Ma voisin Véronique, la salope perverse aux nichon
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Ma voisin Véronique, la salope perverse aux nichonMa voisin Véronique, la salope perverse aux nichons énorme1.ÉpisodeLe temps était absolument nul et quand j’ai déverrouillé la porte d’entrée avec mes sacs à provisions, j’ai vu la voisine du premier étage monter les escaliers devant moi. Elle avait environ soixantaine d’années, mais avait toujours l’air assez vive. D’une part, cela est dû au fait qu’elle savait se maquiller et, d’autre part, qu’elle s’habiller fringante. Les ongles coupe court peints en rouge vif, assortis au rouge à lèvres rouge vif, ce qui rendait ses lèvres pleines humides et brillantes. La longueur de ses jupes était toujours au moins 10-15 cm au-dessus du genou et toujours à talons hauts, très différente des autres femmes de son âge. Elle était extrêmement bien soignée et s’était également clair d’après son comportement qu’elle était cultivée et éduquée. Son nom était Véronique et elle avait déjà essayé de passer du temps avec moi plusieurs fois. En effet, elle avait un sourire très charmant et j’avais toujours admiré sa taille de poitrine absolument énorme. Elle mesurait environ 1,65 m, les cheveux noirs mi-longs. Son corps au formes voluptueuse, en d’autres termes, une super femme très bien formée.Alors qu’elle montait les escaliers devant moi, j’ai regardé ses jambes galbées, qui étaient particulièrement visibles en raison des talons de 10 cm de haut. Le courrier, qu’elle venait de récupérer dans la boîte aux lettres, est tombé (in)volontairement par terre elle s’est penchée et m’a ouvertement montré qu’elle portait un porte jarretelle et des bas de couleur peau sous son mini en jean plus rien à voir ni slip ou string. J’ai donc regardé fascinèrent sa fente nue, rasée et légèrement ouverte avec les épaisses lèvres supérieures et des très grandes lèvres inferieur et immédiatement je me mise à bander. Les signes d’usure sur son con ne pouvaient pas être négligés. Alors qu’elle restait délibérément dans cette position pour récupérer ses lettres au ralenti, je fixais sa chatte. Je n’ai pas pu m’en empêcher et courageusement tendu la main entre ses jambes, également avec la conviction que je devrais voir toute la splendeur et qu’elle a littéralement provoqué l’accès. Sa fente était trempée et elle s’est immédiatement écarte plus les jambes et se mise devant moi pour que je puisse vraiment y accéder à ses trous. Maintenant, elle haletait, doucement, tiret sa jupe dessus son cul robuste mais très excitent et étirait ses joues dodues avec les deux mains. Ce faisant, elle a exposé son trou du cul, qui était ouvert de près de 3 cm. Que le ciel sache combien de milliers de bites avaient déjà percé ses intestins. Mais le large trou a chié ouvert m’attirait comme un aimant. Je ne pouvais pas m’empêcher de mettre mes deux doigts dans la grotte humide et de percuter sa chatte dégoulinante tandis qu’en même temps, presque goulûment, enfonçais ma langue dans le trou de merde. J’ai presque éclaté mon pantalon, la truie excitée gémissant et haletant avec délectation. Je fouillé profondément son trou du cul comme si je devenais fou, attrapant ses cuisses serrées. J’ai vite remarqué comment elle gémissait de plus en plus fort, elle tremblait de partout et soudain le mucus flegmatique a coulé de sa chatte et s’est déversé sur ma main et ses bas.Mais soudain, nous avons entendu la porte d’entrée déverrouillée et elle a rapidement baissé sa jupe. Elle m’a chuchoté que je devrais lui rendre visite ce soir pour que je puisse la dévorer comme je le désire. J’ai accepté avec plaisir. Quand j’étais à la maison, je pensais toujours que cette belle femme, aimerait ce dévore par moi. Bien que je sois qu’à moitié aussi belle que-elle.Vers le soir, je pris une douche, parfume, fraîche comme le printemps et excité pour un grand plaisir, puttasse. Je descendis les escaliers et sonnai à la porte. Elle l’ouvrit, se cachant derrière la porte, et me tira dans l’appartement. Elle trébucha devant moi avec une habileté de ondule son cul et me conduisit dans son salon décoré avec goût. Puis j’ai vu la raison de son ouverture prudente de porte.Elle portait un corset noir lace derrière avec quatre bretelles de chaque côté, des bas a couture noire et des high heels a plateforme des talons d’au moins 15 cm. Je la regardai envoûtée, remarquant