Luce a ZombieLand – 9

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Luce a ZombieLand – 9Se remplir la panse et les yeuxMains sur leurs épaules j’avançais en traînant les pieds dans de l’eau jusqu’aux cuisses comme si j’étais une rescapée d’une catastrophe maritime. Mes jambes étaient toutes molles et me supportait à peine, je faisais de gros efforts pour mettre un pied devant l’autre en sentant mes seins se balancer. Heureusement que les filles me soutenaient. Je sentais mon anus rester ouvert, mon sexe gonfler, mes mamelons m’élancer et mon corps était parcouru de longs frissons plutôt agréables. J’avais l’impression de sortir d’une séance de massage érotique des plus épuisante, mais apaisante ou d’une baise un peu trop torride. Et j’aimais sentir leur corps doux et chaud contre moi. Hum ! « Je rêve » me dis-je encore une fois, un tel endroit ne peut pas exister !On sortit de la pièce sombre par une porte comme on en voie dans les sous-marins. Elle était restée ouverte et une brume épaisse s’y engouffrait lentement flottant sur l’eau. 2 passa la première et m’encouragea à lever les pieds pour sortir tandis qu’elle me tenait par les bras. On prit ensuite un couloir à droite tout aussi inonder. Ont marchait dans de l’eau rougeâtre cette fois, un peut comme du vin et il y avait tellement de brume maintenant qu’on n’y voyait rien a deux pas sauf sous l’eau, je voyais bien nos cuisses et nos pieds tout blancs qui se démarquait nettement de l’eau colorer.— 10, soupirai-je tête basse, mes cheveux mouiller traînant sur mon visage. Mais voix rauque n’était qu’un murmure.— Non, moi c’est 1 et elle 2, tu te rappelles.— Je croix que j’en suis a 10 orgasmes les filles ou pas loin.Je les entendis rire au travers du clapotis de nos pas dans l’eau tandis que ma cervelle flottait quelque part, ailleurs…— Oh ! Fit 2, tu vas battre un record Luce.— 17, marmonnais-je.— 10 ou 17 ? Demanda 1 morte de rire.— 17, c’est mon record avec mon vibro.Elles rirent de plus belle et moi j’avouais ça sans gêne et sans vraiment réfléchir. Je planais totalement. Et pourquoi je leur disais ça ? Je ne les connaissais même pas. Je ne savais plus, ça sortait tout seul.— Moi c’est 7 avec un bon joint. Dit 2— Moi 12 je pense, fit 1, j’étais pas mal saoule. En tout cas j’ai usé les piles.Et encore des rires. On arriva devant un petit escalier de 3 marches qui menait à deux grandes portes avec chacune un hublot ovale à hauteur du visage tout tacher de faux sang brunâtre. Un des hublots était fracassé ! Des portes battantes qu’on passa pour se retrouver dans une pièce au sec, ça faisait du bien au pied ! C’était éclairer au néon jaunâtre et clignotant, une vaste cuisine de restaurant, une imitation plutôt. C’était dévasté, comme s’il y avait eu un massacre ici aussi, tout était arraché et renversé; taches de sang sécher, impacts de balles, bruits ambiants, mais pas de cadavres. Il y avait des tas d’objets sur le sol, rien de dangereux pour les pieds, des chaises, des bancs, mais quelques doigts couper en plastique, des mains, des yeux et même des cervelles, des fausses évidemment. Sur une grande table en inox il y avait de faux restes de repas. broîte de pizza, assiette cartonnée, etc. Je vis au fond un énorme frigo en inox aussi et plus loin une cuisinière a gaz géante. Je me mis à saliver encore et mon ventre gargouillait à la vue du réfrigérateur. Au centre de la cuisine il y avait une grande chaise avec un dossier incliner et un support pour les pieds, comme une chaise de barbier ou de dentiste mais toute noire fait de grillage qui me parus de métal. Mais je m’aperçut une fois tout prêt que le grillage pour s’y asseoir était fait de caoutchouc. Elle mit installèrent, je m’y laisser tomber sans force, c’était très confortable et j’étais si épuisé que je ne réagis même pas quant j’aperçus qu’il y avait des sangles en caoutchouc pour les poignets et qu’elles me les attachait. Je ne regarder même pas tellement je me sentais vaseuse après tous ses orgasmes.