La chercheuse ( Première partie )

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La chercheuse ( Première partie )La chercheuse1Le codexDame Judith laissa les domestiques, deux jeunes filles fort jolie, lui enlever son manteau puis attendit qu’elles ouvrent les deux grandes portes qui donnaient sur la salle principale du château et y entra. Elle marchait tête haute comme toujours et d’un pas alerte sentant sa poitrine, de plus en plus lourde au fil des années, sursauter et écraser par le gros paquet bien ficelé quelle tenait fermement dans ses bras. La salle était bien éclairer par d’immense fenêtres en arche sur la droite qui donnait sur la cour intérieur du châteaux. Celle-ci laissaient filtrer, en cette fin d’après-midi, de grands rayons de lumière orangé dans lesquelles tournoyaient de minuscule brins de poussières. Au fond de la salle, au dessus d’un gigantesque foyer présentement éteint, était suspendue une grande tapisserie rouge et or représentant les armoiries de la famille habitant ce château. Et juste devant, derrière une grande table couverte d’une nappe bourgogne ou il y avait les reste d’un repas et un candélabre dont les bougies étaient éteinte, elle vit le jeune conte quelle avait rencontrer quelques mois plutôt qui gémissait de plaisir tête baisser collant descendu au genoux. Il leva des yeux vitreux vers elle, juste un instant, la regardant comme la plus part des hommes regarde une jolie femme, avec envie. Elle crut tout d’abord qu’il se branlait le cochon, mais s’aperçut en approchant, que visiblement, quelqu’un lui pratiquait une fellation. Judith n’en avait que faire, même qu’elle saliva en stoppant devant la table y déposant son lourd paquet tout doucement, soulageant ses long bras frêle. Elle repoussa une de ses petite tresse cuivré derrière son épaule en se redressant et attendit patiemment sans détourner les yeux croisant les bras faisant gonfler sa poitrine. Étant une habituer des bordels de Paris, elle en avait vue d’autre surtout a son age, elle venait d’avoir 49 ans, déjà. De plus, elle débarquait sans prévenir presser de conclure cette anadolu yakası escort affaire pour pouvoir enfin rentrer chez elle après des mois d’absence.Elle aperçut la tête d’une femme a la chevelure noir corbeau qui montait et descendait entre les jambes écarter du seigneur transit et pâmer par le plaisir.De si près elle entendait même les sons émit par une bouche qui suçait avidement et cela l’éxita comme toujours.Elle n’aimait pas ce jeune seigneur prétentieux qui semblait se trouver irrésistible et qui lui avait fait des avances d’une manière des plus mal a droite lors de leur première rencontre quelques mois auparavant. Il avait encore bien des choses a apprendre pour séduire une femme celui la. Il avait certes de magnifique yeux noir, une visage agréable a regarder, la force et la vigueur d’un homme dans la vingtaines, mais ces regards sur elle était si déplaisant que jamais elle ne se serait donner a lui. Et de toute façon, il n’aurait peut être pas apprécier ce quelle avait a offrir.Puis il daigna la regarder a nouveau, les yeux petit et vicieux luisant de concupiscence, enfin regarder plutôt son décolleté et ces ce quelle avait voulue. Elle avait enfiler avant de venir une magnifique robe bleu ciel avec un large décolleté en ovale qui s’attachait par devant écrasant sa large poitrine pour faire remonter et gonfler ses seins lourds les faisant presque déborder de la robe quelle avait laisser passablement délasser. Elle avait laisser son visage au naturel, ni poudre, ni rouge au lèvre, elle détestait ses maquillage extravaguant a la mode dans les grandes villes. Par contre elle avait mise quelques gouttes de parfum de florence entre ses seins, un parfum délicat et fort dispendieux.Rester la a attendre le bon vouloir du jeune seigneur ne l’agaçait pas, au contraire, Judith avait toujours aimer regarder, elle était une voyeuse, c’était son vice a elle et l’avait accepter depuis longtemps. Et voir cette fellation et l’entendre, lui ataşehir escort fit gonfler les mamelons dont les pointes surgissait maintenant sous le tissus léger de la