Alice au pays de la soumission, chapitre 14

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Alice au pays de la soumission, chapitre 14Élisabeth s’en va, laissant sa sissy en gage si on peut dire. Très vite, Paul, en grand habitué l’envoie, à poil, nettoyer de fond en comble les WC avec une simple éponge et du détartrant. En haut, sous le toit, les deux soubrettes de Paul s’activent encore avant l’heure du souper. Gamelle pour les soumis et une bonne entrecôte pour Paul. Ensuite, il fait sortir la cage de sa voiture et la fait mettre dans ce qui fut le donjon. La cage est pour le soumis et père d’Élisabeth. Aux pieds du lit, Mathilde et Alice sont attachée au lit par la laisse. Paul encore sous la fatigue du voyage plonge rapidement dans un profond sommeil.Dès l’aube, Mathilde suit Alice dans la cuisine. Au passage, elles délivrent la sissy de sa cage et le menotte. Le déjeuner prêt, c’est la sissy qui le porte sur son dos. Derrière lui, Alice se montre sévère. Dans la chambre, pendant que la sissy patiente, deux bouches se montrent les plus expertes qui soient sur le pénis du Maître. Ouvrant un œil, Paul découvre un merveilleux spectacle, deux superbes culs et deux bouches. Ses mains se promènent rapidement dans ces sillons si beaux. Un coup d’œil sur le côté et il découvre cette sissy avec son déjeuner sur le dos. Le déjeuner peut attendre. Pour se mettre en bouche, quoi de mieux qu’un joli cul à brouter. C’est celui d’Alice qu’il choisit, de coups de langue en baiser, il insinue ses doigts un peu partout dans ce corps qui se tortille déjà de bonheur. Il lui broute la chatte pendant que ses doigts s’enfoncent, les uns après les autres, dans ce cul si superbe. Mathilde n’est pas en reste, l’autre main de Paul va et vient le long de son vagin, de son anus. Parfois, Mathilde peut sentir ces doigts la branler dans son con béant. Dans les visages, les filles reçoivent la semence du Maître. Les bouches et les langues lèchent le visage de l’autre. Peu après, Alice prend son envol. Mathilde la suit de près. Les réjouissances terminées, Paul donne ses ordres. Il exige une maison propre et veut que cela soit terminé dans la journée. Pendant qu’il déjeune, il s’amuse avec ce soumis qui, se dit-il, pourrait aussi être son père. Ce qu’il aime faire chez les soumis, c’est écraser leur queue. Celle de ce père déchu n’est pas une référence, de taille moyenne, elle est toute fine. Posée sur la table de nuit, Paul la frappe de son poing. Quand il voit les larmes de douleur couler sur les yeux de cette sissy, Paul est un peu déçu par son manque de résistance. Enfin, d’un grand coup de pied au cul, il l’envoie nettoyer tout le sous-sol. Près de la cage de Mickey, il prépare la gamelle de son chien de garde, son baiseur de soumise. Le chien lui fait la fête. À l’aide d’une laisse, une fois que Mickey a terminé sa gamelle, ils font une longue balade dans la campagne environnante. Dans la maison, aucun n’ose prendre un moment de pause. Paul s’est montré très explicite en donnant ses ordres. Du reste, quand il rentre, il est près de midi et Alice prépare le diner de son Maître. Paul fait un tour de toute la maison. Sur les poutres du toit, il passe un chiffon blanc et ne décèle aucune poussière. En bas, les WC sont propres, la salle de bain brille comme si elle était toute neuve. Quant aux chambres, il ne découvre aucune poussière. C’est au sous-sol que la donne change, la sissy semble n’avoir pas rempli sa part du marché. À grand coup de martinet, Paul se défoule sur cette sissy. Il le considère bursa escort comme un client et donc, se permet ce qu’il veut. De toute manière, Élisabeth lui avait donné tous les droits. Le tirant par son pénis, il le fait tomber dans la cuisine. -Mathilde et toi, je veux que vous vous occupiez de cet ersatz d’homme. s’il le faut, un coup sur ses couilles le ramènera à de meilleures dispositions. Cet enfoiré n’en a pas planté une de bonne. Si, il s’est branlé sur la réserve de bois. Après diner, en bas, je veux qu’il fasse tout. Quant à vous, amusez-vous un peu avec ce jouet. Seulement interdiction qu’il vous baise. Finissez vos gamelles et au boulot. -Maître, est-ce à dire que nous pouvons le fouetter s’il en est besoin ?