« Allez y, » me dis-je en souriant, « encore des orgasmes ! »— On va te nourrir, c’est tout, repose toi Luce ! Affirma 1 en repoussant ses longs cheveux blonds derrière ses oreilles.Je ne demandais pas mieux que de me faire servir. Je n’avais plus d’énergie et le fauteuil était vraiment confortable. Je m’y serais même endormi facilement !— Mais t’endors pas Luce ! Fit 2 en allant prendre de grosse lunette de vision nocturne dans une armoire, comme celle que l’ on voit au cinéma, pour revenir me les mettre sur la tête. Détend toi, miss orgasme a répétition.La lumière s’éteignit aussitôt. Le noir absolu, je ne voyais même plus les filles. Elles me placèrent les lunettes devant les yeux, elle était beaucoup plus légère que je l’imaginais, et elles appuyèrent sur un bouton et je vis tout en verre sombre, vert bouteille ! C’était comme quand le tueur psychopathe poursuit Clarisses dans une cave dans le film (Le silence des agneaux ). Le corps nu des filles semblait luire d’une lueur spectrale verdâtre, et leurs yeux était luisants comme ceux des chats la nuit mais d’un blanc vert laiteux et très lumineux. — Wow ! Murmurai-je, ça vous rend sexy les filles !— Bon ! Luce tu nous voit bien ? Demanda 1.— Hum… Vous êtes pâlotte, mais vos yeux brillent !— Bien, dit 2, nous on n’y voit rien et je ne veux pas avoir les tibias pleins de bleus. Disons que c’est une douce vengeance envers nous parce qu’on t’a perdue.— Perdue mon oeil les filles.— Bon ! Bon ! Guide nous si tu veux manger, rajouta 1. Ne bouge pas, fait juste nous indiquer vers ou aller pour trouver le frigo.— Ok ! Mais…, je n’étais pas censé me reposer moi ?— Oui et manger, mais si tu n’as pas faim nous, on peut passer le temps hein 2, t’es ou ?— Ici, dit 2 levant les bras, 1 aussi, et elle se cherchait comme deux aveugles… Elles se touchèrent les mains, puis les bras et se rapprochèrent, s’enlacèrent et se frenchèrent avec force en se caressant les fesses, poitrine écraser l’une contre l’autre. Je déglutis en me sentant mouillé encore. Doux Jésus ! Avec ces lunettes j‘avais de nouveau l’impression d’être une voyeuse et je l’étais. Je trouvais le spectacle beau à voir, leurs reins courber, leur petite main sur les fesses ferme, les chanceuses. J’étais de nouveau excité ! Déjà ! Le petit lapin tatouer sur la fesse de 1 me sembla en 3D.— Seigneur, soupirais-je faiblement, amenez-moi de la bouffe et faites ça après…— Hum, fit 1, décollant sa bouche de celle de 2 tout en lui tapant les fesses, le frigidaire est ou Luce, par la ? Dit-elle levant un bras et le pointant vers le poêle.Je ris !— Non ! À droite… elles se tournèrent un peu et avancèrent pas à pas, prudemment en se tenant la main et l’autre bras tendu vers l’avant pour éviter les obstacles. C’était drôle à voir et troublant, deux filles nues se déplaçant dans le noir, enfin, le vert. Une boulotte et une mince, joli tableau. Wow ! Lunette à vision de nuit, j’adorais.— WAIS ! Tout droit les vicieuses. Attention y as une chaise juste devant !Elles contournèrent la chaise et avancèrent toujours avec prudence en tâtant du pied à chaque pas. J’en profitais pour admirer leur joli cul et le reste. 