Salope a Biker

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Amateur

Depuis quelque temps, je fréquente un Biker qui fait partie d’un club de motards. Il est sympa et j’adore son look. Un jour il me dit qu’il souhaiterait me présenter aux membres de son club. Bien sûr, je deviens toute excitée, il me tarde tant de les rencontrer.

Nous sommes un vendredi en fin d’après midi et je fais la connaissance des membres. Suite à l’invitation d’un club voisin, j’accepte de les suivre. Nous prenons la route à plusieurs motos.

Une fois arrivé sur place, je remarque que le local est bondé. Je ne vois que des hommes agglutinés le long du bar, une bière à la main. Nous passons de l’un à l’autre et mon copain me présente joyeusement. Tout le monde attend le show, une fille doit faire un strip-tease ce soir. Étant la seule femme présente dans le local, je soupçonne les gars de m’accepter uniquement à cause de mon physique.

J’ai trente ans et je suis brune, les cheveux très longs, pratiquement jusqu’aux fesses, musclée par une fréquentation assidue de la salle de muscu. Ma poitrine, dénuée de tout soutien-gorge, est surprenante de tonicité. Elle est très loin de s’avachir, tendant avec arrogance mon débardeur qui dévoile avec impudeur les pointes de mes tétons à travers le tissu.

Le temps passe rapidement d’une bière à l’autre. Je commence à devenir ivre et excitée de partout. Au bord de l’estrade aménagée pour le show je remarque que la discussion est animée. J’apprends alors en même temps que tout le monde, que la nana qui devait se produire devant nous ce soir ne viendra pas. J’aperçois plusieurs regards et gestes dans ma direction jusqu’à ce que l’on vienne me voir pour me demander si je ne pourrais pas la remplacer. Les organisateurs sont bien embêtés, donc leur demande est logique, je suis la seule femme.

Je donne immédiatement mon accord. Je pense que les bières ne sont pas étrangères à ma décision. Mon copain m’embrasse fougueusement en me disant que si je ne le sens pas il sera toujours temps de tout arrêter.

— N’importe quoi! Je peux y aller. Pour une fois que je vais pouvoir m’amuser, je ne vais pas m’en priver.

Je me sens toute excitée. Mes tétons ont durci. Mon petit ami ne peut s’empêcher de les pincer méchamment, il sait que j’adore ça. Mes yeux se ferment, je suis tellement réceptive…

Lors d’un changement de musique, je lui fais un petit bisou et m’avance vers le podium sommairement aménagé. Tous les regards sont maintenant verrouillés sur moi. Je commence à danser lascivement, mon corps ondule en suivant le rythme de la musique.

Je regrette à ce moment-là de ne pas avoir mis de mini-jupe. Avec le jeans, c’est moins facile de s’effeuiller. D’une main, je défais tout doucement les deux boutons pendant que ma main droite passe doucement sur ma poitrine. Je m’arrête sur mes pointes durcies de désir, et je ne peux pas m’empêcher de les pincer, ce qui décuple la sensualité de ma danse.

Petit à petit mon débardeur remonte jusqu’à la lisière de mes seins. Je l’enlève en cachant ma poitrine d’une main. Le temps que je jette mon haut dans la foule d’hommes pressés en bordure de la scène, mon jean a commencé à descendre lentement sous les sifflets joyeux des spectateurs.

C’est pas facile d’enlever gracieusement un jean moulant et humide. Oui, je mouille abondamment et je ne porte pas de sous-vêtements.

Quelques minutes plus tard je suis nue et je danse devant ces hommes. L’ambiance est brûlante alors que je Erzurum Escort m’assois sur le bord d’une chaise. Je commence à me caresser. Mes doigts pénètrent ma fente. Ma mouille coule le long de mes cuisses. Les cris des hommes, l’ambiance surchauffée et mes doigts habiles me font bientôt jouir. Je gicle de plaisir des jets de cyprine.

Les hommes sont complètement fous. Je les entends hurler et siffler. Pour une première fois, c’est énorme. Je me remets doucement et il me faut du temps pour traverser la foule et traverser pour rejoindre mon copain qui commande deux bières pour fêter ça. Il percute alors… Je suis encore nue!

— Qu’est-ce que tu fous à poil?

— Tu sais mon chéri, j’ai tout envoyé dans la foule et je n’ai plus rien vu de mes vêtements. Ne t’inquiète pas, ils vont revenir.

— Perso, ça m’est égal. C’est pour toi.

— Je m’en fous. De toute manière, ils ont vu plus que ça!

Quelques verres plus tard, je commence à ne plus avoir soif et je danse lascivement devant lui. C’est alors qu’un homme m’entraîne sur le semblant de piste de danse. Je me laisse peloter. Puis, je me mets à genoux devant lui. Je commence à le sucer, et très rapidement il gicle une bonne dose de sperme sur ma figure. Il y en a tellement que ça coule sur mes seins. De retour auprès de mon copain, je lui demande :

— Dis-moi mon chéri, je vais où pour me laver?