-Tu m’as très bien compris. Je veux que cette larve paie son séjour dans le travail et une soumission irréprochable. Sinon, c’est moi qui vais agir et ce n’est pas dit que vous appréciez. Alors que les soumises se pressent à descendre au sous-sol. Paul regarde ce sexagénaire ramper en signe de soumission. Il glisse le long de l’escalier en direction des caves. En bas, Alice prend les commande, après tout, c’est elle la soumise de Maître Paul. Ce n’est qu’en fin d’après-midi que remontent les filles. En bas, la sissy en termine avec la chaudière, d’était sa branche. Quand il remonte, noir comme un ramoneur, humblement, il annonce que la chaudière et la cheminée sont propres. Paul l’autorise à se laver sur la terrasse, au jet. Alice lui donne même un bout de savon et une éponge pour la vaisselle. Assit sur sa chaise, Paul regarde cet homme devenu l’esclave de sa fille. Alice et Mathilde s’amusent à l’asperger de leur jet. L’eau est froide, cela se voit sur la peau de l’homme. Paul exige qu’il utilise le côté vert de l’éponge, celui qui gratte et l’éponge est toute neuve, ce qui est pire sur la peau. En bon soumis qu’il est, il exécute les ordres à la lettre. Paul fait revenir ses soumises près de lui, son pénis bien droit. Nul besoin de montrer ou d’ordonner, les soumises comprennent ce que veut le Maître. Les deux bouches s’unissent. Du cul au sommet du gland, les deux bouches se partagent le travail, si on peut appeler cela un travail. le plaisir de donner satisfaction au Maître se lit sur les visages. Paul se sent particulièrement pervers en regardant cette sissy. Il pense à Mickey, privé d’un cul en enfiler. Après avoir jouit sur les crânes désormais chauves et lisses, il se lève et conduit la sissy dans la cage de Mickey. L’homme veut refuser, mais ses couilles pâtissent de ce refus. Solidement attacher par des cordes, le soumis n’a plus les moyens de remuer d’un cil. Derrière lui, bon Seigneur, Paul lubrifie l’anus du soumis, il délivre Mickey de sa laisse et le laisse faire à sa guise. Très vite, Mickey sent la bonne occasion de s’envoyer un humain et grimpe sur la sissy pour l’enculer d’un coup, un seul. L’homme brait comme une donzelle. Les soumises de Paul s’approchent, main dans la main. Paul les embrasse tour à tour en leur disant de bien regarder ce que fait Mickey à un puni. Le chien s’en donne à cœur joie. Si la sissy remue trop, il pose ses dents sur la nuque de cette larve d’homme. Derrière ce petit monde, une femme arrive, éclate de rire en voyant son soumis dans une situation plus qu’embarrassante. Élisabeth n’en croit pas encore ses yeux, son père, ce soumis est enculé par un doberman. De son téléphone portable, elle prend de nombreuses photos avant de le escort bursa filmer. Le chien, heureux d’avoir joui dans ce cul, lèche le dos du soumis.Quand Paul décide que s’en est assez, il envoie Alice et Mathilde sortir l’homme esclave de sa mauvaise posture. Dans le salon, Paul fait un état des lieux quand le financier arrive avec l’acte de vente. Puis, c’est talbin contre acte de vente, Élisabeth téléphone à sa banque, donne le compte de Paul et exige un payement immédiat. Tous autour de la table peuvent entendre le banquier exécuter le transfert de fond se faire dans la minute. Satisfait, Paul donne toutes les clefs à Élisabeth et ordonne à Mathilde d’ouvrir une bouteille de champagne. Pendant qu’Alice dispose les coupes, Élisabeth salue son père soumis d’une bonne paire de baffes. -Ce chien, il est dressé pour ça ?-Non, pas vraiment. Cela s’est fait par hasard, une de mes clientes est entrée dans la cage pour lui donner sa gamelle et est tombée. Mickey en a juste profité, voilà tout, remarque, que cette femme ne s’en est pas plainte, bien au contraire. Mais si tu veux tenter la chose, ne te gêne pas, hein Alice, une fois qu’on a essayé Mickey, on a qu’une envie, recommencer. -Oui Maître, même Mathilde le sait. Mickey sait nous baiser, il sait prendre son temps. -Et toi, mon père déchu, qu’en pense ma sissy…Il a honte de lui, honte parce qu’il sait que je vais mettre ces photos sur son mur. T’inquiète, je vais marquer que tu as adoré et que tu ne rêves que d’une chose, recommencer. La sissy ne répond pas, le visage rougi de cette humiliation. Puis, Paul ordonne de rassembler toutes les affaires restantes et de les mettre dans le coffre. Vient le moment de se séparer. Demain, Élisabeth emménagera dans ce que Paul appelle le lieu. Élisabeth promet à Paul de venir les trouver très vite. Dans la cage remise à sa place, mickey grimpe et prend place. Sur la banquette arrière, les deux soumises, nues, se couchent pour ne pas être vues par les forces de l’ordre. Quant au financier, il suit Paul dans sa limousine. Chez Paul, c’est vite régler, on ne change rien des habitudes. Sur son ordinateur, Paul découvre les images envoyées par Sybile depuis son ile. Une maison lui tape dans l’œil, grande, c’est une ancienne maison coloniale. Elle comporte de très nombreuse chambre. Pour Paul, vu sa disposition sur l’ile et l’océan tout proche, c’est ce qu’il recherche. Sur son téléphone portable, il appelle Sybile. -Bonjour Maître, quelle joie de vous entendre.