1 effoira un faux oeil et grimaça, 2 heurta une cervelle qui roula plus loin et marcha sur une main. — À gauche, c’est ça les filles juste devant, elles touchèrent le frigo à double porte et 1 ouvrit celle de droite.Il n’y avait pas grand-chose à l’intérieur sauf une tête dans un plat sur la tablette du haut et différente chose qui flottait dans des bocaux scellé dans de l’eau trouble. Pouash !!! Mon coeur s’emballa un petit peut, puis je souris en apercevant sur la tablette juste en dessous canlı bahis une canette de bière, un salami, des cubes de fromage dans un plat et rien d’autre apparemment. Quand même, je salivais et mon ventre criait famine. Il ne devait pas y avoir de lumière a l’intérieur 1 y cherchait les choses, évidemment elle tâta la tête en grimaçant pour me faire un spectacle sans doute. J’allais leur dire juste en dessous les filles quand 2 ouvrit l’autre porte. J’arrondis les yeux de surprise en apercevant un corps de femme nue, maigre, recroquevillé là et congelé, couvert de glace et qui regardait droit devant elle. On aurait juré un vrai cadavre surtout en vison de nuit. Seigneur ! — Luce n’a pas crié ! Commenta 2 en refermant la porte.— Non, dit 1, elle est désespérante cette cliente la ! Les autres hurlent à mort d’habitude. Trop d’orgasme sans doute.— WAIS ! WAIS, les comiques. Fi-je amuser. Amenez-moi la bouffe si non ! Gare à vos belles jambes.1 toucha la canette de bière importée qui faillit tomber par terre, mais la rattrapa de justesse et agrippa le salami. 2 l’assiette de fromage, et elle tâtonna encore.— Y as rien d’autre les filles, comme si vous ne le saviez pas hum !. Bon amener moi tout ça et faite attention si non je vous m’arrange pour que vos tibias soit couverts de bleus.Elle sourire en revenant a petit pas de souris mignonne comme tout. J’aimais pouvoir les observer à ma guise. C’était si étrange à voir avec ses lunettes ; leur jeune corps nu, leurs yeux qui scintillaient comme ceux des animaux qu’on croise la nuit en voiture, 2 avec ses seins mous qui se balançait délicieusement. Ce jeu de fou ne cessait de m’étonner tout en réalisant qu’elles m’avaient attaché les mains. Merde ! Elles allaient devoir me nourrir et j’avais l’impression qu’il y avait anguille sous roche. 2 toucha ma chaise et en fit le tour se plaçant a ma droite, elle avait l’assiette de fromage. 1 a ma gauche avec la bière dans une main et le salami recourber de l’autre. Je me regarder un instant avec mes gros seins blancs, mon ventre et ma toison verte. C’était vraiment étrange de me voir à travers ces lunettes. De voir mon corps meurtri, j’avais mal partout. J’en aurais sans doute pour des jours à me remettre de cet endroit, voir des semaines.— Quoi en premier ? Demanda 1 les yeux fixant le vide comme une véritable aveugle.— Une gorgée de bière je meurt de soif et t’en renverses pas ! Non, eh… du salami… Merde ! La bière d’abord.Elle fourra le salami entre ses cuisses en riant, contre sa vulve évidemment pour libérer sa main. Ça lui fit une imitation de bite qui ne me fit que saliver plus, tout en me disant que le salami allait goûter la vulve. Mais j’avais si faim que je m’en foutais royalement, elle aurait même pu se baiser avec que j’aurais mordu dedans quand même et à pleines dents. En souriant, elle décapsula la canette qui siffla et moussa un peu et chercha ma bouche avec sa main droite mais m’agrippa un sein tout en n’en profitant pour me le palper sans gêne. Sa petite main se perdait dans la masse de mon gros sein. Comme par hasard ! Elle aurait pu me prendre le bras ou l’épaule, mais non, un sein. Elle devait voir, ses pas possibles ! Je me doutais bien qu’elles allaient jouer à ça mais je n’en avais vraiment pas envie, même si sa petite main me chatouillait le mamelon à présent.— Plus haut, vicieuse !— Qu’est-ce quel fait encore ? Demanda 2.— Lâche mes boules et donne moi a boire 1, je meurs de soif, fis-je impatiente en agitant mes jambes.— Houps ! Fit-elle tout sourire et le pressant un peut plus tout en rajoutant : Ça me fait mouiller et ton salami va goûter bizarre. Hum… J’aime trop tes gros seins Luce, les miens son trop petit je trouve. 2 qui attendait, avec ses yeux qui allait et venait vers nulle part en particulier lui dit :— Les miens son trop gros 1, je t’en donnerais bien un peut !