robe et cela la chatouillait agréablement tout comme son sexe qui gonflait.Dame Judith, femme d’affaire accomplie, avait rapidement comprise en débutant dans le métier qu’en s’habillant de manière a mettre ses charme en valeur qu’il était beaucoup plus a même d’obtenir le prix quelle demandait pour son travail.Elle vit qu’il la fixait et soutint son regard froidement ne laissant transparaître aucune émotion et ne dit rien, sachant très bien qu’il allait conclure assez vite juste parce qu’elle était la. Ses grand yeux gris clair, presque transparent avait toujours fasciner et éxiter les hommes.Quant il la vit entrer avec ce qu’il lui avait commandé dans les bras, Victor banda plus dur dans la bouche chaude d’Anna et son cœur s’emballa. La chercheuse, car ces ainsi que tout le monde l’appelait, était des plus désirable, voir l’une des femme les plus bandante qu’il est jamais vue, même si elle aurais put être sa mère. Il en rêvait depuis la première fois qu’il l’avait rencontré, malheureusement, celle-ci avait repousser ses avances assez sèchement. Mais a cette instant, la voir la, debout devant la table, impassible a le regarder sans gène pendant qu’il se faisait sucer, l’éxitait presque autant que la pipe baveuse de son amante de dix ans son année et elle aussi se savait épier et cela ne la dérangeait nullement. Anna était veuve depuis deux ans et sa mère voulait qu’il l’épouse et il le voulait aussi et Anna également. Les filles de son age n’avait pas l’expérience qu’elle avait dans les jeux de l’amour et de plus, elle était drôlement perverse, même plus que lui. Les noces serait au printemps même si elle partageait déjà son lit et que tous le savaient, y comprit sa mère qui n’avait rien contre de toute façon et non sans raisons.La chercheuse était grande et racer, plus grande que bien des ümraniye escort hommes et impressionnait Victor, tant par son assurance tranquille que par sa grande beauté mais surtout par son érudition incroyable. Tout cela faisait d’elle un femme des plus désirables du pays mais, hélas, trop bien pour lui, il le savait maintenant. N’empêche quelle l’éxitait terriblement avec sa taille de jeune fille malgré son age, il lui donnait quarante ans environ peut être plus, mais elle était sacrément bien conserver. Elle avait un doux visage très pale un peut long encadre par de long cheveux cuivrer, presque roux, bien coiffé avec de jolie tresses sur le côté. Ses joue creuse étaient couvertes de taches de rousseur a peine visible près des yeux, ceux ci étaient d’un gris obsédant comme il n’en avait jamais vu et en demie lune, brillant et rieur toujours a demie fermé. Elle avait un nez fin un peut long et brusquer et une bouche large mais magnifique, au lèvres pale brillante d’humidité. Une femme très gracieuse, élégante mais a la poitrine très large et un peut plate dont les petits mamelons pointaient de plus en plus sous le tissus fin de la robe si décolleté qu’il voyait presque les auréoles au bout de ses seins. Il en saliva de la savoir éxiter par le spectacle qu’il lui offrait et ne pensait plus qu’a lui ouvrir les cuisses a tout prix. Il aurait tout donner pour la voir nue et pensa lui offrir de passer la nuit ici, pourquoi pas! Et qui sait peut être que… Et soudain Anna le pompa avec force le sortant de sa rêverie tout en le masturbant avec vigueur et cela le fit jouir. Il éjacula avec force en grognant dans la bouche de son amante qui sursauta et qui avala son foutre comme elle en avait l’habitude. L’orgasme fut si puissant qu’il en trembla bouche ouverte se bavant sur le menton mains crisper sur les accoudoirs du fauteuil. Chaque gicler de sperme lui arrachait une grimace, le foutre épais se mit a couler des lèvres humide le long de sa queue, puis il fini de jouir a bout de souffle. Elle le suça encore un peut et la sortit de sa bouche en lui souriant les yeux brillants. Il soupira, si soulager et si éxiter d’exhiber ainsi son membre devant la chercheuse qui regardait toujours de marbre. Il renvoya Anna en lui donnant un linge pour quelle s’essuie la bouche.———————— A suivre…

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