Les amis de mes parents sont mes amis.. [Partie 3]

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Les amis de mes parents sont mes amis.. [Partie 3]Son souffle chaud et alcoolisé dans mon cou me fais frissonner. Je suis comme paralysée et me contente d’être là, sans bouger, yeux baissés. Hervé tourne les talons et s’en va en direction de la maison me laissant seule dans le jardin mal éclairé, obligée d’assumer le comportement libidineux que j’ai adopté toute la soirée. Je ne sais pas comment expliquer tout cela, je voulais juste m’amuser, sans aller plus loin, l’allumer, le sentir attiré, alléché. Je regagne la maison à mon tour, craignant de le croiser à chaque fois que j’entre dans une pièce. La chambre qu’ils vont occuper est au rez de chaussée, tandis que la mienne et celle de mes parents sont à l’étage. Je me presse de m’élever jusqu’à ma chambre, où je me déshabille et enfile mon pyjama, un débardeur blanc, un peu transparent à force d’être lavé, laissant largement apparaître la forme de mes seins et de mes tetons, et un shorty.Je ne peux m’empêcher de ressasser la soirée dans ma tête, excitée, les tetons durs et pointus, je me mets un film et m’enfonce dans mes draps. J’arrive à percevoir les voix de mes parents, d’Annie, mais pas celle d’Hervé. Avec un peu de chance, trop enivré, il s’est endormi comme une masse..Jai les yeux rivés sur la télé mais Hervé dans la tête quand le carillon m’indiquant un nouveau sms retentit. Je cueille mon téléphone posé sous mon oreiller et lis le message:- RDV 1H DU MAT TOILETTES. C’est Hervé! Il relance les battements puissants de mon cœur! C’est évident qu’il ne comptait pas en rester là, j’avais été prévenue un peu plus tôt.. Il est 23h30 et il me serait impossible, même si j’en avais envie, de dormir, jusqu’à l’heure fatidique du rendez vous. J’hésite, vais-je m’y rendre ? Le jeu ne va-t-il pas trop loin à présent ? Hervé a décidé de pousser le vice jusqu’à son paroxysme. Les toilettes étant sur le même palier que ma chambre et celle de mes parents, l’expérience semble beaucoup trop risquée pour moi cette fois ci. L’heure tourne doucement, très doucement, tandis que des milliards de questions se bousculent dans ma tête. A présent je n’ai plus envie de me caresser, trop anxieuse. L’attente est interminable, c’est décidé, j’irai lui dire que je suis désolée, que je me suis mal comportée et que je souhaite en rester là. C’est güvenilir canlı bahis siteleri stressant, je crains sa réaction. Et si, par frustration, il décidait de tout raconter ? Je comprends enfin mon erreur, il est en mesure de me faire chanter grâce au sms et à la photo. Je suis enragée, j’ai fait n’importe quoi, mes yeux sont humides, dépassée par l’affliction. J’essaye de relativiser, de me calmer, me changeant les idées en me concentrant sur le film déjà bien entamé, que j’ai à peine suivi. Je ne peux m’empêcher de surveiller l’heure très souvent. 1h00.. Ni bruit, ni rien.. Se serait-il endormi ? Un peu rassurée, mais pas sortie d’affaire, j’attends, en tendant l’oreille. C’est à 1h07 exactement que j’entends le parquet craquer. Aucun doute, ça ne peut être que lui, montant les marches à pas de loup. Je colle mon oreille contre la porte de ma chambre pour que chaque sons, aussi discret soit il, soit mieux audible. C’est bel et bien lui, je l’entends marcher, j’entends le grincement de la porte des WC. Je prends mon courage à deux mains et entrouvre la porte, sans bruit, et me faxe à l’extérieur. Je marche sur la pointe des pieds, dans le noir, bien décidée à mettre un terme à cette histoire. Seule la lumière passant sous la porte des toilettes trahis sa présence, je passe devant la porte de la chambre de mes parents, fermée, le plus secrètement du monde. Arrivée à hauteur du lieu de rendez vous, je prend une puissante inspiration une bonne fois pour toute et penetre dans les toilettes. Hervé se tient debout, en caleçon, les yeux rouges. Son torse est musclé, poilu. Son visage s’illumine en me voyant arriver. Je referme la porte, sans la claquer, de toute manière je ne compte pas rester. – Hervé écoute, je suis déso..Il pose alors sa main sur ma bouche, délicatement, juste pour que je me taise. Il enchaîne en posant ses mains sur mes épaules et m’oriente vers la cuvette, puis exerce une légère pression pour me faire asseoir, ce que je fais. Je suis assise la, debout face à son caleçon qui ne cache pas grand chose de son gros sexe déjà bien gonflé en dessous. – Hervé, je ne veux pas continuer, excuse moi. Lui dis-je le regardant dans les yeux, avec empathie et honte. Il ne réponds pas, baisse son calecon et en sors un énorme membre surmonté d’une güvenilir illegal bahis siteleri touffe rousse et frisée. Son sexe, tellement long, se retrouve à quelques