— Donne moi du fromage 2, sil te plaît. Pitié, vous n’êtes pas drôle les filles.— OK ! Lâcha-t-elle en posant sa main sur mon ventre et trouvant mon autre sein et le pressant elle aussi. Seigneur !C’était doux et agréable ses deux petites mains qui me les caressait si tendrement, mais mon ventre gargouillait trop fort, c’était embarrassant. J’avais trop faim et trop soif. Elle commençait à m’énerver sérieusement.— J‘ai soif, j’ai faim, je suis la cliente, nourrissez-moi les filles. C’est un ordre ! Pitié !— C’est un ordre/pitié. C’est drôle ça hein 2 ?— WAIS ! Imagine si les sergents instructeurs à l’armée disaient ça aux soldats. C’est un ordre/pitié, faite le les gars.Elles rirent sans cesser de me presser les seins. Merde ! Je recommençais à me tortiller en repliant les orteils.— Luce semble prête à faire n’importe quoi pour de la bouffe.— On dirait. On en profite ?— Hummm ! Non… elle fait trop pitié la pauvre.1 remonta sa main sur ma poitrine cherchant ma bouche, ça me chatouilla, elle toucha ma gorge, mon menton, puis mes lèvres tâtonnant en aveugle, elle approcha le goulot de la canette et en renversa sur mon menton, ça me coula entre les seins jusqu’au pubis en me donnant de sacrés frissons, mais elle fini par trouver ma bouche et versa lentement. Je bus avidement plusieurs gorgées de bière pétillante et amère. Quel plaisir, une vrai jouissance. Puis elle rabaissa la canette.Seigneur que c’était bon…— Fromage ! Dis-je une fois avaler.2 lâcha mon sein à son tour et trouva ma bouche à tâtons en me chatouillant les lèvres du bout des doigts et y glissa des carreaux de fromage. Un fromage doux au goût de fumé et de noisette qui se mariait bien avec la bière, blonde sans doute. 1 prit le salami d’entre ses cuisses et évidemment en frotta le bout arrondit entre ses grandes lèvres en sachant très bien que je la regardais faire, elle l’y entra même presque de moitié puis le tourna avant de le faire aller et venir dans son sexe en gémissant beaucoup trop. Seigneur ! — Elle ne fait pas ce que j’imagine ? Demanda 2 en fixant une armoire.Je dus avaler pour répondre.— Et oui.— Hum ! Fit 1 agace au possible. C’est génial.— Fait la même chose, dis-je, mais dans ma bouche et tout de suite. C’est un (ordre/pitié.)— Ah ! Fit-elle en le sortant de son sexe pour le lécher et le sucer longuement avant de l’approcher de mes lèvres à tâtons en rajoutant. Si c’est un (ordre/pitié,) pas le choix.Je me mis à saliver comme tout à l’heure dès qu’il glissa entre mes dents. J’y croquer sans me préoccuper qu’il goutte la vulve, c’était ma sorte préférer en plus, légèrement épicer. Je ne me rappelais pas n’avoir jamais eu aussi faim de toute ma vie. Je marchais à peine et avalait tout rond. Elles alternaient a présent, salami, fromage et bière et j’avalais, buvait et croquait comme une rescapée d’un naufrage.— Outch ! Cria 2 quant je lui mordis un doigt. Luce ! Tu te transformes en Zombie ! Dit-elle en le secouant.— Hum ! Hum ! Vous êtes à croquer toutes les deux !— Oh, fit 1, la dame s’est enfin dégênée. Tantôt tu vas avoir l’occasion de nous grignoter le sexe peut-être !Entendre ça me fit frissonner encore une fois.Je fini la bière et le salami et roter fort, ma gêne maladive avait pris le bord.