ses énormes nichons débordant de son corset et vacillant énormément à chaque pas.Nous sommes embrasse farouchement nos langues se roulent des pelles nous salives se mélangent et débordent notre bouche. Mes mains pétrissent ses joues du cul charnu. Immédiatement mon pieux se mis debout. Elle me sourit de façon significative, m’offrant un verre de champagne. Nous avons tinté des verres et bu les verres d’un coup. Avant que je le sache, elle me serra dans ses bras, pressa son corps chaud contre moi et enfonça sa langue dans ma gorge. Je rendis le baiser chaude, Nous sommes embrasse farouchement nos langues se roulent des pelles notre salives se mélangent et débordent notre bouche. Je mis les mains sur ses joues du cul charnue les pétrisse vigoureusement. Haletante, elle a presque arraché mon pantalon. Elle a attrapé mes couilles les froisse m’a le fait craqué, les empoignée et tirent fortement vers le haut, qui m’a fait gémir. Pendant que j’étais occupée avec ses énormes mamelles. J’ai attrapé aussi fort que possible avec les deux mains et roulé et pétri la viande charnue, faisant gémir forte d’excitation cet truie alors qu’elle me branle bahis firmaları la bite. J’ai sucé ses tétons durs, gros et énormément saillants, attrapant sa chatte trempée et secouant son gros et épaisse clitoris, ce qui la faisait gémir encore plus fort. Elle m’a traîné sur le canapé, en passent elle tournant la musique plus fort pour que ses gémissements soient noyés. Puis elle s’est agenouillée devant moi, a enfoncé ma grosse bite dans sa bouche aussi loin que possible et a sucé, lécher et aspire ma queue, de sorte que j’ai perdu le sens et la vue. Maintenant ce moi qui haletais et gémisse pendent cette salope se faisant un baiser de bouche ultra chaude. D’une main, elle se branle rugueux sa chatte jusqu’à ce qu’elle vienne de jouir. Puis elle se mis debout et me tourna le dos, se pencha en avant et écarta largement les fesses. Et encore une fois, elle m’a montré ses trous bien ouverts par de multiple usage où le mucus s’écoule de sa fente de pisse. Je m’excitée par la vue, des talons hauts de put, a des nombreuses bretelles, les bas à couture et bien sûr par les trous de baise béants, je ne pouvais pas m’en empêcher et attrapé ses cuisses fermes, frotté mon visage sur sa chatte visqueuse et enfoncé ma langue dans la raie de cul aussi profondément que possible je prouver, j’enfoncé trois doigts dans la chatte et la baisée durement, alors qui elle jouir le mucus coulera sur mes doigts et en long ses cuisses. Elle haletant et me dit avec une voir tremblent de pilonner sa connasse avec la main entière. Je continuais la branler sans contrôle avec mes doigts, enfonçant ma main dans la fente de pisse, mais sans mon pouce. Immédiatement, elle trembla de nouveau et un énorme orgasme la secoua, bien sûr elle pulvériser à nouveau son mucus cette fois dans mon visage. Un peu épuisée, elle s’est assise sur le canapé avec moi, écartant joliment les jambes, pour que je puisse continuer à fourre sa chatte vigoureusement avec ma main. J’ai collé ma langue dans sa bouche, ce qu’elle a répondit volontiers. Elle ne tarda pas à réjouir. Maintenant, je pétris à nouveau ses énormes mamelles, pendent elle att**** à nouveau ma bite et le branle rapidement. Je devais faire attention à ne pas gicle mon foutre, alors je l’ai tirée dans la bonne position et fourrée ma bite dans sa chatte trempée et je commencé à la pilonner. Elle a crié fort d’excitation quand j’ai commencé, alors qu’elle attrapait ses melons les froisser pétrisse, ridait, pilait très fort, suçant les mamelons qui elle avait long et épais comme de petites bites. Entre temps, elle a agrippé les mamelons d’environ 1 cm d’épaisseur et presque 2 cm de long et a tiré ses mamelons dans toutes les directions. Cette salope me rendu fou d’excitation et pendant que je la heurte vigoureusement, j’ai senti le jus bouillait dans les couilles il monter lentement dans le nœud. Maintenant je voulais exploser mon foutre, alors je me suis penché sur elle, pour que le gland soit juste en face de son visage, je vise les yeux et pulvérisé des longues gicles et fort. Le sperme lui gifla les yeux et le visage, elle ouvrit grand la bouche pour avoir une grosse giclée. Cette truie était si excite qui elle jouisse. Nous nous sommes assis côte à côte, respirant fortement. Je l’ai prise dans mes bras, collé ma langue dans sa