Le fantasme d’une amie (premiere partie)

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Le fantasme d’une amie (premiere partie)Tout a commencé avec un mot, « un chantier » que m’a susurre ma maitresse après une après-midi langoureuse de passion sexuelle, en réponse à ma question : « raconte-moi un fantasme » Cela faisait quelques mois que nous entretenions une relation adultérine, ou elle et moi nous rencontrions hors de notre cadre habituel pour des escapades érotiques. Elle était dans un mariage classique, calme et tranquille. Je lui ai apporté un peu de piment, nous avons pousse des limites ensemble, son mari lui donnait plaisir, elle l’aimait mais ne la faisais pas jouir, ne l’emmenait pas dans cet espace ou l’extase sensuelle transcende tout. Je la poussais petit à petit a s’ouvrir a son mari, a lui dire qu’elle aimait parfois être traitée de pute lors des ébats, qu’elle aimait qu’on la malmène, qu’elle aimait sentir bahis firmaları le côte sauvage, a****l d’un coït pur et dur, que les limites sociétales l’encourageait a vouloir se sentir hors de son carcan habituel. Ce fantasme me servit quelques jours plus tard pour l’emmener nous promener dans un quartier ou de nombreux immeubles étaient en construction. Elle était habillée d’une petite jupe à fleurs, d’un haut fluide et ses belles jambes gainées de bas noirs. A chaque démarche on voyait ses sublimes fesses se balancer. Je savais que les premiers ouvriers qui allaient la voir allaient s’affoler. Je voulais lui donner un avant-gout de son petit fantasme.Nous nous retrouvons à un moment devant une échoppe ou de nombreux ouvriers trainent pendant leur pause, ou on entend parler toutes les langues, ou les hommes se regroupent autour kaçak iddaa du trottoir à discutailler, à fumer, à manger et à jouer au Lotto.Je pose ma main sur le bas de son dos et commence tout doucement à caresser le haut de ses fesses, pour attirer l’attention de ces hommes.Dès que nous passons devant les premiers groupes, elle sent que la tension monte, elle me dit :« Que se passe-t-il ? »« Tu sais, ils ne voient pas souvent une femme blanche comme toi, qui se promène à moitié nue dans leur quartier »« Mais mon chéri, je les excite tu penses ? »Et c’est là où on entend le premier homme qui ose de loin lancer : « Msieur, Msieur, ta kahba tu nous la prête ? »Je presse le pas, elle n’est pas encore complètement prête pour ce jeux et je veux que son mari soit la lorsqu’elle se donnera a des hommes multiples et assoiffés de femelle.Ce kaçak bahis jour-là, je ne laisse pas l’occasion d’une séance de sexe entre nous, je la veux fantasmant et je la veux surtout toute mouillée pour sa rencontre avec les ouvriers. Dans les jours qui suivent je m’attelle a la charge de la convaincre d’emmener son mari se promener dans le quartier des immeubles en construction et lui dit que l’on verra si ça l’excite d’être reluquée devant lui dans ces circonstances.Elle l’emmène en début de soirée, avec l’excuse d’aller regarder des immeubles en construction pour un possible futur achat d’appartement dans le coin. Je lui avais demandé au préalable de mettre sa robe blanche fluide sans rien en dessous et pour éviter les soupçons de son mari, de porter un trench-coat par-dessus. Je m’étais installe dans le quartier à les attendre et a un moment je vois notre couple qui s’avance vers moi, regardant par ci, par là les immeubles. Au moment où elle m’aperçoit, ses yeux s’affolent, elle ne comprend pas ma présence, ne comprends pas ce qui se passe…..

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