— Ah ! Fit 1, elle a aimé ça. Bon on te laisse digérer un peu !Le ventre plein je me sentais beaucoup mieux, plus réveiller et alerte et je les regardais se balader avec envie. C’était un genre de : Pause pour voyeur, qui me plaisait bien !Je les vit aller à tâtons déposer l’assiette de fromage vide, ce qui restait de salami et la canette vide sur l’évier pour ensuite s’y laver avec des serviettes humides tirer d’un distributeur ; Les aisselles, les seins, la fourche, les bahis siteleri pieds, tout ça en aveugle. L’eau faisait reluire leur corps comme si elle était un peu radioactive. Une fois propre elles s’essuyèrent avec du papier qui traînait la, puis elles retournèrent prudemment vers la table et elles jetèrent tout ce qu’il y avait dessus par terre. Verres et assiettes en carton, broîte de pizza et ustensiles en plastique. Elles y grimpèrent, 2 s’étendit sur le dos bras ouvert avec ses seins qui remuait mollement en s’aplatissant mais moins que le mien et 1 se coucha sur elle. Là, je les fixais intensément en déglutissant ! Les spectacles de fausse lesbienne dans les films pornos me laissaient en général assez froide, mais là, en direct, juste sous mes yeux, ça, ça me plaisait. Ça me fit saliver encore et elles commencèrent a ce caresser et s’embrasser jambe entremêler. Deux hommes ensemble qui baise ça na rien de très excitant, ses plutôt un peut bestial, mais deux filles c’est très sensuelle surtout pour moi qui suit un peut bi.Je les regardais fixement, si jeune, enlacer et se caressant devant moi sur cette table et ça m’excita terriblement. Leurs bouches plaquer l’une sur l’autre, la main de 1 sur un sein de 2 et ses mains à elle pelotant les belles petites fesses dure de 1. Je me décourageais d’être déjà si excité, mouillé même, mais c’est bien connu, plus on le fait plus on a le goût. Je regardais leur corps verdâtre se tortiller, se frotter, leur visage si détendu, elles se pressaient vulve et seins en se frenchant, visiblement elles y prenaient vraiment du plaisir, ce n’était pas juste pour me faire un spectacle sur commande, enfin… Je croîs ! Mais les jeunes sons tellement plus ouverts d’esprit et aventureux côté sexe qu’on l’était à leur âge.Ça m’alluma au point ou 5 minutes plus tard j‘eus envie de les rejoindre. Je regarder mon corps verdâtre aussi, mes seins gonfler d’un blanc laiteux, mes mamelons durcit plus sombre, ma toison verte foncer mes petites jambes, je bouger mais mains entraver et les lanières se défirent toutes seul sans aucun bruit.Surprise, je souris, tout était arrangé ici évidemment, j’aurais pu me détacher tout de suite. Et je compris pourquoi les lanières pouvaient se défaire ! Les jeux étaient vraiment bien pensés pour assouvir nos petits vices. Je me lever doucement en grimaçant à cause de mes muscles raidit et endolorie quelque peut. Je m’extirper de la chaise avec précaution et m’approcher de la table a pas de loup sans faire le moindre bruit, évitant de marcher sur quoi que ce soit et en fit le tour prudemment en respirant bouche ouverte tout en les observant de plus près, même de très près. C’était jouissif ! J’ai toujours refoulé un peut mon coté voyeuse, j’en avais honte avant, mais moins de puis quelques années, mais maintenant je ne pouvais pas le contenir.Je me sentais griser par l’excitation que cela me procurait. Pouvoir observer sans être vue !J’avais l’impression d’être dans la peau d’un de ses tueurs en série qui se faufile dans un appartement ou une maison et qui surveille ses victimes pendant quelle baise, c’était l’effet rechercher sans aucun doute. Pendant que je contournais la table avec précaution, sentant toute ma nudité, mes seins lourds qui se balançait, mes fesses un peu molles, mon anus toujours dilaté, pour revenir a mon point de départ, elles s’installèrent en 69. Mon coeur commença a battre plus vite en admirant leur peau laiteuse, leurs seins qui remuai aux mamelons durcit et humide de salive, leurs fesses, leurs sexes gonflés et mouillés, leurs visages, leurs jambes, leurs orteils qui se crispaient, leurs mains qui caressait, masturbait, je m’en régalais sans honte !