— Je suis peut-être dégueulasse, mais que dalle, tu restes comme ça. Tu fais la salope, t’assumes!

— Tu plaisantes? Regarde-moi, je suis toute collante…

C’est vrai que je suis minable. Des filets de sperme zèbrent mon visage ainsi que le haut de mon corps, mais je crois que ça l’excite énormément de m’exhiber comme ça. Je caresse son sexe dans son pantalon. Il bande comme jamais…

— Dis-moi mon chéri, tu as l’air d’être bien à l’étroit là-dedans…

Je commence à défaire son pantalon. Puis je m’accroupis devant lui et je commence à engloutir son sexe. La chaleur de ma salive et quelques va-et-vient rapides ont vite fait de vaincre sa résistance. Je ne le lâche pas du regard. Je sens sa sève monter, il ne peut plus rien faire et il se laisse aller. Il me semble que ça ne s’arrêtera jamais. Je m’accroche à sa bite pendant qu’il se déverse longuement dans ma gorge. J’avale tout sans souci, c’est vraiment trop bon!

Et pendant toute la fin de la soirée, je me prête au jeu. Je suce de nombreux hommes.

C’est au petit matin que nous décidons de rentrer. Disons que c’est lui qui veut rentrer. Heureusement que j’ai mon blouson, il n’y a plus trace de mon débardeur ni de mon jean. C’est cul nu que je rentre derrière lui sur sa bécane.

Quelques heures plus tard, le téléphone sonne. C’est le président du club qui m’appelle pour me remercier de la soirée. Il regrette seulement notre départ un peu précipité à son goût. Il me demande si Je serais open pour recommencer ce genre de prestation, car dans l’avenir ils aimeraient beaucoup avoir une salope à disposition. Je lui réponds que j’ai beaucoup apprécié la soirée et je serais open pour recommencer ; ça fait partie de mes fantasmes depuis longtemps.

— Par contre il y a quand même quelques obligations.

— Et quoi donc, dites-moi?

— Tu ne mets plus de sous-vêtements. Les pantalons sont interdits. Tu mets uniquement des mini-jupes avec des hauts très échancrés et des cuissardes. Tu devras te mettre à la disposition Erzurum Escort Bayan de tous les frangins du club à tout moment. Lors des soirées extérieures, tu t’exhiberas à la demande. Pour faire simple, tu seras la salope du MC.

— Je n’ai pas besoin de réfléchir : ça correspond totalement à ce que je souhaite!

À partir de ce jour, je joue le jeu. Quelques mois plus tard, les habitudes étant prises, je suis devenue depuis cette fameuse soirée la salope officielle du club. Tout le monde sait que quand je me déplace, chacun passera une bonne soirée.

Cette année-là, nous sommes invités en plein été a un Bike show. Les membres du club décident d’y passer deux jours. Les gars sont chauds, et tout le monde veut s’amuser avec moi : c’est l’occasion de m’exhiber comme jamais. Un membre bricoleur a fixé sur la selle, à l’arrière de la bécane, un gode de belle taille qui doit servir pour me balader. Tout est étudié pour m’exhiber comme une chienne en chaleur, comme la salope que je suis.

Nous somme samedi. Il est 11h30 quand nous arrivons au local. De nombreux membres du groupe sont déjà là. Nous arrivons pile pour l’apéro dînatoire. Je me suis faite belle : cuissardes et micro-jupe, mon haut à pressions est tellement ouvert qu’il ne cache pas grand-chose de ma poitrine.

Au moment de partir, ils décident que je serais au milieu du groupe pour plus de discrétion. Le frangin bricoleur vient d’installer le gode sur la brêle, ils viennent me chercher. Personne n’aurait voulu manquer pour rien au monde le moment ou je découvre mon jouet. Je suis toute émoustillée à la vue de l’engin qui est bien gros.

Au moment de prendre place, je me rends compte du piège qu’ils m’ont tendu : avec cette jupe, impossible d’enjamber la selle. Alors, on m’aide pour l’enlever. De toute manière, elle ne sert à rien. Les trois malheureuses pressions ne résistent pas longtemps, et c’est les seins et le cul a l’air que je m’empale sur le monstre devant les mecs pliés de rire. Je me rappellerai toute ma vie de ce

moment et de cette sensation fantastique.