gorge, le sperme coulant sur son visage. Elle me cligna des yeux à travers son visage recouvert totalement de foutre, sans prendre le moindre signe d’essuyer le lait de queue, et me demanda de pétrir ses seins. Je n’ai pas laissé dire deux fois. Tandis que je malaxe vigoureusement en primaire a deux mains la gauche, puis le melon droit, Elle a redescendu son cul, mit ses jambes en air et les écarta le plus loin possible. Elle m’a fait comprendre qu’elle attendait un vrai fist de ma part maintenant. J’ai obéi avec le plus grand plaisir me mis à genoux et collé ma main dans le sale trou. Au début dans un cycle doux, je tournais mon poing d’avant en arrière et étirais de manière libérable la chatte pour ensuite le percuter avec des poussées puissantes et rapides. La truie avec le visage couvert du sperme s’excité qui j’ai vue sur son visage elle crie, gémi et haleté si fort que j’ai eu peur que nous puissions être entendus partout dans la maison. C’est pourquoi j’ai augmenté la musique encore plus fort, puis je la encore percuté, encore plus fort. Ses sacs à lait géants tremblaient et vacillaient et se balançaient d’avant en arrière à chaque poussée. C’était absolument incroyable de voir ces mamelles géantes se balancent. Elle se tortilla, trembla partout pétrit, froisse, roule et sucé ses seins et bientôt elle vint à nouveau jouir. Je sortis ma main du trou béant, mucilagineux et pressai cet femme excitant et perverse contre moi. L’embrasse vigoureusement avec tout mon cœur et je ne puis pas m’empêche de pétrir ses nichons à nouveau. Bien sûr, je bande à nouveau cette salope perverse me fais bande comme un porc.Mais d’abord, nous buvons tout le champagne, tandis que nous continuions à nous bécoter et à nous caresser. Puis elle m’a fait comprendre qu’elle devait pisser maintenant, me souriant malicieusement. Je regarde étonnement, mais j’ai vite réalisé que la truie voulait pisser sur moi. J’ai toujours voulu jouer à des jeux de pipi, mais il n’y pas beaucoup de femmes pour le faire. J’en avais maintenant l’opportunité et je ne voulais pas la manquer. Je me suis allongée sur le sol en pierre, elle s’est accroupie kaçak iddaa sur moi, puis elle a écarté sa chatte si loin qu’elle peut, je pourrai regarde profondément dans le trou sale de cette chienne et avant que je le sache, un jet de pisse assez puissant m’a giflé le visage. La truie pisse comme une vache. J’avais l’impression de me noyer dans sa pisse, mais c’était tout simplement génial et je bandais comme un porc. Avec ma bouche grande ouverte j’ai avalé sa pisse tiède et quand la source s’est tarie, elle a pressé sa chatte de pisse sur mon visage et l’a frottée jusqu’à ce qu’elle vienne jouir. Sur sa pisse se rejointe une énorme portion de mucus. Je couché avec ma tête dans un immense lac de pisse et de mucus. Pendant que je léchais goulûment sa chatte de pute, je frappe vigoureusement ses joues de cul dodues jusqu’à ce qu’elle couine comme une truie et son jus me frappe à nouveau au visage. Maintenant, je lui ai collé trois doigts enragés dans la fissure à chier et je l’ai baisée grossièrement. Elle haletait à nouveau assez fort et avant que je ne m’en rende compte, la truie me coulait à nouveau au visage. Mes yeux étaient totalement gélatinisés, mais je continuais à percuter son trou a merde étirée. Puis elle a balbutié son souhait d’être enculer (percuter moi le fion) bien forte dans l’oreille. Elle n’a pas eu à le dire deux fois. Elle se mis autre patte, le cul tendu. Je m’accroupis sur elle, serrant avec les deux mains les mamelles de lait douces et gigantesques et enfonçant mon bâton dans son intestin. Tandis qu’elle pleurnichait et poussait des cris d’excitation, elle m’encourageait à la défoncer vigoureusement et durement le rectum. Je l’ai baisée comme un taureau chaud pendant que je continué à pétrir les mamelles de lait. Bientôt, elle trembla de nouveau et elle cria sa jouissance. Mais cela ne m’a pas du tout empêché de continuer à heurte le trou a merde et à malaxer brutalement ses sacs à lait. Alors que je continuais à la pilonner, je attrapée d’une main le trou mucus et j’ai frotté son gros clitoris gras aussi vite que possible. Elle haleta, gémit et gémit et disent des mots vulgaire Baise-moi fort le trou a merde. Défonce-moi comme une sale pute de presse bientôt le jus coula à nouveau de sa chatte de pétasse. Je sentirai le jus de mes couilles monté. Je