« Tu parles d’une job d’été, » me dis-je une fois de retour au bout de la table près de la chaise, la je fléchis les genoux m’abaissant un peut pour mieux voir. J’étais devant les jambes écarter de 2 ses pieds était au chaque coin de la table, ses petits orteils pointant vers le plafond se pliaient et se dépliait et j’avais une vue imprenable sur sa vulve mouillée dont 1 s’occupait avec des doigts fureteurs, j’en fus jalouse. Elle frottait la fente et le clitoris provoquant des spasmes dans les cuisses rondes de 2. Je fixais la vulve humide, gonfler, presser, ouverte, frotter, en sentant beaucoup plus la mienne. Surtout accroupi comme je l’étais cuisses écarter.Puis 1 pencha la tête pour la lécher, sortant sa petite langue luisante en ouvrant les grandes lèvres ondulées avec ses doigts. Les orteils de 2 raidirent en éventail dès que la langue la toucha, c’était mignon comme tout ! Je salivais d’envie de voir 1 qui lui mangeait la vulve la léchant de haut en bas jusqu’a l’anus quelle titillait au passage le laissant luisant de salive, puis remontait a la fente et y enfonçait sa langue raidit dans le vagin, s’arrêtant parfois pour gémir elle aussi car 2 la léchait goulûment. Quand je voyais les yeux de 1 à demi fermé, ils luisaient comme ceux d’un loup la nuit. J’ai toujours été une voyeuse, personne n’est parfait, la je me régalais de cette vision de nuit. Le petit cul de 1 en l’air les mains de 2 lui caressant tandis qu’elle la léchait, même l’anus devinai-je, ça me fit déglutir et mouiller plus.Malgré les bruits ambiants j’entendais leurs soupirs et leurs gémissements. 1 suçait et léchait maintenant le petit clitoris durci et décalotter par ses doigts longs et fins. 2 se dandinait d’une fesse a l’autre en geignant de plus en plus fort, je savais très bien se quelle devait ressentir. Mon clito s’éveilla, je le sentis durcir et je résister difficilement à l’envie de me masturber en serrant les cuisses. Mais les petits orteils ronds de 2 qui s’agitait m’attiraient terriblement. Ils étaient si mignons à se recroqueviller comme ça. Je me redresser et m’approcher de son pied gauche et le prit de la main droite en me penchant au-dessus. Ce simple contact doux et chaud me fit frissonner. 2 sursauta un peu, ça la chatouilla sans doute. Je passer ensuite mes doigts entres ses orteils pour les écarter puis je me pencher plus en sortant la langue et fit glisser le gros orteil entre mes lèvres doucement, le sentant entré dans ma bouche et je me mis a le sucer comme si c’était le gland d’un pénis en empoignant sa cheville délicate de l’autre main. L’ orteil, déjà tout enduit de salive, se replia sur ma langue, les autres se resserrèrent sur mes doigts. Tenant son pied fermement, je ne fis que sucer celui-là, l’agaçant avec ma langue, aspirant, tournant la tête, le gémissement qu’elle lâcha en disait long. Pourquoi je faisais ça, tout simplement parce que j’aimais me le faire, faire.Ses orteils raidissaient ou se repliaient et je suçait et suçait, en jetant des coups d’oeil a 1 qui mettait du coeur a l’ouvrage a grand coup de langue et de doigts enduits de salive et de sécrétions vaginales. Et 2 également, parfois elle relevait la tête et grimaçait et recommençait à lécher le cul de 1 et à la pénétrer elle aussi avec ses doigts. Et soudain, l’orteil resta tout raide dans ma bouche et 2 lâcha de sacrées plaintes en se tortillant de plus en plus sur la table. Je lever les yeux pour voir qu’elle devait jouir, pas à cause de ma pipe d’orteil, ça aida peut-être un peut mais surtout à cause des trois doigts de 1 qui la pénétrait vite et profondément. Deux dans le vagin débordant le liquide et un dans l’anus. Son vagin coulait comme une fontaine maintenant, elle se tortillait sur la table, arquait les reins comme une possédée. 