Nous partons tranquillement, il nous reste environ une heure de route. Le délice du vent chaud sur mon corps nu, entourée par toutes ces motos et le bonheur de me sentir remplie par ce sexe surdimensionné font que je me sens couler. Je ne peux pas m’empêcher de rouler des hanches et de me relever pour mieux m’empaler, c’est vraiment incroyable. Je suis tout absorbée par ces sensations quand je ressens une puissante vibration à l’intérieur de mon utérus. Je crie de surprise, et submergée par le plaisir, je m’empale à toute vitesse à la recherche de cette jouissance, de cette vague que je sens monter en moi et qui éclate tout à coup. Je hurle de plaisir sous les klaxons de tous ces coquins qui n’en perdent pas une miette.

Je me sens vidée, j’ai tellement joui… Par deux fois, ils me torturent de la sorte pendant le trajet. À mi-parcours nous nous arrêtons sur un parking un peu en retrait de la route, ces messieurs ont une envie pressente d’uriner. Quant à moi, je suis tellement excitée que je me fais prendre à la sauvage par plusieurs membres du groupe. J’en ressors ivre de plaisir.

Nous arrivons sur le lieu du rassemblement. Il y a énormément de monde. Comme nous traversons la ville à petite vitesse, je suis loin de passer inaperçue : les sifflets des hommes n’arrêtent pas de retentir.

Une fois descendue Escort Erzurum de la moto, je ressens un grand vide en moi l’espace d’un moment, mon sexe s’est tellement habitué à ce compagnon de plaisir.

Je remets ma micro-jupe pour déambuler le long des stands, n’arrêtant pas de faire des smacks à toutes les personnes que nous connaissons. Certains en profitent pour me pincer les tétons ou poser leurs mains sur mon cul. J’adore ça.

La fin de l’après-midi s’écoule tranquillement avec un tour sur le terrain où nous montons les tentes. Bientôt tout est fin prêt pour profiter de la soirée. Pour ma part, je suis encore sous les effets de mes jouissances de l’après-midi. Je transpire le sexe. Avec les membres du club nous sommes accoudés à la buvette depuis un bon moment, et nous attendons le show qui ne va pas tarder.

Quelques minutes plus tard la musique commence. Je suis très occupée au bar et je discute avec des jeunes que je vois se contorsionner pour essayer de mater mes seins. Mon copain ne peut pas s’empêcher de s’approcher d’eux pour leur dire :

— Regardez les jeunes comment il faut faire…

Il attrape les deux côtés de mon haut et tire d’un coup. Les pauvres boutons restants sautent immédiatement et je me retrouve les seins à l’air.

— Pour le reste, vous êtes assez grands!

L’apéro est très agréable en cette fin de journée relativement chaude. Je me fais peloter par les deux garçons. Étant à l’extrémité du bar, je suis suffisamment abritée des regards alors je m’agenouille pour les sucer sans m’occuper des autres personnes présentes.

La soirée s’écoule tranquillement. Les copains s’amusent, ils se sont mis à faire des paris avec moi, et invariablement je perds ou fait semblant de perdre. Je me retrouve rapidement nue en fond de buvette. Le verre suivant déclenche un dernier gage. Comme il y a trop de monde à proximité, je m’éclipse entre deux camions où je me fais prendre sans vergogne par plusieurs hommes.

C’est la fin de la soirée. Des bruits des moteurs s’éloignent petit à petit. Nous nous décidons à suivre le mouvement. Je suis toujours nue, mon copain me demande de monter derrière lui.

Je me blottis contre lui en frissonnant : la température est en chute libre cette nuit.

Et ce soir, c’est le grand soir. Les membres du club ont monté une tente rien que pour moi. L’extérieur a été personnalisé à la bombe : sur les deux faces est taguée « LA SALOPE ». Plusieurs hommes m’attendent en discutant. Le fait de me voir arriver nue les enflamme, et je disparais rapidement avec eux sous la tente.

Pendant une bonne partie de la nuit, je vais jouir à plusieurs reprises.

Au petit matin, je vais retrouver mon copain et je me colle à lui. Je sens le sperme et l’urine, ce qui le fait bander immédiatement. Il me prend de toutes ses forces, m’arrachant de superbes gémissements. Lorsque il s’est complètement vidé, je me blottis de nouveau contre lui et nous nous endormons comme des enfants.

Je me réveille tard. Je m’étire en repensant à la nuit passée. Elle me paraît un peu surréaliste, mais elle était bien réelle.

En fin de matinée, Je daigne enfin sortir de la tente, complètement crevée, de grandes cernes attestant ma nuit de débauche, ainsi que des traces de sperme séché sur tout le corps. Je n’ai pas grand-chose à me mettre. Mon haut est déchiré depuis hier soir, il ne ferme plus. Alors je suis obligée de faire un nœud sur mon nombril, ce qui me permet d’être un peu plus présentable. Le retour se passe tranquillement, tout le monde est crevé.

Avec mon copain, nous quittons les autres aussitôt arrivés au local, sans avoir oublié auparavant de promettre de recommencer ce genre d’escapade.

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