Fantasme

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FantasmeJe vais vous raconter ce qui m’est arrivé dernièrement. Je n’avais pas de nouvelles de mon Maître depuis quelques temps, aussi je suis permis de lui envoyer un message pour lui laisser entendre qu’il m’avait un peu oublié ces derniers temps.Deux jours plus tard, je reçois un mail de sa part dans lequel il me donne des consignes pour la suite de mon dressage. Je devais me procurer des dessous féminins (porte-jarretelles noir, bas noirs, string noir, soutien gorge noir, chemisier léopard,jupe noir, escarpins vernis noirs) sans oublier ma cage de chasteté.Il m’a donné une adresse, où je devais me présenter le lendemain à 20h00 précises, avec mes dessous féminins dans un sac. Une fois arrivé à cette adresse, je devais entrer et revêtir mes dessous féminins et le reste des vêtements féminins et attendre que l’on vienne me chercher.J’étais excité comme une puce à l’idée de mon rendez-vous et de me mettre à la disposition de mon Maître. Je me suis procuré vêtements et sous vêtements féminins, le plus dur étant de trouver des escarpins à ma taille.Je me suis fais déposer par un taxi à l’adresse indiquée et suis entré dans ce qui ressemblait à un garage, un box pour voiture totalement canlı bahis vide. Il n’y avait personne, juste une table avec un petit mot écris dessus et une broîte; “habille-toi en pute avec les vêtements que je t’ai demandé d’acheter, pare-toi des bijoux fantaisie qui se trouvent dans la broîte, mets du rouge à lèvres et enfile la perruque et attends”. J’avais déjà enfilé ma cage de chasteté avant de partir et le fait de me retrouver ainsi vêtu et ne sachant pas ce qui allait se passer m’excitait.Je me suis interrogé sur les intentions de mon Maître, mais lui faisant confiance jusqu’à maintenant, j’ai suivi ses indications. Après tout, j’assume pleinement ma condition de salope soumise et il faut dire que la situation était inhabituelle pour moi, mais excitante.Mon Maître est enfin arrivé et il m’a félicité pour ma tenue et me disant que j’étais vraiment habillé comme une pute et que de ce fait il ne pouvait pas faire autrement que de me traiter en pute. Il m’a bandé les yeux puis attaché les mains dans le dos et nous sommes sortis dans la rue. Heureusement la voiture dans laquelle il m’a fait monter était quasiment collé à la porte du garage. J’espère que personne ne m’a vu. bahis siteleri Et quand bien même, tant pis, puisque personne ne pouvait me reconnaître.Nous avons roulé un long moment et la voiture s’est arrêté. Mon Maître m’a fait descendre et il m’a emmené dans un endroit où j’entendais du bruit. Je ne savais pas définir le bruit et plus on marchait, plus j’entendais ce qu’étais ce bruit. Ce bruit était plusieurs voix qui ne parlaient pas en français. Çà parlait en arabe ou en africain, je ne savais pas trop. Je n’étais pas rassuré du tout et mon Maître m’a demandé de me détendre, que tout allait bien ce passer et que je ne craignais rien.Mon Maître m’a alors enlevé le bandeau sur mes yeux. J’étais dans une pièce sordide, avec un lit qui ne disposait que d’un matelas. Mon Maître m’a jeté sur le lit, m’a détaché de mes liens et m’a dit : “Tu voulais du sperme, et bien tu vas en avoir. Tu es habillé comme une pute, et bien maintenant tu vas faire la pute. Tu vas pomper de la queue et encore de la queue et tu vas avaler du sperme et encore du sperme. Tu vas faire une pipe à tous les mecs qui sont dans ce foyer d’émigrés. Et tu sais combien il sont ? Non, et bien ils sont 30 ce bahis şirketleri soir à vouloir jouir dans ta bouche. Ils ont comme consigne de te tenir la tête au moment de balancer leur purée”. J’ai voulu protester mais mon Maître m’a giflé en me disant que c’était moi qui l’avais relancé et que pour cette raison il me fallait une leçon que je ne serais pas prêt d’oublier”.Il y avait des hommes jeunes, vieux, africains, arabes, certains étaient sales, d’autres avaient la queue qui sentait fort. Ma bouche me faisait mal à force de l’avoir grande ouverte. A plusieurs reprises j’ai eu des hauts-de-cœur mais je n’avais pas le choix. La plupart m’insultaient pendant que je les pompaient et tous m’ont tenus la tête au moment de jouir. J’ai avalé tout le sperme qui a giclé dans ma bouche. Les queues se sont succédées dans ma bouche sans que je puisse me reposer. Mon Maître me prenait en photos dans ma condition de pute. Puis il m’a ramené au garage et j’ai enfilé mon survêtement par dessous mes habits de femme, mes habits de pute.Vite un taxi, je rentre chez moi et m’effondre sur mon lit avec des images plein la tête.Au final, je ne regrette pas ma soirée, loin de là. Moi qui rêvait en secret de me comporter en salope et de pouvoir faire la pute, ce soir ca a été chose faite.Cette histoire n’est qu’une pure fiction, toutefois, j’aimerai qu’un Maître puisse tout faire pour qu’elle se ré[email protected]

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