1 en était secoué, ses petits seins écraser sur le ventre de 2 bougeaient joliment. Je du lâché son bahis şirketleri pied parce quelle écartait et fléchissais les genoux. Je m’appuyer sur les coudes entre ses jambes écarter pour mieux la voir jouir ; ses petits genoux fléchissaient plus, ses fesses se resserraient, les gros muscles de ses cuisses raidissaient, elle se plaignait maintenant comme si 1 lui faisait mal. Celle-ci la pistonnait toujours avec ses doigts et soudains 2 souleva le basin et de la pisses gicla puissamment comme d’un vaporisateur et a gros jets. Ça passa juste sous le menton de 1 qui leva la tête pour éviter le jet puissant que reçu en plein visage et sur les seins sans pouvoir l’éviter. Je n’eus même pas le temps de fermer les lèvres, juste les yeux oubliant les lunettes. Je me reculer d’instinct fermant la bouche goûtant la pisse saler mais pas assez loin car j’en reçus une autre gicler encore plus puissante sûr la poitrine a nouveau et le ventre. J’en avais plein la face, les lunettes, ça me coulait sur le corps, mêmes dans le dos. C’était si surprenant que je figer un moment et un autre jet m’aspergea, cette fois je me tasser en crachant la pisse salée tout en grimaçant. J’ouvris les yeux pour ne voir que des gouttelettes d’urine vert lime en gros plan.— T’es la Luce ? Demanda 1 une main sur les cuisses musclées de 2, l’autre frottant toujours son pubis, ses yeux aveugles et luisants scrutant le noir.— Hum !Elle rit tandis que 2 semblait se calmer et finissait de pisser sur la table, ça en dégouttait par terre.— T’as été arrosé à la pisse on dirait ?— WAIS ! En pleine face… Merde ! Ça lui arrive souvent?— Je ne sais pas, ça t’arrive souvent 2 ?— Oufff… ! Ça arrive, fit-elle mollement avec une voix de petite fille larmoyante, tapant les fesses de 1. Hummm…! Luce ma sucer un orteil sa ma donner de sacrés frissons 1.J’allai à l’évier me laver à mon tour avec des serviettes humides sentant la lime.— Tu me lèches le derrière Luce, j’allais venir. Dit 1 en se le dodelinant joliment toujours sur 2.— Non, moi je regarde et me repose, dis-je en prenant du papier sur le comptoir pour essuyer les lunettes puis mon visage, mes cheveux et mes seins.— Çé pas juste tu lui as sucer un orteil. Dit-elle en se frottant le derrière sur la face de 2 qui la léchait toujours. Tu pourrais au moins me suce quelque chose, n’importe quoi.— Jalouse ! Dit-je amuser finissant de m’essuyer et retournant vers elle silencieusement.Je lui pris une main et y poser un baiser. Puis je fermer mes lèvres sur son index et lui sucer en la regardant se démener du derrière en souriant, puis se redresser lentement pour se retrouver carrément assise sur le visage de 2 pour s’y frotter. Celui-ci était maintenant recouvert de déjection vaginale qui semblait fluorescente. 1 commença à se déhanché en appuyant sa main libre sur un des gros seins de 2.Elle cambra les reins, propulsant ses petits seins qui pointaient terriblement vers l’avant. Je lui caresser de ma main libre sans cesser de lui sucer le doigt. Sa petite poitrine était si douce que ça me donna le frisson. Elle soupirait de plus en plus en gémissant avec une voix de petite fille très sensuelle. Je voyais 2 qui la léchait sans relâche et lui rentrai la langue dans le vagin et un doigt dans le cul, apparemment elle était bien décidée a lui rendre l’appareil. Quelque minutes plus tard, alors que je lui titillais les mamelons en lui suçant un pouce, 1 jouis en ramenant sa main libre entre ses cuisses pour se branler violemment son visage devenu si calme, si serin. Elle semblait en pleine extase, comme si elle venait de voir Dieu en personne. C’était étrangement beau avec ses yeux lumineux. J’admirai le spectacle en lâchant sa main et me reculant pour poser mes fesses contre l’évier. Je croiser les bras sous ma poitrine et la regarder jouir. Je retenais une forte envie de me jeter sur elle, de me retrouver entre ses deux corps jeunes et superbes et très différents. Mais la table était pleine de pisses et je me sentais encore trop fatiguer de toute façon. N’empêche