-Merci ma belle, ta voix nous fait chaud au cœur. Bien, dis-moi, cette maison coloniale, je suppose qu’il y a des travaux à faire, vu les photos ?-Oui Maître, j’ai même un devis, il y en a pour un peu plus de 100.000.- pour la remettre à neuf. -Ok, ajoute le prix d’une cuisine entièrement équipée, d’une salle de bain à l’italienne. Si tu as les plans, son prix, tu m’envoie tout ça par mail. -C’est fait Maître, cela ne devrait plus tarder à vous parvenir. -Il est arrivé. QUOI ! Punaise, fais-moi parvenir l’acte de vente, les coordonnées bancaires du proprio et au trot. -Vous avez déjà tout dans les pièces jointes. J’ai pensé que cette maison devait vous convenir, j’ai pris les devants. Le prix est de 250.000.- en l’état, ajoutez les réparations, la cuisine, une salle d’eau à l’italienne et divers aménagement, cela ne vous reviendra qu’à 300.000.- tout compris. -Ma douce Sybile, qu’il nous tarde de te serrer dans nos bras. Ok, une fois que j’aurais bursa escort bayan imprimé les coordonnées bancaires, tu lance les travaux et tu me les surveilles de près. -Avec un immense plaisir, Maître Paul. -Je te passe Alice, ma chérie des iles. Pendant ce temps qu’Alice et Sybile bavardent ensemble, Paul montre les images, les devis et le prix de cette demeure à Mathilde et au financier. -Mon cher Paul, je vois que tu as le cul bordé de nouille. Une fois rénovée, cela va être un véritable paradis. -Et tu seras parmi nos invités, l’ile ne manque pas de charme, crois-moi. -Et cette Sybile ?-Oh, doucement, mon amis. Cette demoiselle est nôtre, Alice et moi nous en sommes terriblement amoureux. Qui plus est, elle est une soumise délicieuse. Avec une petite éducation, elle ressemblera à Alice et Mathilde. -Et tu comptes t’établir là-bas ?-Pourquoi pas après tout. Je te cède cette maison, ma clientèle et tu vis pénard, comme moi. Cette homme de loi, avocat-notaire et financier de Paul, ne semble pas très enthousiasme à l’idée de voir partir Paul dans les iles, très loin d’ici. Mais Paul le rassure, il n’a pas l’intention de quitter son gagne-pain. Dans la foulée, il envoie un mail à plusieurs de ces clientes. L’ordre est cinglant, elles doivent être là demain à neuf heures tapante sous peine d’être punie avec la plus grande sévérité. Il ajoute sa nouvelle adresse et attend des réponses avant vingt heures. Alice embrasse Sybile à travers le téléphone et s’en va préparer le souper de son Maître. Elle ajoute un couvert pour l’amie de Monsieur Paul. Mathilde continue à remplir les coupes pendant que Paul imprime les différents documents. Près de son financier, il lui fait lire le tout. L’homme ne trouve rien à redire et Paul signe un peu avant de passer à table. Pendant le repas, Mathilde suce son Maître, et Alice l’invité. Alice commence à croire que cet homme, autrefois précoce, a retenu la petite leçon qu’elle lui avait donné. Il sait se retenir et Alice s’applique à le faire juté au plus vite en dardant son cul de sa langue. C’est alors que Karl arrive. Il est vrai que le parcours pour rejoindre la nouvelle demeure de Paul est plus long de moitié. À table, Alice sort de sa cachette et s’empresse de servir ce nouvel arrivant. -Paul, demain, toutes nos affaires te seront livrées par un déménageur. Ils seront deux. -T’inquiète de rien, j’ai assez de monde demain, avec ces deux-là, j’aurais huit soumises à gérer alors ne te fais aucun souci. Je mets Alice et Mathilde pour ranger tes affaires et les six autres pour terminer l’aménagement extérieur et le donjon. Et tes déménageurs seront payés en nature. Ils auront le choix parmi mes clientes. Dans le salon, Alice reprend sa place sur la queue du financier. Paul envoie Mathilde s’occuper de son Maître. N’ayant plus rien à se mettre sur la queue, il se saisit de la croupe d’Alice pour le prendre pendant qu’elle suce l’ami de son Maître. -Tu sais, mon avocat, il t’en faudrait une rien que pour toi. j’ai pensé à une secrétaire bien docile, elle n’a pas de travail pour l’instant. Elle connait ton domaine et très bien. Un peu plus de la trentaine, je crois qu’elle te plairait. Tiens, je te la convoque pour demain. -Hé, doucement, je suis…-Monsieur, laissez le Maître vous présenter cette femme. Monsieur sait quel type de soumise vous conviendrait. -Merci Alice. Mon vieux, cette femme est une de mes clientes. Je la sais en manque de sexe et d’un homme à poigne et toi, il te manque cette femme que tu n’aurais pas à former. Alors, disons que demain, tu viens faire un tour ici, du genre y a trop de bruit par chez moi, je viens au calme. -Ok, je me rends, je capitule.

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