millimètres de mon visage, il dégouline déjà de désir. Comment dois-je prendre son indifférence face à mon annonce ? Il m’a complètement ignorée.. Je suis grisée par la vue de ce sexe énorme, la situation n’a plus beaucoup d’issues possibles, je sens l’excitation monter en moi, mon corps est en ébullition, mes sens s’embrasent, Hervé me regarde d’en haut, le regard intense, masturbant sa verge, qui est une réelle invitation à la débauche. J’ouvre instinctivement la bouche, et d’un touché de langue, je récolte cette première goutte salée puis englouti goulument son gland chaud et humide. Hervé pousse un gémissement, je ne sais pas si c’est par plaisir ou soulagement. Son sexe est poisseux, il a transpiré et ça se sent, au goût et à l’odeur, mais ce n’est pas repoussant, c’est viril et electrisant. J’att**** maintenant son phallus dans ma main, incroyable, je n’arrive pas à en faire le tour. Je le leche, de bas en haut, puis de haut en bas, ma langue cherche à goûter chaque parcelle de peau de ce beau bâton fièrement dressé pour moi. Tout en m’activant à lui faire du bien, je claque la porte, encore entrouverte, de ma main libre. Hervé aime ce que je lui fais, le passage de ma langue à certains endroits lui provoquent des sursauts de bien être, des râles de plaisir. Le voir prendre autant de plaisir me plaît, je sens mon shorty se mouiller, jusqu’à être trempé. La bouche déchirée par la grosseur de l’organe, ma main droite s’adonne à mon plaisir par dessus mon pyjama et le frottement du coton sur mes lèvres chaudes et sensibles me rend complètement folle. Je fais le tour de son gland, lui titille l’urètre, y insérant le bout de ma langue par moment, sa respiration se fait plus forte. Du frein jusqu’aux boules, je me délecte de tout, suivant le chemin indiqué par sa grosse veine. Ma main gauche s’aventure à caresser ses deux grosses testicules, les malaxant, les chatouillant du bout des doigts. La conjugaison de mon travail manuel et buccal met Hervé dans tous ses états. Ma main droite est à présent dans mon shorty, fouillant mon vagin inondé, pelotant sensuellement mon clitoris qui güvenilir bahis şirketleri a doublé de volume. Il place alors ses mains sur ma tête, plongeant ses doigts dans mes cheveux noirs jais, et me guide, il m’enfonce son penis dans la gorge, si gros que ma bouche n’en accueille pas plus de la moitié, il fais littéralement l’amour à ma bouche, sa sève semble monter sans retour possible. Son rythme cardiaque s’accélère, en cadence avec les vas et viens qu’il fait dans ma bouche, il se lamente de plaisir, m’ecartele le coin des lèvres et finis par lâcher son nectar brûlant et abondant directement dans le fond de ma gorge dans une puissante plainte d’excitation pleine de retenue. J’avale chacun des jets de sperme que je reçois, les yeux d’Hervé sont révulsés, il tremble de plaisir. Il me lâche la tête et je m’empresse de sortir son sexe épuisé de ma bouche, aspirant chaque goutte de son jus nacré qui continue de couler doucement. Je nettoie son sexe avec ma bouche, cherche à lui rendre encore plus propre qu’il me la confié, embrasse son sexe une dernière fois puis att**** le papier toilette pour m’essuyer le contour de la bouche. Son sexe s’est ramolli, il pend généreusement sous mon nez, usé, son prépuce vient peu à peu recouvrir son gland rose encore gonflé. Hervé est essoufflé, il me regarde amoureusement, se penche et depose un doux baiser sur mes lèvres endolories. – Tu as toujours été une gentille fille.. Me dit-il en me caressant la joue. – Euh.. Merci.. Lui dis-je en balbutiant, un peu étonnée par sa remarque. – Bonne nuit Priya. Et sans attendre ma réponse, il ouvre la porte, vérifiant la tranquillité du couloir, et disparaît dans la pénombre. De mon côté, je jette le papier toilette utilisé dans la poubelle et lui emboîte le pas, rejoignant immédiatement mon lit. Je me sens souillée, sa façon de partir m’a perturbée, mais trop excitée et encore prisonnière de mon envie, je reprends mes caresses solitaires. Mes doigts s’enfoncent dans mon shorty, encore mouillé, et pénètrent mon vagin déjà bien lubrifié. J’ecarte mes lèvres et y fourre deux doigts, puis trois, puis quatre, mon autre main pinçant mes tetons. Je me doigte rapidement, imaginant le sexe d’Hervé me pilonant comme il l’a fait dans ma bouche, me provoque un orgasme quasi instantané et sans doutes le plus puissant que je n’avais jamais eu. Mes jambes tremblent, je sens mon cœur battre dans mon minou. Les doigts dégoulinants de mon jus, je m’endors, apaisée. Le lendemain, à mon réveil, j’apprends par ma mère nos invités sont partis à l’aube, mais prend le soin de me transmettre leurs chaleureuses salutations..FIN.

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bir yanıt yazın