que de les voir faire m’avait encore fait mouiller.1 prit un moment pour se ressaisir et débarqua lentement de la table de mon coté, 2 aussi, toujours aveugle toutes les deux. Je les guider jusqu’a l’évier pour se laver a nouveau juste sous mes yeux de voyeuse. Encore un beau spectacle et j’en profitais pour palper une fesse ou un sein leurs arrachant de jolis sourires. Puis elles me trouvèrent et me collèrent toutes les deux comme si j’étais leur mère. Dieux que ça me plaisait et elle caressait mon ventre, mon pubis et mes seins, leurs mains se joignant parfois et c’était très agréable. Ça ralluma mes envies mais en même temps juste des caresses comme ça me suffisaient. Je les serré fort en frissonnant.— Vous pourriez être mes filles toutes les deux…On resta un long moment comme ça, bien coller sans rien dire, juste à se caresser mollement. Elles devaient être quelque peu épuiser elles aussi.— Bon, fi-je en leur tapant les fesses. Et là, on reste ici toute la nuit ?— Pourquoi pas, fit 2 en me chatouillant le pubis du bout des doigts, t’aimes pas ça ?— Oui, mais il doit y avoir quelqu’un qui regarde sa montre en se moment et je le connais bien, il n’est pas patient du tout. Y doit se dire;« allez, bouger, faite quelque chose les filles. »— Ton amie ? Fit 1 pressant ma fesse droite, l’autre main sur mon pubis avec celle de 2 ça me donna des sueurs. T’inquiètes pas, y s’ennuie pas. Bon, tu vois les marches au fond de la cuisine passer la table.— WAIS ! Je vois une porte !— Conduis-nous par là, mais avant enlève les lunettes et laisse-les sur la table. Pis tourne toi faut pas se perdre on va se tenir.— Pourquoi, j’ai besoin des lunettes pour vous guider ?— C’est un ordre/pitié madame.— Bon ! Dis-je en riant et en enlevant les lunettes pour devenir aveugle à mon tour, me retrouvant dans le noir total. Je dus tâter de la main pour les déposer sur la table. Je sentis leurs petites mains fureteuses me tâter le corps, ça me chatouilla.— Tu peux t’en ligner de mémoire vers les marches et la porte que tu as vue Luce ?— Ça y est !— Bouge pas, on va s’encorder pour ne pas se perdre.— Avec quoi ? Demandai-je intriguer.— Avec ça.Je frissonner en sentant un doigt mouillé glisser entre mes fesses, s’arrêter sur mon anus toujours dilater et y entrer lentement et profondément jusqu’a la jointure. Je retins mon souffle appuyer sur mes orteils en entrouvrant les lèvres. Mon corps fut parcouru de longs et délicieux frissons. Ouf… Une fois bien au fond elle le retourna et le plia vers le haut comme un crochet. Je tourner la tête en grimaçant, mais je ne voyais plus rien, l’autre derrière elle y faisait sans doute la même chose. J’avais déjà compris le principe. C’était vraiment tordu.— T’es pas gêner de me rentrer un doigt dans le derrière, c’est 1 ou 2 ?— 1 et non ça ne me gêne pas, comme ça on est sur de ne pas se perdre…, ouf… 2 pas le pouce, sa chatouille maudit ?— OK ! OK ! Là ça va ?— Hum… ! WAIS… ! J’adore sa !— Je ne veux pas vous inquiéter les filles, dit 2, mais j’ai un doigt dans le cul aussi.On éclata de rire toutes les trois.— Allons s’y Luce ! M’ordonna 1 en agitant son doigt une main poser sur mon épaule. Ça me faisait vraiment un drôle d’effet de marcher avec un doigt crocheter dans le cul. Le noir complet amplifiait toutes mes sensations et ça me faisait mouiller. C’était vraiment bizarre, ça agaçait tellement que ma peau se couvrit de chair de poule, surtout mes seins. On avança prudemment comme un petit train à tâtons, a pas de geisha et je trouver les 3 marches qu’on descendit prudemment pour ouvrir la porte. Les filles gémissaient faiblement ou riaient en lâchant des petits : Ouuuu ! Et moi aussi. On se retrouva toujours dans le noir total dans ce qui semblait être un couloir.

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