lui ai ordonné de s’agenouiller devant moi. Elle obéit bien et à mon grand étonnement, elle ouvrit grand les yeux de des deux mains. Elle m’a fait comprendre qu’elle aimait se faire asperger le sperme dans les yeux. Cela brûlerait dans les yeux et d’une telle manière que la « douleur » elle trouve excitent et pervers. Je me tenais devant elle, le gland à 5 cm au maximum des yeux et je me branlais aussi fort que possible. Bientôt la foudre jaillit du gland. Je gicle avec plaisir quatre éclaboussures fortes dans ses yeux, de sorte que les yeux n’étaient plus visibles sous les jets de sperme. Maintenant, elle a attrapé ses nichons d’une main et les malaxer et avec l’autre elle a brutalement secoué son gros clitoris, pendant qu’elle me regardait avec des yeux complètement recouverts de sperme et bientôt elle a joui en gémissant bruyamment. Mais maintenant, je sentais que ma vessie était pleine jusqu’au sommet. Elle sentit ce que j’allais faire et ouvre les yeux. Je lui ai rendu service et je lui pissé dans les yeux, au visage, entre les temps dans la bouche grande ouverte, avalant ma pisse avec avidité, puis de nouveau sur les yeux. Après que la dernière goutte a été renversée, je la giflé avec ma bite à moitié raide au visage. Je l’ai “giflée” à gauche et à droite. Puis nous sommes mis épuisés et satisfait côte à côte sur le canapé. Nous sommes câlinés nos corps souillés de pisse, de salive et de lait de bite, où nous avons échangé de très, très longs baiser. Je lèche ses mamelons et sucer les tétons. Nous avons discuté un moment, blotti nos corps nus ensemble et échangé de longs baisers mélangent nos langues. Elle m’a avoué que dans le passé, elle aurait eu peu d’intérêt pour les jeux sexuels inhabituels. Avec son mari, qui a quitté il y a trois, elle n’aurait eu rien de plus qu’un “sexe de fleur” normal. Il y a tout juste un an, elle avait été stimulée par les innombrables sitespornographiques sur Internet pour faire face à des types de sexe inhabituels et pervers. Cela l’excitait follement lorsqu’une femme était baisée par de nombreux hommes dans tous les trous par les mains et les queues, puis que ses visages n’étaient plus reconnaissables sous une masse de sperme blanche et épaisse, de sorte qu’elle était douchée de la tête aux pieds par un certain nombre de jets de pisse. Elle croyait qu’en raison de son âge avancé, il était temps de tout essayer, de ratt****r ce qu’elle avait manqué, et son imagination très audacieuse et fantaisiste et son désir croissant.De satisfaire ses désirs du sexe sauvage, totalement sale et pervers à réaliser. Elle a rapidement remarqué qu’elle était toujours excitée et humide et elle a facilement admis qu’elle se branler au moins 7a10 fois par jour, fourrait les objets les plus épais et les plus impossibles dans les trous et jouait avec elle-même les jeux les plus insolites. Du matin au soir, elle n’aurait que des cochonneries et perversité dans la tête, mais elle n’a jamais rêvé de ressentir une trace de honte ou de remords. Elle voulait ratt****r tout ce qu’elle avait manqué dans sa vie pour une raison quelconque.Cependant, il ne serait kaçak bahis pas facile de trouver le bon partenaire. Elle m’a parlé d’une femme beaucoup plus âgée qui était tout aussi perverse et aurait également d’énormes seins tombants. Mais elle voyage actuellement. Puis il y avait une femme plus jeune dans la trentaine, qui avait un très joli visage, avec une silhouette corpulente. Elle s’appelait, Maja elle m’avait rendu visite que trois jours auparavant et ils auraient eu des relations sexuelles totalement cochons et pervers pendant deux jours et deux nuits. Elle aime le faire avec des femmes, mais ce qui est très important pour elle : elles doivent être totalement cochons et vraiment perverses. Être des salopes et avoir de grosses mamelles énormes et grasses.Elle a ensuite connu un vieux de 66 ans, gros et pervers, qui avait une queue extrêmement épaisse de 7 cm de diamètre, mais malheureusement seulement d’environ 13 cm de long. Mais il avait un sac a couille vraiment gigantesque de près de 20 cm de diamètre, avec lequel il pouvait pulvériser près 10 gicles de sperme. Et comme elle aimait se baigner dans la pisse et le lait de queue et qu’elle aimerait des choses épaisses dans les trous, le gars serait très pratique. Le sexe avec lui n’aurait jamais duré plus d’un quatre-heures. Cependant, il était marié et