer pleins de baisers. Automatiquement Monica se cambra un peu pour m’inciter à être plus entreprenant. Je passais ma langue dans sa raie cuillère et, la léchais tout le long jusqu’à son sexe inondé. Un coup de langue sur son bouton d’amour encapuchonné puis, je revenais sur son œillet.- Humm, gémit elle. C’est bon…Ohhh !- T’aimes ça que l’on te lèche le cul ma cochonne ? Demandais-je.- Humm, oui. J’adore ça mon salaud ! Répondit-elle.J’écartais ses belles fesses et lui administrais “une feuille de rose” dans les règles de l’art. Son anneau d’abord récalcitrant, s’ouvrit un peu à mes caresses et, du bout de ma langue je le sentais palpiter. Bien sûr je n’oubliais pas son minou et, je lui introduis deux doigts inquisiteurs pour lui donner à lécher. Elle avala goulûment sa propre liqueur avec des petits bruits de succion.Ma belle stagiaire se servait de ma langue comme objet de son fantasme. Elle me présentait, tour à tour, un coup son sexe, un coup son petit trou, dans un ballet frénétique de ses reins. A un moment je sentis un de ses doigts venir à ma rencontre. Ma belle ne restait pas inactive et, malmenait son clitoris furieusement.L’estocade finale fût pour Monica, l’apothéose, l’allée simple pour le nirvana ou l’on ne revient jamais plus comme avant. Son corps fût prit d’une sorte d’épilepsie et, hurla sa jouissance comme un a****l. Elle resta un moment inerte, toujours à moitié dehors puis, elle se laissa tomber à côté de moi. Elle me souriait et, me prit la main.- C’était bon. Dit-elle simplement. Attends, ferme les yeux et ne triche pas !Un moment nous étions pris dans le faisceau des phares d’une voiture. Nous n’osions plus bouger, peur q’un opportun vienne troubler nos ébats. La voiture descendait la route et disparue, avalée par la nuit. Qu’avait-il vu ? Un couple enlacé qui, romantique, profite du beau panorama, c’est tout !J’obéis à cette superbe femelle pourvue d’imagination et, après l’avoir embrassée, je fermais les yeux. Comme dans un rêve, je sentis une main audacieuse, tirer sur ma braguette et, extirper mon pénis bandé comme un arc. Une sensation étrange ou plutôt inconnue m’envahie, une douceur légère comme la soie. Voulant connaître à tout pris de quoi venait cette caresse, j’ouvris les yeux et, vis ma belle italienne, enrouler une longue mèche de ses cheveux autour de mon sexe. Elle faisait aller et venir mon vît dans ce fourreau soyeux tandis que sa langue s’activait sur mon gland. C’était…Unique ! Ma belle déroula sa mèche en tirant dessus et, maintenant sa bouche montait et descendait à toute vitesse le long de ma hampe pour revenir à un rythme plus calme. De temps en temps sa langue venait lécher mes testicules pour s’aventurer timidement sur mon anus. Ne voulant pas jouir comme ça, je la repoussais gentiment et proposais que l’on occupe la banquette arrière. Il y aurait plus de place.Elle prit un préservatif, déchira l’emballage avec les dents et, le mit encore enroulé dans sa bouche pour me le placer sans l’aide de ses mains. Elle voulait finir sa prestation jusqu’au bout !Ma belle salope savait faire des choses à 22 ans que beaucoup ne connaissait pas à 40.Nous nous retrouvions à l’arrière de la voiture. J’étais assis et, Monica, de face, me saisissant le sexe, s’empala dessus avec un petit grognement. Elle montait et descendait avec la cadence d’un métronome, très attentive à ses propres sensations. Je palpais ses fesses bien fermes et, lui introduis un majeur dans l’anus. Elle dodelinait de la tête et, parfois, ses cheveux couvraient en partie ma poitrine.Les chiffres ! Le briefing ! N’importe quoi ! Pour me déconcentrer un instant, je ne voulais pas partir maintenant. Penser à autre chose ! Oui ! o.k ! Va pour la vieille comptable. Ouf, ça marchait, mon excitation descendait de deux crans. Je voulais profiter de ma belle latine le plus longtemps possible et, je savais par expérience que si j’arrivais à me retenir une fois, après il n’y aurait plus de problèmes.Je me suis retiré pour la prendre autrement sous l’œil réprobateur de la belle qui s’inquiétait. D’un sourire je la rassurais et, la plaçais à quatre pattes. Je pris position derrière elle et me suis introduis dans ce sexe, Ô combien accueillant. Je m’appliquais à la prendre lentement, m’enfonçant chaque fois le plus loin possible. Monica haletait, ses ongles crissaient contre le cuir de la banquette.A d’infimes contractions de mon sexe fiché dans le sien, elle devina que je n’allais pas tenir très longtemps.- Attends, gémit-elle, prends mes fesses !Elle envoya une main en arrière, saisit mon pénis et, d’un geste précis, l’amena au contact de l’ouverture de ses reins. Geste audacieux qui me combla de joie.Enfin je forçais son œillet qui m’affolait. J’allais et venais dans les reins de cette superbe salope.Je me retirais et l’emmanchais avec encore plus de v******e. Mes mains crochetées dans ses hanches, je la sodomisais avec véhémence en une chevauchée frénétique. Je possédais cette croupe qui m’affolait. Nous étions en sueur, ma chemise collait à mon dos comme une seconde peau. Dans le silence de la nuit on entendait que mes cuisses qui claquaient contre ses fesses. Son cul allait à ma rencontre, elle en redemandait et, moi je lui en donnais. De voir mon sexe entrer et sortir de son anus, chauffé à blanc, je sentais la sève monter de mes reins et, sans pouvoir me retenir j’hurlai comme un a****l sauvage. Le cri rauque de Monica me fit écho, elle avait joui en même temps que moi. Nous restions immobiles, extasiés, tremblant encore de plaisir. La tête de ma belle reposait sur mon torse et, distraitement je caressais ses cheveux. Monica s’endormait dans mes bras. Elle était belle ! J’étais bien ! J’aurais voulu que cet instant ne finisse jamais. Épuisé par le corps à corps torride, je tombais à mon tour dans les bras de Morphée.

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