pouvait rarement se libérer et à part baiser, il serait autrement un gars dégoûtant. Mais elle s’était att**** qu’elle-même être attiré par des gars dégoûtants. Et aimait baiser, avec des vilains, comme elle les appelait, elle obtiendrait les orgasmes les plus forts. Ils se rencontraient parfois chez lui et porcelet dans un cave moisi, ou bien ils se rencontraient dans le parc tard dans la nuit quand il promenait le chien et le faisait brièvement mais très dur dans un urinoir abandonner et inutilisé. Pour les rencontres elle s’habillerai a la maison comme une putain, donc seulement des porte-jarretelles, des bas noirs et des chaussures plates et discrètes, rien d’autre. Plus un long manteau dessus, dans son sac à main desquelles elle a mis de très hauts talons hauts rouge vif, mais qu’elle n’a mis que sur place.Ensuite, ce qui se passe: attacher le chien, enlever son pantalon, enlever manteau, mettre des talons, mette sa queue extrême dans sa bouche grande ouverte, ce penchez et faites baiser sa chatte et son cul rapidement et durement, accroupisse devant lui et laissez-lui jeter beaucoup de sperme sur le visage, remettre pantalon , le gars prend le chien en laisse et s’en va, reste accroupi, frottez la masse de crème sur tout le corps, branlez 2-3 fois jusqu’à la jouissance, changez de chaussures, mette manteau, rentre chez moi, le sperme coule sur le visage, enlever manteau, enlever chaussures, allongez-vous sur le lit, pensez au gros vilain à queue épaisse et laide, puis se baiser avec gros et épaisse queue en caoutchouc ses trous de put frottez vos trous avec un coq en caoutchouc extrêmement épais et massez et maltraite les pis obtenir au moins 10 orgasme, endormir. Rêvez pendant des heures être maltraité et utiliser sans retenue, pour se réveiller du rêve et encore une longue défonce de sa chatte avec un gode en caoutchouc, puis enfin après d’innombrables orgasmes je m’endors enfin.Penses-tu que mes rêves deviendra réalité” m’a-t-elle demandé et j’ai répondu que je lui souhaitais, mais peut-être que je pourrais l’aider à réaliser ses rêves et désirs, à vivre des fantasmes extrêmes. Je serais très volontiers prêt pour cela. Je lui ai dit qu’une femme comme elle serait absolument rare et que je ne pouvais rien imaginer de plus beau et de plus excitant que de traverser le monde inépuisable de la perversion avec elle à l’avenir. Elle m’a regardé et m’a dit qu’elle m’avait évalué de la même manière.La discrétion et un comportement décent en dehors du sexe sauvage seraient un devoir absolu et une question d’honneur. Après tout, elle ne voulait pas être estampillée comme la pute de quartier.Mais cependant elle aime terriblement être une Hoopy Pute. Une salope perverse, pendant les rapports sexuels, mais elle préférerait un gars, très décent et sensé. Qui faite d’elle sa pute son esclave, l’utilise sans vergogne, l’humilie, l’utiliser, où comment et quand il la veut. Elle se sent vraiment bien quand elle se maquille et s’habille comme une pute et qu’aucun talon n’est trop, elle serait toujours excitée lorsqu’elle mettait des bas et des jarretelles parce que ce serait si merveilleusement pute. J’ai remarqué ça !Depuis qu’elle me regardait un moment, elle avait réalisé que j’étais la bonne candidate pour ses désirs pervers. J’exsude le sérieux, serais très séduisant de regarde et elle avait remarqué mes regardes de envies sur elle. Une fois de plus, elle a souligné avec beaucoup de véhémence que la discrétion et le secret absolus étaient extrêmement importants pour elle. Sinon, elle serait prête à tout. Puis elle m’a montré un placard dans la chambre qui était rempli de tenues ultra sexy, de talons hauts dans toutes les variantes imaginables et d’une énorme collection de godes et queues en caoutchouc vraiment gros à gigantesques. J’étais étonné et avec enthousiasme je lui ai promis que je serais son “amant” à partir de maintenant. Elle avait presque 10 ans de plus que moi, mais quand il s’agissait de sexe, c’était une vraie femme de rêve. Je lui ai donné mon numéro de téléphone pour les “cas urgents” et lui ai promis de venir aussi souvent qu’elle le voulait. Je serais également heureuse si elle venait me rendre visite. Nous avons ensuite parlé encore plus d’elle sur ses et de mes désirs sexuels inhabituels et j’ai été étonné de ses fantasmes cochonne, sale et pervers.
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